Le Figaro - 13 janvier 2017 - Les éoliennes offshore cherchent des vents porteurs

Extraits principaux sur les différents thèmes "pollution de la mer, aberration économique, mensonge industriel" :

  • "Les oppositions à l’éolien offshore - portées par plusieurs associations - sont toujours très vives : pêle-mêle, l’électricité produite reviendrait beaucoup trop chère, l’environnement marin serait durement touché, et il n’y aurait aucune chance de voir émerger une filière industrielle française compte tenu du poids des fabricants étrangers."
  • "Chaque éolienne possède à sa base une anode sacrificielle de 20 tonnes d’aluminium. Ce sont 160 kg d’aluminium qui seront relargués chaque jour dans la baie."
  • "Je me souviens du débat public où un industriel nous a assuré qu’une éolienne ne contenait que quelques kilos de terres rares, pas plus en tout cas qu’un simple téléviseur. En réalité, une éolienne en mer contient 430 kg de terres rares !"
  • « Alors que les pouvoirs publics nous avaient vendu un chantier d’envergure sur fond de “made in France”, ce soi-disant moteur se retrouve totalement grippé, relève Jean-Louis Butré. Plus rien ne dit que les usines qui devaient sortir de terre à Cherbourg, au Havre ou à Saint-Nazaire se concrétiseront vraiment ou auront toute l’ampleur évoquée au départ. »

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