Presse

France 2 - 12 octobre 2023 - "On nous a trompés, on nous a menti" : à Batz-sur-Mer, les 80 éoliennes du premier parc offshore français sont bien visibles depuis la côte

Envoyé Spécial, France 2, 12 octobre 2023

Extrait de l’interview de Marie-Catherine Lehuédé, maire de la commune de Batz-sur-Mer :

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La Manche Libre - 26 août 2023 - Calvados, la mer va changer

Quelques extraits :

  • Elsa Joly, présidente de l’association Libre Horizon à Courseulles-sur-mer [...] s’oppose à la décision de l’Etat, prise en 2012, d’implanter un parc éolien en mer au large de la commune. "On a une position constructive. Nous ne sommes pas contre les éoliennes offshore mais elles doivent être érigées loin de nos côtes" plaide l’association qui demande le déplacement des 64 éoliennes prévues à 13 km des côtes vers une zone située 30 kilomètres plus au large.
  • En effet, la zone choisie par l’Etat pour édifier ces éoliennes, sème la zizanie. Le problème ? "Je pense qu’ils n’ont pas réalisé l’emplacement de ce parc", s’exclame la militante. "On met le parc au milieu du plus grand cimetière marin d’Europe" s’offusque Elsa Joly.
  • L’installation de ces éoliennes pourrait compromettre l’inscription des plages du Débarquement au patrimoine mondial de l’UNESCO.
  • Ce combat est appuyé par une pétition, lancée en juillet dernier, qui a récolté presque 8 500 signatures, dans l’espoir d’interpeller Emmanuel Macron. Ils ont une contre-proposition clé en main. "Nous souhaitons qu’ils abandonnent le projet du parc de Courseulles pour le rattacher à celui de Centre Manche 1, bien plus distant des côtes, au large de Barfleur. Ça serait une économie de 3 milliards pour la France" affirme Elsa Joly. Cet argument financier est avéré car Centre Manche 1, le parc éolien qui devrait être construit à 45 km des côtes, ne nécessitera aucune subvention publique.

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La Manche Libre - 14 août 2023 - Courseulles-sur-Mer. Parc éolien : Libre Horizon poursuit la lutte

Autour du stand d’information de Libre Horizon, les visiteurs posent des questions. Beaucoup signent la pétition ou la lettre ouverte à Monsieur Macron. - Annie Vallart

Quelques extraits :

  • Des membres de l’association Libre Horizon étaient présents, avec leur présidente Elsa Joly, au mar-ché des mardi 8 et vendredi 11 août pour mobiliser Courseullais et vacanciers contre le projet du parc d’éoliennes en mer.
  • Nombreux ont été ceux qui se sont arrêtés pour discuter, pour s’informer, se procurer la lettre ouverte destinée au président de la République et signer la pétition.
  • "Nous avons recueilli environ 700 signatures sur ces deux matinées" a indiqué Mme Joly.
  • Libre Horizon préconise "le déplacement de ce parc éolien vers le parc Centre Manche 1, situé à plus de 30 km des côtes".
  • Il est possible de signer la pétition ou la lettre ouverte sur libre-horizon.com.

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Ouest-France - 12 août 2023 - La lute contre le parc éolien continue

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Le Courrier Cauchois - 11 août 2023 - Jean-Philippe Schnell et BNE - Notre littoral ne se prête pas à l’éolien en mer

Quelques extraits :

  • L’éolien en mer est peut-être une des clés de sortie du réchauffement climatique pour tes autres pays, je n’en sais rien, mais pas pour le nôtre. Notre électricité est déjà décarbonée. Le nucléaire en France,c’est4 g d’équivalent CO, / kWh. L’éolien en mer c’est 17 g selon le ministre de ta Transition écologique, donc quatre fois plus.
  • La centrale de Fessenheim a été fermée en 2020 alors qu’elle était certifiée par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et produisait 12TWh d’électricité par an sur 1 ou 2 km² . C’est autant que l’ensemble des six parcs éoliens offshore du premier appel d’offres français : Le Tréport, Fécamp, Courseulles, Saint-Brieuc, Saint-Nazaire et Noirmoutier qui occupent en tout une surface d’environ 400 km², pour fournir une électricité intermittente.
  • "On parle du projet de Courseulles mais on devrait dire Courseulles Arromanches", plaide—t-il. "Ce parc pourrait être implanté au beau milieu d’un des sites emblématiques du Débarquement du 6 Juin 1944".

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Actu.fr Normandie - 11 août 2023 - Parc éolien de Courseulles : malgré l’avancée du chantier, une association maintient son opposition

Quelques extraits :

  • L’association Libre Horizon milite pour que les 64 éoliennes du projet soient déplacées à 30km plus au large.
  • Une pétition a été lancée pour demander la fusion du projet avec les projets des Centres Manche 1 et 2, deux autres parcs éoliens situés, eux, à 45km des côtes. Elle récolte actuellement 8 000 signatures.

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Actu.fr Normandie - 10 août 2023 - Éoliennes en mer : pétition et mobilisation d’une association contre le projet à Courseulles-sur-Mer

Quelques extraits :

  • Une pétition, lancée le 29 juillet 2023, a récolté 6 500 signatures en une semaine
  • L’association interpelle directement Emmanuel Macron et demande à ce que le parc de 64 éoliennes, qui doit être construit à un peu plus de 10 km de la côte, soit rattaché au chantier des Centres Manche 1 et 2, bien plus au large.

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Le Figaro - 8 août 2023 - L’éolien de Siemens a du plomb dans l’aile

Quelques extraits :

  • L ’énergéticien évalue à 1,6 milliard d’euros le coût des problèmes de qualité sur ses appareils.
  • Un accident industriel ne tombe jamais au bon moment. Mais, pour l’allemand, le calendrier est particulièrement cruel. Non seulement le groupe doit faire face à la flambée des coûts de non-qualité, mais il doit en plus supporter une hausse des coûts de production pour ses éoliennes en mer (prix des matériaux, problèmes d’approvisionnement et de recrutement)
  • Le groupe pourrait donc être contraint de réduire la voilure dans ses investissements
  • Le groupe explique être confronté à des difficultés récurrentes d’approvisionnement, et avoir de difficultés à embaucher. Ce qui pourrait freiner le développement de ses activités.
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La Manche Libre - 7 août 2023 - Côte de Nacre. Eoliennes en mer, Libre Horizon se mobilise sur le marché

Libre Horizon, l’association qui lutte notamment contre l’implantation des éoliennes au large de la Côte de Nacre lance deux nouvelles actions, qu’elle qualifie de "sprint final". En effet, ces "64 éoliennes offshore sont prévues à 10 km de nos côtes : le parc le plus proche de France" et pour les opposants, elles vont avoir un grave impact sur "le devoir de mémoire, la biodiversité de la faune et flore sous-marine, la filière de la pêche et du tourisme et les finances publiques". Libre Horizon souhaite la sacralisation des plages du Débarquement, lieux de mémoire et demande la fusion du projet prévu au large de nos côtes avec celui du nouveau parc Centre Manche, attribué par l’état à EDF en mars dernier.

L’association lance une pétition qui sera adressée au président Emmanuel Macron, à signer en ligne en composant non-aux-64-éoliennes-en-face-des-plages-du-débarquement ou directement sur le marché de Courseulles, vendredi 11 août au matin. Des représentants de Libre Horizon seront au 75 bis rue de la Mer et pourront répondre à toutes les questions.

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Business AM - 2 août 2023 - En plein marasme, Siemens Gamesa veut désormais reporter la livraison de ses éoliennes, victimes de problèmes techniques

Quelques extraits :

  • Les problèmes continuent pour Siemens Gamesa, l’un des plus grands fabricants d’éoliennes au monde.
  • Après avoir dû reconnaître que ses éoliennes souffraient de défauts de fabrication, la société est en train d’informer les parcs éoliens que ses éoliennes risquent d’arriver en retard.
  • Siemens Gamesa a besoin [de sept mois] pour mener à bien son examen sur les problèmes techniques de ses éoliennes. Il s’agit notamment de savoir s’ils proviennent des pièces fournies ou de la conception.
  • Le patron de Siemens Energy, Christian Bruch, n’avait pas mâché ses mots. « Trop de choses ont été mises sous le tapis », avait-il déploré, ajoutant que les problèmes de qualité étaient « plus graves qu’il ne l’aurait cru possible ».

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Les Echos - 26 juin 2023 - Le krach violent de Siemens Energy, deuxième fabricant mondial d’éoliennes

Quelques extraits :

  • Un vent de panique souffle sur le monde des éoliennes. Siemens Gamesa, le deuxième fabricant mondial d’éoliennes, est aux prises avec de sérieux problèmes techniques dont la porté doit encore être précisée.
  • L’action de Siemens Energy [...] s’est effondrée de 38% à la bourse de Francfort, sur la seule séance de vendredi.
  • le groupe installé Munich a fait état d’un « taux de défaillance significativement accru » de composants d’éoliennes.
  • Siemens Gamesa a réalisé un examen approfondi des installations. « Les résultats sont encore pires que ce que j’aurai pu imaginer », a commenté devant les investisseurs le dirigeant de Siemens Gamesa, Jochen Eickholt
  • « Les problèmes de qualité vont encore plus loin que ce nous pensions » et les résoudre « prendra plus de temps que prévu », dit-il.

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Les Echos - 24 juin 2023 - Biens d’équipement, énergie, Siemens Energy : rotors retors

Quelques extraits :

  • Siemens Gamesa est engluée dans les défauts industriels de ses turbines d’éoliennes qui lui coûteront au moins 1,5 milliard d’euros.
  • L’inflation, la hausse des coûts de financements et l’absence de maturité des technologies forment un triptyque infernal

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Ouest-France - 15 juin 2023 - Parc éolien en mer du Calvados. Ce qui a changé, hommage au D-Day, le calendrier : on fait le point

Quelques extraits :

  • 34 espèces marines protégées, cinq espèces de mammifères et 54 espèces d’oiseaux seraient menacées par le projet. Un recours devant le Conseil d’État a été déposé et des études d’impact sur la biodiversité sont encore en cours.
  • Le poste électrique a été installé en mer le 28 mars 2023. #NB : Il fait 40 m de haut. Les 64 éoliennes culmineront à 175 m.=
  • L’installation des fondations durera douze mois, à partir de fin 2023
  • Fin 2024, les câbles inter-éoliens seront installés. L’opération prendra six mois.
  • Les éoliennes seront installées au printemps 2025
  • La mise en service du parc est prévue fin 2025

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France Info - 6 juin 2023 - Normandie, les opposants à un futur parc éolien près des plages du Débarquement dénoncent un projet indécent

Quelques extraits :

  • "L’impact visuel est réel. Ce n’est pas pertinent de les mettre à cet endroit-là dès lors qu’on peut les mettre plus loin", complète Laurent Malhomme. Un deuxième parc éolien EDF vient en effet d’être validé à 45 kilomètres de la côte, et donc invisible depuis la terre ferme. "C’est le même industriel qui va faire deux parcs à 30 kilomètres de distance. Nous disons ’Construisons un seul parc, à 30 kilomètres des côtes, mais un peu plus grand que prévu", propose-t-il.
  • Baptiser chaque éolienne du nom d’un bateau du Débarquement : [...] "C’est une forme de cynisme et de ’memory washing’, où on fait semblant de ne pas abîmer une zone alors qu’on est en train de saccager le plus grand cimetière marin d’Europe".

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Le Figaro - 26 avril 2023 - Patrice Cahart « En dépit de sa laideur, l’éolien offshore permet de limiter les dégâts de l’éolien terrestre »

Quelques extraits :

"Mais on court le risque d’une révolte des riverains et des pêcheurs, surtout après le désastre de Saint-Nazaire. L’installation de ce parc éolien à douze kilomètres des côtes a été permise par un mensonge. Les promoteurs avaient promis qu’on ne verrait que de « petites allumettes » au large ; mais nous découvrons aujourd’hui un désastre panoramique et touristique. La Baule est une station en courbe, les éoliennes ne sont perceptibles que sur une partie, mais sur toute la « côte sauvage » entre La Baule et le Croisic, on voit un rideau d’éoliennes. C’est une véritable catastrophe paysagère."

Saint-Nazaire est l’exemple même de ce qu’il ne fallait pas faire. Cela risque de recommencer, car cinq autres projets similaires sont en cours de réalisation, avec des éoliennes à 12 kilomètres du rivage, pour 2024 et 2025. On peut notamment citer le cas des plages du débarquement, en Normandie, qui seront profanées par toute une batterie d’éoliennes.

Le Parlement a voté le 10 mars un article de loi qui met la priorité sur l’éolien en ZEE (Zone économique exclusive), située à plus de 22 kilomètres du rivage

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Aujourd’hui en France & Le Parisien - 20 avril 2023 - Polémique sur les éoliennes au large des plages du D-Day

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Actu.fr Normandie - 13 avril 2023 - Unesco : le classement des plages du D-Day en Normandie relancé

Mis en suspens, l’inscription des plages du Débarquement de Normandie au patrimoine mondial de l’Unesco est relancée. Le dossier était à l’arrêt depuis 2019.

Près de quatre ans plus tard, le 24 janvier 2023, l’Unesco publiait les résultats du groupe de travail sur les sites de mémoire associés à des conflits récents. Une annonce qui (re)donne le feu vert à la Normandie qui porte le dossier.

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Ouest-France - 8 avril 2023 - Unesco : les plages du D-Day de retour dans la course

Bloqué depuis 2019, le classement des plages au patrimoine de l’Unesco redevient d’actualité. Ce projet pourrait profiter de l’avancée du dossier des sites funéraires de la Première Guerre mondiale.

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Le Figaro - 27 mars 2023 - Le plus grand parc éolien français, au large de la Normandie, attribué à EDF

Quelques extraits :

EDF [...] et son partenaire historique, Maple Power, ont gagné l’appel d’offres pour le projet Centre Manche 1. Ce premier parc au large du Cotentin aura une capacité de production de 1 gigawatt (GW)

EDF a emporté le contrat, instruit par la Commission de régulation de l’énergie (CRE), en proposant 44,90 euros du méga-wattheure (MWh)

Dans le cadre de Centre Manche, environ 47 éoliennes seront installées, à plus de 32 km des côtes et à plus de 40 km des tours Vauban de Saint-Vaast-la-Hougue (Cotentin), un site inscrit à l’Unesco. Un point important pour les défenseurs du patrimoine, inquiets de voir les éoliennes bouleverser le paysage.

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Le Figaro - 3 février 2023 - Éoliennes en mer : « Les paysages littoraux sont devenus une variable d’ajustement »

INTERVIEW - Yannick Moreau, le maire des Sables-d’Olonne (Vendée) et président de l’association nationale des élus du littoral (Anel), déplore la disparition de la virginité des paysages littoraux et d’un certain art de vivre à la française avec l’implantation de parcs éoliens proche des côtes.

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Ouest-France - 9 décembre 2022 - Eoliennes en mer, Huit à neuf mois de retard

Parc éolien au large de Courseulles. « La mise en service est prévue au troisième trimestre 2025 »

La mise en service du parc éolien de Courseulles-sur-Mer (Calvados), qui était prévue en 2024, est finalement reportée à 2025.

Le parc comprendra 64 éoliennes et produira environ 450 MW.

Le chantier d’installation des fondations commencera fin 2023.

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Les Echos - 8 novembre 2022 - Les parcs éoliens en mer ravivent la colère des pêcheurs

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Le Figaro - 7 novembre 2022 - Jean-Marie Rouart : La mort du paysage français

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Le Figaro - 22 octobre 2022 - Ne laissons pas installer un parc d’éoliennes à côté des plages du Débarquement

TRIBUNE - Léon Gautier, le dernier vétéran du commando Kieffer encore en vie, qui débarqua sur les plages normandes le 6 juin 1944, s’insurge contre le projet de création d’un parc d’éoliennes à proximité immédiate de ce lieu de mémoire. Trois autres personnalités s’associent à sa protestation.

Né le 27 octobre 1922, Léon Gautier, ancien combattant volontaire dans les forces navales françaises libres, Croix de guerre 1939-1945, grand officier de la Légion d’honneur et membre de l’Ordre de l’Empire britannique, préside l’association de l’Amicale des anciens du commando Kieffer.

Ce texte est cosigné par Alain de Dainville, membre de la Fondation Charles de Gaulle, du Comité du Débarquement et de la section française du Comité d’érection du mémorial britannique de Ver-sur-Mer ; Gérard Chesnel, ancien ambassadeur de France, vice-président du Souvenir normand ; et le docteur Jean-Pierre Benamou, président fondateur de D-Day Academy, collaborateur du Mémorial de Caen et du Centre Juno Beach.

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Ouest-France - 23 septembre 2022 - « Le Parc éolien de Saint-Brieuc n’est ni fait, ni à refaire », lâche le secrétaire d’État à la mer

Quelques extraits :

  • Lors des Assises de la mer qui se tenaient jeudi 22 septembre 2022 à La Rochelle, Hervé Berville, secrétaire d’État à la mer, a regretté le manque de dialogue autour de la construction du parc éolien de Saint-Brieuc.
  • « Le parc éolien de Saint-Brieuc n’est ni fait, ni à refaire ». La petite phrase d’Hervé Berville, prononcée jeudi lors des Assises de la mer à La Rochelle (Charente-Maritime) a suscité quelques remous, voire quelques espoirs chez les opposants au projet.
  • L’expression « ni à refaire » employée par Hervé Berville est une allusion à « l’absence totale » de concertation autour de cette construction. « Ce qui s’est passé à Saint-Brieuc n’est pas un exemple à suivre pour les futurs champs éoliens », poursuit l’entourage d’Hervé Berville.

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Le Figaro - 23 septembre 2022 - Patrice CAHART - La prolifération des éoliennes, prochain désastre après le fiasco du nucléaire

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Ouest-France - 4 septembre 2022 - Franck Louvrier - Les éoliennes sont un mal nécessaire

Quelques extraits, verbatim de Franck Louvrier, maire de La Baule :

  • C’est un mal parce que ça pollue visuellement nos côtes.
  • Il y a un impact visuel indéniable. Il a perturbé énormément nos résidents, secondaires ou à l’année.
  • Enfin, on s’est aperçu que les images de synthèse sur l’impact visuel ne reflètent pas la réalité. Il y a eu une forme de contre-vérité, si ce n’est de mensonge. Les bâtons d’allumettes se sont transformés en troncs.

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Le Figaro - 3 septembre 2022 - A Batz-sur-Mer, vue imprenable sur quatre-vingts éoliennes

Quelques extraits :

  • Le parc offshore fait grincer des dents
  • De Pornichet au Croisic, ça ressemble au tube de l’été. « Qu’est-ce qu’on les voit ces éoliennes ! », entend-on partout. « Ce qui nous gêne c’est le côté esthétique, ça gâche le paysage. C’est pas beau. Ils auraient pu les mettre plus loin », se plaint Emmanuelle, qui campe pour la première fois sur la presqu’île guérandaise.
  • La gronde ne s’apaise pas pour autant : cette visibilité agace jusqu’aux mairies du littoral qui soutenaient pourtant la création du parc à l’origine. « Force est de constater que celles qu’on nous avait présentées il y a quelques années comme de minuscules têtes d’épingle, presque invisibles très loin au large, sont en fait très/trop visibles de la côte (…). Nous sommes confrontés à un choix politique ancien qui n’offre pas de retour en arrière. Nous sommes tristes de voir l’horizon dénaturé » , s’émeut Marie-Catherine Lehuédé, maire (sans étiquette) de Batz-sur-Mer.

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Valeurs actuelles - 2 septembre 2022 - « C’est une horreur ! » : beaucoup plus visible que prévu, le premier parc éolien offshore de France ulcère riverains et touristes

Quelques extraits :

  • Presque terminé, le chantier du parc éolien offshore de Saint-Nazaire semble donner naissance à une pollution visuelle bien plus importante que prévu.
  • Même topo à la mairie du Croisic : « L’impact visuel est quand même très fort. Nettement plus que prévu. Y compris la nuit avec des lumières permanentes. Notre côte sauvage n’a plus rien de sauvage », regrette Michèle Quellard (DvD)

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20 Minutes - 30 août 2022 - Au large de la Loire-Atlantique, les premières éoliennes en mer se voient « nettement plus que prévu »

Quelques extraits :

  • "L’impact visuel, indéniable, fait largement débat"
  • « Ça fait bizarre ! On m’avait prévenue avant de venir mais je ne pensais pas qu’on les verrait autant », confie Lucile, qui vient tous les ans en vacances dans l’appartement familial du Pouliguen. « C’est vrai que c’est quand même assez perturbant. Surtout qu’elles ne sont pas encore toutes là », commente Nicolas, autre vacancier
  • « On nous avait assuré que ça ne changerait pas grand-chose au paysage. Il y avait des images de synthèse plutôt rassurantes. Et bien voilà le résultat !. C’est une horreur, il n’y a pas d’autres mots », fulmine Philippe, retraité
  • « Il y a beaucoup plus d’avis négatifs que de positifs auprès de mes clients », évalue une restauratrice de la plage Valentin

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Le Figaro Magazine - 26 août 2022 - La France a besoin d’une vrai politique du paysage

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Cet article est issu du dossier "La France Moche" du Figaro Magazine du 26 août 2022

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  • Comment l’Etat a laissé enlaidir le pays
  • Quarante ans d’enlaidissement
  • La France a besoin d’une vrai politique du paysage
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Ouest-France – 15 août 2022 - Parc éolien, l’appel d’offres d’ici fin 2022

Voici le 5ème appel d’offres de parc éolien en mer normand, le second de la zone "Centre-Manche", à 35 km à l’est de Barfleur, alors que le premier de cette zone n’est pas encore attribué :

Plus de détail au Journal officiel du 12 août 2022 : Décision du 9 août 2022 consécutive à la concertation préalable portant sur un deuxième projet éolien en mer en zone « Centre Manche » et son raccordement

Extrait : "Article 1 - Une procédure de mise en concurrence sera lancée en 2022 en vue de l’attribution du deuxième parc éolien en mer situé en zone « Centre-Manche » d’une puissance pouvant aller jusqu’à environ 1,5 gigawatts."

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Ouest France - 9 août 2022 - Les éoliennes du Croisic, la fin du mirage

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Ouest-France - 2 août 2022 - Plan d’urgence pour les énergies renouvelables

Extrait :

Sur le plus long terme, le ministère de Transition énergétique a notamment annoncé repousser à plus de 35 kilomètres des côtes un projet éolien en mer au large de l’île d’Oléron, en Charente-Maritime. Concrètement, deux parcs offshore d’une puissance de 1 000 mégawatts (MW) chacun sont prévus en dehors des limites du parc naturel marin de l’estuaire de la Gironde et de la mer des Pertuis, pour répondre aux exigences des habitants de l’île.

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Le Figaro - 30 juillet 2022 - Parc éolien en mer d’Oléron : l’État revoit sa copie

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Actu.fr Pays de la Loire - 26 juillet 2022 - "L’impact visuel est indéniable", ce que pensent des éoliennes en mer les maires des communes concernées

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Ouest-France - 11 juin 2022 - Parc éolien de Courseulles : une plainte déposée au Parquet national financier

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Le Figaro - 10 juin 2022 - Une plainte pénale au PNF vise le parc éolien en mer du Calvados

Quelques extraits :

  • En 2012, Eolien Maritime France (EMF) s’était vu attribuer le marché du parc éolien en mer du Calvados, au large de Courseulles-sur-Mer après appel d’offres.
  • Le comité des pêches du Calvados a porté plainte auprès du Parquet national financier (PNF) pour des soupçons de « favoritisme » et de « détournement de fonds publics » dans l’attribution d’un parc éolien en mer au large du département.
  • [En 2012] L’actionnariat d’EMF était alors détenu par EDF Renouvelables et le danois Dong Energy, remplacé en 2016 par le canadien Enbridge qui, selon les plaignants, « ne disposait à cette date d’aucune expertise industrielle dans la construction ou l’exploitation de parc éolien en mer ». Le CDPMEM estime que ce « changement d’intervenant aurait dû déclencher l’émission d’un nouvel appel d’offres, en ce qu’il était susceptible de dégrader les capacités techniques mises en œuvre sur le projet de construction du parc éolien offshore ».

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Ouest-France - 16 mai 2022 - Le projet de parc éolien en mer divise les élus

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Ouest-France - 15 mai 2022 - L’éolien en mer divise les élus au conseil de Courseulles

Un conseil municipal rapide s’est tenu vendredi 13 mai 2022 à Courseulles-sur-Mer (Calvados), demandant l’avis des élus sur le prochain parc éolien en mer Centre-Manche. Avec deux votes favorables seulement, la maire Anne-Marie Philippeaux et son adjoint Bruno Dubois ont tenté d’argumenter.

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Ouest-France - 3 mai 2022 - Le Sea Installer entame le chantier éolien offshore

À plus de 10 kilomètres de la côte, au large de Courseulles, le Sea Installer a planté ses « pattes » dans la Manche. Le but, enfoncer des pieux dans le fond marin, pour installer un poste électrique

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Le Bessin Libre - 30 avril 2022 - Un étrange navire danois vient de faire son apparition dans la Baie

La Manche Libre, datée du samedi 30 avril 2022

  • Le bateau est danois, l’équipage danois vit à bord (60 cabines), où sont les retombées locales promises ?
  • Le bateau est surélevé de 10 mètres au dessus du niveau de la mer, la grue fait 115 mètres de haut. Les éoliennes culmineront quant à elles à 175 mètres. Pour tout ceux qui nous ont répété qu’on ne les verrait pas, passez juste sur la plage...
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Les Echos - 17 mars 2022 - Les éoliennes nous rendent dépendants du gaz russe

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Le Figaro - 3 mars 2022 - 6 000 éoliennes allemandes touchées par une cyberattaque russe

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Actu.fr - 4 février 2022 - Avec les grandes marées, le chantier du parc éolien de Bernières-sur-Mer se dévoile au grand jour

https://twitter.com/LIBERTE_CAEN/status/1489372818718576641

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Actu.fr - 27 octobre 2021 - Éoliennes au large du Calvados : le grand chantier sur la plage a commencé

Par Maxence Gorregues - Publié le 27 octobre 2021

Les travaux à terre pour le futur parc éolien au large de la Côte de Nacre ont commencé en cette fin octobre 2021. Ils sont visibles sur la plage de Bernières-sur-Mer.

Sur la plage, aucun doute. Les travaux à terre lié à la création du parc éolien au large de Courseulles et Bernières, sont facilement visibles. (©DR)

Les vacances scolaires ont commencé. Comme chaque année fin octobre, les passants en promenade sur les digues de Bernières-sur-Mer et Courseulles-sur-Mer (Calvados), se font plus nombreux. Et à l’inverse des années précédentes, il est un sujet qui fait causer : les travaux en cours sur la plage.

« Les touristes se demandent ce qu’il se passe, observe Florent, un habitant de la Côte de Nacre. Alors on leur explique que c’est le début des travaux à terre pour le futur parc éolien en mer ». Un parc dont les premières éoliennes seront érigées à une dizaine de kilomètres de la plage.

Lieu de raccordement entre la terre et la mer

Viennent tout juste de commencer sur le sable huit mois de travaux. Le chantier dit « à terre » doit ainsi durer jusqu’en juin 2022. Sont concernés le parking du Platon (le parking pour la plage situé à l’ouest de Bernières), la digue, la cale, la plage et l’estran. La zone s’étend sur environ 200 mètres.

Le chantier doit permettre de créer deux chambres de jonction sous le parking du Platon, le point d’atterrage, pour connecter à l’avenir les deux câbles sous-marins aux deux câbles terrestres. La mise en service du parc est prévue pour 2024.

La production doit permettre de répondre à un besoin en électricité à la consommation de 630 000 personnes, soit quasiment la population du Calvados (690 000). L’exploitation et la maintenance du parc éolien en mer se fera depuis la base de maintenance qui sera quant à elle située à Ouistreham.

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Le Figaro - 14 octobre 2021 - Michel Bernard : Les éoliennes enlaidissent jusqu’au ciel, indispensable à la respiration des hommes

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Cabinet GIDE - 13 octobre 2021 - Eolien en mer et intérêt à agir

Eolien en mer : retour sur l’intérêt à agir des pêcheurs et la problématique des aides d’Etat -

13 octobre 2021

Cabinet Gide Loyrette Nouel
Aux termes d’un arrêt du 15 septembre 20211, le Tribunal de l’Union européenne a rejeté les recours de pêcheurs à l’encontre de la décision de la Commission européenne du 26 juillet 20192, qui avait refusé d’ouvrir une procédure formelle d’examen des aides d’Etat bénéficiant aux six projets lauréats des appels d’offres offshore de 2011 (Saint-Nazaire, Fécamp, Courseulles-sur-Mer et Saint-Brieuc) et 2013 (îles d’Yeu et de Noirmoutier et Dieppe/Le Tréport).

Alors que la construction de ces premiers parcs éoliens offshore français est entamée, et que les candidats présélectionnés pour l’AO5 Bretagne Sud ont été annoncés le même jour, cet arrêt inédit rappelle l’enjeu de ces projets en matière d’aides d’Etat.

Les pêcheurs sont-ils des parties intéressées dans les contentieux relatifs à l’éolien offshore ?

Lire tout l’article du cabinet GIDE LOYRETTE NOUEL, accessible également en ligne ici :

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Le Figaro - 30 septembre 2021 - Eolien ou nucléaire : l’énergie dans la bataille présidentielle

Dossier de 4 pages (dont la Une) dans le Figaro du 30 septembre 2021

Principaux articles :

  • Éolien ou nucléaire : l’énergie dans la bataille présidentielle
    • Selon notre sondage Odoxa-Backbone Consulting, l’image de l’éolien se dégrade fortement dans l’opinion alors que celle du nucléaire s’améliore. Le débat s’invite dans la campagne.
  • Masochisme énergétique
  • Éoliennes et nucléaire : les politiques affichent leurs divisions
    • Faut-il stopper le nucléaire ? Développer les énergies renouvelables ? Le débat s’invite dans la campagne.
  • L’image de l’éolien se dégrade fortement en France
  • EN MER, L’ONG SEA SHEPHERD DÉNONCE UN « ÉCOCIDE »
    • Surtout connue pour ses opérations coup de poing en mer, l’ONG Sea Shepherd se positionne de façon plus inattendue contre le développement d’éoliennes le long des côtes françaises. Dans un dossier intitulé « Projets français d’usines éoliennes en mer : une bombe à retardement écologique », l’organisation, qui se présente comme une « ONG de défense de l’océan » assume la nécessité d’agir « face à une menace imminente d’une ampleur telle qu’elle hypothèque l’avenir de la vie marine côtière. » Selon sa présidente, Lamya Essemlali, « Au prétexte de lutter contre le changement climatique, les promoteurs de l’industrie éolienne en mer se voient accorder des passe-droits qui seraient refusés à n’importe quelle autre industrie. Ils agissent comme un véritable rouleau compresseur autorisé à détruire le littoral ; et l’État, en les soutenant, se rend coupable d’un écocide. »
  • À Oléron, un « non ferme et définitif » au parc offshore
  • La crise énergétique n1et à mal la stratégie du tout-renouvelable
    • L’envolée des prix de l’électricité en Europe souligne le danger de la dépendance au gaz.
  • En Allemagne, la filière de l’éolien cherche un nouveau souffle

    Télécharger les 4 pages au format PDF :

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La Manche Libre - 2 octobre 2021 - Les marins-pêcheurs de Port-en-Bessin ont aussi manifesté

Télécharger toute la page de La Manche Libre, entièrement consacrée à la mobilisation des pêcheurs de Port-en-Bessin contre les éoliennes en mer de Normandie.

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Le Figaro - 25 septembre 2021 - Opposés aux éoliennes offshore, les pêcheurs manifestent à Cherbourg et au Havre

Quelques extraits :

Une centaine d’embarcations ont ralenti l’activité de ces deux ports vendredi matin, avant une contestation menée sur la terre ferme. Professionnels de la mer, ils craignent que les mâts ne raréfient les ressources halieutiques.

Comme pour de nombreuses embarcations de pêche artisanale qui ont fait le déplacement jusqu’à Cherbourg, la Saint-Jacques est le coquillage qui les fait vivre. « Or tous ces projets d ’éoliennes remettent en cause des décennies d’efforts de la part des pécheurs pour mieux gérer cette ressource », dénonce Mathieu Vimard, responsable du
comité des pêches de Port-en-Bessin.

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Ouest-France - 25 septembre 2021 - Les pêcheurs normands opposés aux parcs éoliens

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Ouest-France - 15 septembre 2021 - Parcs éoliens : les pêcheurs ne désarment pas

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Le Figaro Magazine - 27 août 2021 - Dossier - Eoliennes, la résistance s’organise

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Ouest-France - 24 août 2021 - Courseulles-sur-Mer : une action contre l’éolien en mer

Pour passer le message de désaccord des pêcheurs, des banderoles ont été hissées lors de la Fête de la mer, ce week-end. | OUEST-FRANCE

Julien Hue a installé sur son chalutier La Persévérance une banderole pour manifester son désaccord vis-à-vis du futur parc éolien au large de Courseulles lors de la Fête de la mer, ce week-end.

Le pêcheur de coquilles Saint-Jacques et poissons divers en Manche Est, de Cherbourg à Boulogne, se dit inquiet de sa future zone de travail « réduite avec une zone préservée de coquilles où on a, depuis plusieurs années, fait se reproduire et grossir la coquille. Ajoutons le Brexit, les bateaux industriels et les éoliennes en mer, ça devient très compliqué ».

À ses côtés, Jean-François Collard, acteur local pour la défense de la mer et contre l’éolien maritime, « aimerait que les pêcheurs obtiennent un moratoire et qu’on étudie le rapport risques-bénéfices de cette implantation non écologique qui va impliquer la disparition de cinq races de mammifères et de 54 oiseaux ».

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France Info - 27 juillet 2021 - Emmanuel Macron : "Je ne veux pas qu’on abîme nos paysages"

Beaucoup d’articles de presse sur l’intervention du Président Macron du 26 juillet 2021.

Quelques extraits de l’intervention du Président Macron sur l’éolien :

  • Emmanuel Macron souhaite aussi développer le solaire, qui représente "moins de nuisances visuelles pour les concitoyens"
  • "Je ne veux pas qu’on abîme nos paysages", a-t-il insisté, "c’est une part de notre patrimoine et de notre richesse profonde, de notre identité".
  • Sur l’éolien en mer, "qui n’est pas moins sensible", Emmanuel Macron veut également continuer à développer des projets et à "baisser leurs coûts".
  • Le président a prôné le "cas par cas" face aux critiques vis-à-vis de l’éolien.

    Télécharger les principaux articles de :

  • France Info : Climat : Emmanuel Macron défend le nucléaire, notre "chance", et prône le "cas par cas" pour l’éolien
  • Les Echos : Macron prône le "cas par cas" sur les éoliennes
  • Ouest-France : Le nucléaire, une "chance" selon Macron
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Le Figaro - 24 juillet 2021 - Éoliennes, une prolifération qui provoque l’exaspération

Plusieurs articles :

  • Éoliennes : une prolifération qui provoque l’exaspération
    • Sur terre comme en mer, le gouvernement poursuit ses objectifs et multiplie les parcs éoliens, malgré la généralisation des oppositions locales, nationales et européennes
  • Dix ans pour rien
  • Les parcs éoliens prolifèrent malgré une forte opposition
    • Le gouvernement est déterminé à multiplier les édifications de mâts, sur terre comme en mer, en dépit des protestations de tous bords.
  • Les pêcheurs de Saint-Brieuc entre colère et résignation
  • Des agriculteurs épuisés au pied du parc « le plus étudié de France »
  • Des centaines de mâts en mer Méditerranée

Extrait : "À Saint-Brieuc, il est encore temps d’arrêter les frais : le gouvernement
doit d’urgence mettre fin à ce chantier, pour sortir de ce contresens écologique et économique". François-Xavier Bellamy, Député européen, en visite sur le chantier éolien en mer de Saint-Brieuc

Lire tout le dossier (3 pages) :

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Ouest-France - 13 juillet 2021 - Opération musclée des pêcheurs au large de Courseulles contre le projet de parc éolien

Quelques extraits :

« On ne laissera pas les travaux du parc éolien se faire, c’est très clair. Alors soit ils les arrêtent, soit on finit tous en prison. » Les pêcheurs qui ont mené l’action coup de poing lundi 12 juillet, au large de Courseulles-sur-Mer (Calvados), sont déterminés. Leur cheval de bataille : faire péricliter la construction du parc éolien en mer, avec ses 64 éoliennes, à 10 km au large des côtes du Calvados.

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Le Figaro Magazine - 9 juillet 2021 - Jean-Marc Jancovici - Les éoliennes et les panneaux solaires n’ont pas servi à décarboner le pays

"Les éoliennes et les panneaux solaires ont absorbé 150 milliards d’euros depuis quinze ans. C’est un effort très important, mais qui n’a pas servi à décarboner le pays. A ce prix-là, on pouvait mettre 1 million de kilomètres de pistes cyclables en France, ou sortir le fuel et le gaz du chauffage pour les remplacer par des pompes à chaleur."

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Le Figaro - 8 juillet 2021 - Il est urgent que la démocratie reprenne ses droits face à la religion éolienne

TRIBUNE - Alors que le Sénat a voté un amendement permettant un droit de véto des maires contre les éoliennes, la ministre Barbara Pompili s’y est opposée. Pour Patrice Cahart, inspecteur général des finances, ce refus prouve le dogmatisme des partisans d’une énergie qui a prouvé son inefficacité.

Quelques extraits :

  • L’éolien devient donc, en France, un ennemi du climat. Et il l’est une seconde fois par l’énormité des ressources financières qu’il absorbe. Si l’on applique vraiment la PPE, qui prévoit d’ici à 2035 la fermeture de douze réacteurs, à « remplacer » par deux tiers d’éolien et un tiers de photovoltaïque, il faudra d’après mes calculs investir 145 milliards d’euros.
  • En comparaison, le maintien en service des réacteurs condamnés, au moyen de dépenses dites de grand carénage, ne coûterait que 13 milliards d’euros. Les 145 milliards dépensés ne seraient plus disponibles pour financer les actions réellement utiles au climat : isolation des bâtiments, promotion du chauffage électrique et des véhicules électriques (y compris les deux-roues).

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Ouest-France - 2 juillet 2021 - Louis-Dreyfus arme un navire pour l’éolien marin

Pourquoi la ministre déléguée à l’industrie Agnès Pannier-Runacher vient-elle à Saint-Nazaire inaugurer un bateau fabriqué ... en Turquie ?

Non seulement le bateau n’a pas été fabriqué en France, mais en plus il est conçu pour que les intervenants des chantiers éoliens en mer logent à bord...

Une nouvelle fois, l’éolien crée des emplois, mais pas en France. En revanche, on est bien certain que ces chantiers détruisent les emplois des marins pêcheurs de notre littoral.

La promesse de faire vivre les commerces locaux, les hôtels et restaurants de la côte avec les techniciens du chantier, tombe à l’eau, une de plus.

Madame la Ministre, que célèbre-t-on au juste alors ?

Quelques extraits :

  • Construit en Turquie par le chantier Cemre, il a coûté presque 45 millions d’euros à LDA. "Construire en France aurait coûté 30 % de plus", regrette Édouard Louis-Dreyfus.
  • C’est aussi un lieu de vie confortable pour vingt-cinq membres d’équipage et une soixantaine de techniciens. Les premiers restent deux mois à bord, les seconds, quatorze jours. On y trouve donc des cabines modernes, des lounges, des connexions wifi et de la vidéo.

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La Manche Libre - 3 juillet 2021 - Éoliennes en mer : Sea Shepherd demande une suspension des travaux

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La Manche Libre - 26 juin 2021 - Bessin : Halte aux éoliennes !

Articles de ce numéro :

  • Stéphane Bern part en guerre contre les éoliennes
  • Eoliennes : "On a reçu des menaces de mort"
  • Où seront les futurs parcs éoliens dans le Bessin ?
  • Marche pacifique des marins-pêcheurs contre les éoliennes

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Ouest-France - 25 juin 2021 - Eolien : dialogue rompu entre pêcheurs et EDF

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Le Figaro - 24 juin 2021 - Luc Ferry : L’éolien contre l’environnement

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Le Figaro - 24 juin 2021 - Eoliennes : les mensonges du vent

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Ouest-France - 20 juin 2021 - Eoliennes, les pêcheurs font entendre leur colère

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Le Parisien - 19 juin 2021 - Un projet indécent près des Plages du Débarquement

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Ouest-France - 16 juin 2021 - Inquiétudes et colère après la pollution en mer

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Ouest France - 16 juin 2021 - Le chantier éolien provoque une pollution en mer

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Les Echos - 15 juin 2021 - Eoliennes : les nouvelles raisons de la colère

La nouvelle vague d’hostilité contre le développement de l’éolien en France s’appuie sur un discours économique beaucoup plus charpenté que les précédentes. L’opposition des politiques est également plus tranchée, proximité des grands rendez-vous électoraux oblige.

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Ouest-France - 14 juin 2021 - L’éolien soufflera-t-il des voix à Courseulles ?

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La Manche Libre - 13 juin 2021 - En questions. Pour Jérémy Legaillard, un non catégorique face au parc éolien de Courseulles

Patron-armateur du bateau "Rayon Vert" depuis octobre 2020, Jérémy Legaillard est fer-mement opposé au projet de parc éolien de Courseulles-sur-Mer.

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Ouest-France - 12 juin 2021 - Calvados. Éoliennes au large de Courseulles : deux ministres interpellées

En soutien aux pêcheurs, la députée européenne et conseillère départementale du Calvados, Stéphanie Yon-Courtin, demande aux ministres Annick Girardin et Barbara Pompili davantage de précisions sur l’impact de ce futur parc éolien.

« Au-delà de l’impact visuel de ce parc éolien, au large du sanctuaire des plages du Débarquement, les pêcheurs de Courseulles sont extrêmement inquiets de ses conséquences sur la pêche. »

Dans un courrier, adressé aux ministres de la Mer, Annick Girardin, et de la Transition écologique, Barbara Pompili, la députée européenne et conseillère départementale du Calvados, Stéphanie Yon-Courtin, fait part de son soutien aux pêcheurs face à ce projet dont le chantier doit démarrer.

Les 64 éoliennes seront installées à 10 km au large de Courseulles, 12 km d’Arromanches et 19 km de Port-en-Bessin. « Nous soutenons la démarche des pêcheurs qui souhaitent qu’une concertation soit organisée avec le futur exploitant du parc éolien, précise Stéphanie Yon-Courtin. Toutes les études d’impact doivent leur être fournies avant que ne débutent les travaux. »

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La Manche Libre - 12 juin 2021 - Bessin. Les pêcheurs disent non aux projets éoliens

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Ouest-France - 11 juin 2021 - Les parcs éoliens, "c’est la mort de notre profession"

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Ouest-France - 11 juin 2021 - Eolien : les pêcheurs montent au créneau

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Les Echos - 9 juin 2021 - Les éoliennes envahissent la campagne des régionales et des départementales

Quelques extraits :

  • L’éolien profite bien moins à l’économie de la France, qui n’a pas su se doter d’une véritable filière industrielle, qu’à ses voisins.
  • S’y ajoutent les considérations relatives aux impacts visuels sur le patrimoine historique et architectural, jugés préjudiciables à l’économie touristique par les opposants.
  • A gauche. le Parti communiste sort du lot et rejoint la droite pour son opposition au développement du parc éolien et son soutien au nucléaire. En Normandie, le député
    PCF Sébastien Jumel a résolument axé sa campagne dans ce sens. L’élu de Dieppe plaide pour la construction de deux EPR supplémentaires en Normandie et s’oppose au projet de parc éolien offshore au large de la ville. au nom de l’emploi.

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Le Figaro - 8 juin 2021 - Brigitte Macron assure Stéphane Bern de son soutien dans sa croisade contre les éoliennes

Extraits :

  • Lors de la remise des prix de la fondation Bern pour l’Histoire et le Patrimoine, l’animateur a de nouveau tonné contre la « religion du progrès » qui « défigure nos paysages »
  • Depuis l’estrade, la sortie fit sourire Brigitte Macron, soutien de la première heure de l’animateur. « Je ne vous ai jamais résisté, et je continuerai » a-t-elle plaisanté

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La Manche Libre - 7 juin 2021 - Un binôme candidat Pour un libre horizon

Politique. Elsa Joly-Malhomme et Jean-François Collard, candidats pour les élections départementales ne sont pas "contre" les éoliennes, mais ne veulent pas qu’on "fasse n’importe quoi".

Elsa Joly-Malhomme et Jean-François Collard sont candidats aux élections départementales "Pour un libre horizon".

Pourquoi faire campagne "contre" les éoliennes ? N’est-ce pas trop tard ?

E. J.-M.  : "Nous ne sommes pas contre la transition énergétique, c’est une préoccupation essentielle, mais il ne faut pas accepter de faire n’importe quoi à n’importe quel prix. Notre zone côtière est vivante et fragile. Il faut protéger nos mammifères marins, les oiseaux de notre littoral et les oiseaux migrateurs. Intégrer le parc prévu au niveau de Courseulles sur le projet lancé à 40 km de Barfleur est encore possible !"

Que reprochez-vous au projet actuel ?

J.-F. C : "Le matériel qui est proposé sur le parc de Courseulles est déjà obsolète. Des éoliennes nouvelle génération comme on en installe partout en Europe permettent de diviser par deux le nombre d’éoliennes prévues. De plus, le prix garanti par l’Etat pour le projet de Courseulles - qui est subventionné par le contribuable à hauteur de plus de 3 milliards d’€ - est de 138,70 € par MWh d’électricité produite, alors que celui attribué à Dunkerque en 2019 n’était que de 44 €/MWh. Ce projet a été validé malgré une majorité d’opposants lors de l’enquête publique, les votes "pour" notre candidature feront office de référendum pour que la population soit enfin écoutée".

Comment travaillerez-vous ?

E. J.-M.  : "On est tous deux des gestionnaires prêts à mettre nos compétences au service de tous avec l’ensemble des conseillers départementaux, dans la future majorité".

J-F. C.  : "C’est l’occasion pour les électeurs de s’exprimer, nous porterons leur voix pour une écologie responsable dans le respect de notre territoire exceptionnel".

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Les Echos - 4 juin 2021 - Un parc éolien prévu face aux plages du Débarquement divise les Normands

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La Manche Libre - 5 juin 2021 - Le binôme pour un libre horizon

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Le Figaro - 1er juin 2021 - Le Figaro - "Éoliennes : du rêve aux réalités" - le film choc qui déconstruit l’imposture

Voir le film :

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Le Figaro - 31 mai 2021 - Stéphane Bern - "Madame Pompili, les éoliennes sont une négation de l’écologie"

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Ouest-France - 26 mai 2021 - Ce binôme veut mettre l’éolien au coeur du débat

2 figures connues de Libre Horizon s’engagent !

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Ouest-France - 10 mai 2021 - Parc éolien au large de Courseulles : le recours d’opposants devant le Conseil d’État rejeté

Par une ordonnance rendue ce lundi 10 mai 2021, le Conseil d’Etat rappelle que « les travaux conduits par RTE (Réseau de transport d’électricité) ont été autorisés par une déclaration d’utilité publique du 30 juin 2016 », et « ne peuvent caractériser une situation d’urgence de nature à justifier leur suspension ». Il rejette donc la demande de Libre Horizon et de la SPPEF, ce qui autorise la poursuite des travaux.

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Le Figaro - 5 mai 2021 - Les éoliennes, mauvaise affaire des propriétaires

Le tribunal administratif de Nantes a reconnu que la présence d’éoliennes faisait baisser la valeur des habitations à proximité.

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Ouest-France - 3 mai 2021 - Parc éolien en mer, il faut remettre le projet à plat

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Les Echos - 27 avril 2021 - Eolien en mer, la France tente un nouveau départ

L’appel d’offres pour un 8ème parc éolien en mer a été lancé en janvier 2021. Il concerne une zone en Normandie, qui a les caractéristiques suivantes :

  • La zone retenue est « à plus de 32 km au large de Barfleur et 40 km des tours Vauban de Saint-Vaast »
  • Le gouvernement avait fixé un prix indicatif de 60 euros par MWh pour ce parc. Mais on s’accorde à dire au sein de l’administration que le tarif final garanti à l’industriel qui opérera les éoliennes sera plus proche du prix de 44 euros par MWh proposé par EDF à Dunkerque.
  • Placées à 30 kilomètres des côtes [...] ces éoliennes normandes laissent espérer « une acceptabilité globale plus simple » explique Vincent Balès, le directeur général de WPD France

    Finalement, tout ce que disait Libre Horizon est bien possible : plus loin des côtes et à un prix de marché. Mobilisons-nous pour obtenir les mêmes changements pour éloigner de la zone du Débarquement le projet de Courseulles-Arromanches !

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Le Figaro - 27 avril 2021 - Il est temps d’arrêter le soutien politique aux éoliennes

Extraits :

  • S’il est vrai que l’énergie produite par les éoliennes n’est pas en soit polluante, elle produit indirectement énormément de pollution. Leur intermittence liée à la dépendance du vent fait qu’elles ne peuvent fonctionner qu’avec une faible partie de leur capacité (35 % maximum pour des éoliennes en mer dans des régions venteuses).
  • Ce faisant, il est nécessaire de compenser cette faible productivité par l’utilisation de d’autres énergies comme le charbon ou le gaz.
  • Ainsi le développement de l’énergie « propre » qu’est l’éolien doit s’accompagner d’une augmentation des énergies polluantes. Une situation illogique d’un point de vue écologique.

    Lire tout l’article :

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Ouest-France et la Manche Libre - 21 avril 2021 - Parc éolien au large de Courseulles, un référé déposé au Conseil d’État

Deux articles de Ouest-France et La Manche Libre évoque le référé au Conseil d’Etat déposé contre le démarrage des travaux à terre, déposé le 14 avril dernier.

Lire l’article de Ouest-France :

Lire l’article de La Manche Libre :

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Le Figaro - 27 mars 2021 - DOSSIER - La fronde monte contre la prolifération des éoliennes

Le Figaro - 27 mars 2021 - La Une et 2 pages d’articles :

  • LA UNE : La fronde monte contre la prolifération des éoliennes.
  • Edito : Les envahisseurs, par Bertrand de Saint-Vincent
  • La prolifération des éoliennes avive les tensions dans les campagnes
  • À Saint-Brieuc, les pêcheurs furieux menacent de bloquer le chantier
  • Écologistes, agriculteurs, élus ... Une opposition bigarrée, dense et active
  • Le sujet mis en avant par les candidats aux élections régionales

    Accéder au dossier de trois pages :

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Le Figaro - 16 mars 2021 - Dominique Bussereau lance l’alerte contre les dérives de l’éolien

Extrait : "Dominique Bussereau n’a rien à reprocher aux éoliennes en mer, à condition
qu’elles ne soient pas visibles et ne gênent pas les activités maritimes."

Ce que nous demandons en somme.

Lire tout l’article :

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Le Figaro - 6 mars 2021 - Comment les règles limitant l’installation des éoliennes ont été démantelées

Pour l’éolien terrestre, "les opposants à des éoliennes ne peuvent plus faire appel ; ils sont désormais jugés en premier et dernier ressort par les cours administratives d’appel en vertu d’un décret de 2018. La règle fondamentale d’un jugement défavorable. La règle fondamentale du double degré de juridiction est donc bafouée."

Pour l’éolien en mer, même combat : "La volonté de développer massivement l’éolien caractérise ainsi tous les gouvernements depuis dix ans, en ce compris l’actuel. Nos concitoyens, dont les maires ont été mis hors-jeu, ne disposent plus que des tribunaux pour faire entendre leur voix. Mais cette forme d’opposition, conforme aux principes
démocratiques élémentaires, paraît insupportable aux professionnels de
l’éolien. Aussi ont- ils obtenu que, par un décret de 2016, la cour administrative d’appel de antes soit l’unique juridiction à connaître des recours contre les parcs éoliens maritimes, avant que finalement la loi du 7 décembre 2020 n’attribue ce contentieux au seul Conseil d’État.

Pour en savoir plus sur l’unique degré de juridiction concernant l’éolien en mer : Décret n° 2021-282 du 12 mars 2021 portant application de l’article L. 311-13 du code de justice administrative : ce décret dresse la liste des décisions prises en matière d’installations de production d’énergie renouvelable en mer (éoliennes « offshore »), qui relèvent désormais de la compétence en premier et dernier ressort du Conseil d’Etat statuant au contentieux, à la place de la cour administrative d’appel de Nantes jusque-là compétente.

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Challenges - 25 février 2021 - L’éolien marin attend encore de prendre la vague

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Ouest-France - 23 février 2021 - Top départ pour le parc éolien de Courseulles

Le rouleau compresseur des annonces continue. Tout est fait pour décourager les oppositions, et laisser entendre que la partie est finie.

rappelons toutefois que nous avons engagé un recours le 20 novembre 2020 relatif au changement de titulaire et que nous souhaitons bien poursuivre notre lutte, avec votre aide !

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Le Figaro - 22 décembre 2020 - Vent de colère contre l’essor des éoliennes

En une :

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Le Figaro - 22 décembre 2020 - L’éolien offshore crée aussi de vives tensions

Extraits :

  • "L’offshore est une catastrophe pour l’environnement et la pêche", certifie de son côté le député LR des Côtes-d’Armor, Marc Le Fur, vent debout contre les éoliennes en baie de Saint-Brieuc.
  • « Les conséquences vont être dramatiques pour ceux qui, dans la Manche, vivent de la pêche et qui vont devoir, de surcroît, affronter les conséquences du Brexit. »
  • Pour le député, c’est l’incompréhension : « Quand un batracien a l’habitude d’emprunter un circuit, on interdit d’y construire une route. Là, on va massacrer un bien précieux. »

    Lire tout l’article :

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Le Figaro - 26 novembre 2020 - Eolien en mer, la loi qui bride les recours

Le droit administratif français dispose de trois degrés de juridiction, le Tribunal administratif (1ère instance), la Cour administrative d’appel (2ème instance = appel), puis Conseil d’Etat (juge administratif suprême en France).

Face à l’augmentation des litiges sur l’éolien en mer, le législateur, plutôt que de traiter le problème à la racine, a préféré supprimer un degré de juridiction ; ainsi, les litiges éoliens en mer relèvent directement de la Cour administrative d’appel de Nantes.

Il semble que ce soit encore trop, puisque le gouvernement souhaite que ces litiges ne puissent plus faire l’objet d’appel, en étant directement traités par le Conseil d’Etat.

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Les Echos - 14 août 2020 - L’éolien en mer divise les écologistes

Quelques extraits :

  • Alors que six parcs français sont validés et que plusieurs autres sont en projet, des collectifs locaux dénoncent « l’industrialisation de la mer ».
    Le 30 juillet dernier, l’association Robin des Bois publiait un communiqué pour dénoncer « la découpe » et « l’industrialisation » de la mer. « On a peur que cet ensemble précipité de turbines ne ressemble à un fiasco comme celui de l’EPR ou de l’A380 », alerte le président de Robin des Bois, Jacky Bonnemains.

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Les Echos - 14 août 2020 - L’éolien en mer divise les écologistes

Quelques extraits :

  • Alors que six parcs français sont validés et que plusieurs autres sont en projet, des collectifs locaux dénoncent « l’industrialisation de la mer ».
  • Le 30 juillet dernier, l’association Robin des Bois publiait un communiqué pour dénoncer « la découpe » et « l’industrialisation » de la mer. « On a peur que cet ensemble précipité de turbines ne ressemble à un fiasco comme celui de l’EPR ou de l’A380 », alerte le président de Robin des Bois, Jacky Bonnemains.

    Lire tout l’article :

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Le Figaro - 30 juillet 2020 - DOSSIER - Eoliennes, les opposants durcissent leur combat

Le Figaro - 30 juillet 2020 - La Une et 3 pages d’articles :

  • Éoliennes : les opposants durcissent leur combat
    • Les associations et les élus qui dénoncent l’implantation « excessive » de champs d’éoliennes en France ont décidé de se regrouper pour porter leurs dossiers en justice et gagner en visibilité.
  • Edito : Vent de fronde
  • Des associations s’unissent pour combattre les éoliennes
    • 165 structures ont déposé un recours contre un document qui préconise de multiplier par 2,5 la puissance de cette énergie en nouvelle-Aquitaine.
  • Bussereau : « Il appartient à tous les élus locaux de se battre contre des projets qui détruisent notre patrimoine »
    • ENTRETIEN - Président du conseil départemental de Charente-Maritime et président de l’Assemblée des départements de France, Dominique Bussereau alerte sur des installations excessives tous azimuts.
  • Un contentieux massif et âprement disputé

    Accéder au dossier de quatre pages :

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Le Figaro - 25 juillet 2020 - Lettre ouverte pour un débat citoyen sur l’éolien

Une page entière dans le Figaro et dans le Monde pour alerter sur l’impasse de l’éolien en France

Lire la lettre ouverte :

Pour en savoir plus : Site du Cérémé (Cercle d’Étude Réalités Écologiques et Mix Énergétique) : https://cereme.fr/

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Atlantico - 11 juillet 2020 - EPR / éoliennes : le match des dépenses incontrôlées entre la filière nucléaire et les énergies renouvelables

La filière nucléaire est critiquée pour ses coûts importants, notamment sur le dossier de l’EPR de Flamanville. Est-ce que la filière nucléaire mobilise beaucoup plus de subventions que la filière éolienne ? Les éoliennes sont-elles réellement plus rentables du fait de leur source d’énergie ?

Interview de Julien Aubert (député), Loïk Le Floch-Prigent (ancien dirigeant du groupe Elf)

  • "Le soutien à la filière éolienne est payé par la contribuable. Ce qui est très différent de la filière nucléaire dont l’essentiel des dépenses sont engagées par EdF avec l’Etat qui s’en porte garant."
  • "Suite au désastre de Fukushima, et il a fallu modifier le programme EPR Flamanville au cours de la construction par suite des changements de réglementation. C’est la cause essentielle des retards et des coûts."
  • "Parler de rentabilité des éoliennes est un gag dont nous souffrons tous. La seule rentabilité c’est celle des investisseurs qui ont obtenu un revenu garanti, bien supérieur à celui que n’importe quel indus-triel peut obtenir en travaillant dur"
  • "Si on raisonne en pure analyse financière la substitution du nucléaire par les renouvelables serait rentable, en termes de coût/gestion du risque, à partir du moment où un risque nucléaire de type Fukushima serait de 33%..."
  • "Aujourd’hui, les thèses anti-nucléaires sont promues en France au mépris du GIEC qui emploie l’atome dans 80% de ses scénarii"

    Lire tout l’article

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Le Figaro - 24 juin 2020 - Le plan de relance du gouvernement ne doit pas favoriser les éoliennes

TRIBUNE - L’acharnement du gouvernement à vouloir couvrir la France d’éoliennes nuit au climat aussi bien qu’à l’économie française, argumentent Patrice Cahart, inspecteur général des finances honoraire, et Bruno Ladsous, représentant d’associations de défense de l’environnement d’Occitanie.

Lire l’article en entier :

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Le Figaro - 23 juin 2020 - Lettre au Président Macron - Ne sacrifions pas nos plus beaux paysages aux éoliennes !

Des associations défendant le patrimoine, représentées notamment par Stéphane Bern, interpellent le président de la République dans une lettre ouverte pour exiger de protéger les paysages français de la pollution visuelle générée selon eux par l’implantation anarchique d’éoliennes.

Lire la lettre en entier

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La Manche Libre - 6 juin 2020 - Pêcheurs, de nouvelles difficultés à l’horizon

Edition datée du 6 juin 2020

Quelques extraits :

  • Au large de Courseulles, les campagnes de forage et de sondage, préalable aux travaux de construction des éoliennes en mer, vont exclure la pêche à proximité des zones testées de fin mai fin à fin septembre.
  • "La zone dont l’accès nous sera interdit est immense. C’est sur ce terrain que nous pratiquons depuis toujours la pêche au chalut comme la pêche à la drague", selon Jean-François Daubert, des bateaux le Stenaca II et le Saint-Jean.
  • Après une baisse conséquente des ventes liées au confinement, à l’absence des résidents secondaires au printemps et aux Calvadosiens qui viennent acheter leur poisson frais le week-end, les professionnels s’attendent à de nouvelles difficultés avec cette interdiction d’accès.
  • Lire tout l’article :

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Les Echos - 3 juin 2020 - Eolien en mer : EDF et la filière française passent à la pratique

Quelques extraits :

  • EDF et ses partenaires Enbridge et WPD ont annoncé le lancement du chantier du parc éolien en mer au large de Fécamp.
  • Il ne reste plus désormais qu’un projet octroyé à cette même période à lancer : « La décision finale d’investissement pour Courseulles-sur-Mer devrait être prise fin 2020, voire début 2021 », assure Cédric Le Bousse, directeur énergies marines renouvelables France d’EDF Renouvelables.

    Lire tout l’article :

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Le Monde - 3 juin 2020 - A Fécamp, les travaux du parc éolien en mer vont commencer

Quelques extraits : Depuis 10 ans, les coûts des infrastructures diminuent en moyenne de 8 % chaque année.

  • Au total, le parc de Fécamp devrait créer près de 1 400 emplois locaux directs et indirects.
  • Une centaine de postes seront ensuite créés dans le port de Fécamp à la mise en service du parc en 2023 pour en assurer la maintenance pendant les 25 années d’exploitation.
  • Mais l’installation des éoliennes bouleverse l’écosystème local, avec notamment l’arrêt de la pêche pendant la période de travaux en mer.

    Une règle de trois simple à faire : sachant que le projet de Fécamp dispose d’une aide d’Etat annuelle de 180 M EUR (via le tarif d’achat garanti de 135,2 EUR/MWh) :

  • Ce projet représente 128 000 EUR de subvention publique par emploi créé pour la construction du parc (2 à 3 ans).
  • 1,8 M EUR de subvention publique par emploi créé ou maintenu pour la maintenance du parc pendant 20 ans.
  • Lire l’article complet :

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La Manche Libre - 27 mai 2020 - Normandie. "Une cohabitation problématique", les pêcheurs agacés par l’éolien en mer

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Les Echos - 26 mai 2020 - La course au gigantisme s’accélère dans l’éolien en mer

  • "Face à la concurrence de General Electric avec son éolienne de 12 MW, Siemens Gamesa lance une éolienne en mer de 14 MW, un record."
  • "Baptisée « SG 14 – 222 DD », l’éolienne hors normes de Siemens Gamesa dispose de pales de 108 mètres de long, d’un rotor de 222 mètres de diamètre pour une puissance affichée de 14 mégawatts (MW), voire 15 MW en vitesse de pointe."
  • NB : Un rotor de 222 mètres, ça veut dire une hauteur en bout de pale de 250 m environ... Une raison de plus pour les éloigner à grande distance des côtes (50 km).
  • Lire tout l’article :

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Energies de la mer - 8 mai 2020 - Enbridge diminue ses participations directes dans les parcs en mer français d’EDF Renouvelables

On apprend aujourd’hui que Enbridge cède la moitié de sa participation dans le parc éolien de Courseulles-Arromanches à un fonds de pension canadien, CPP Investments.

Ainsi, "Éolien Maritime France SAS, [qui était] une joint-venture à 50/50 entre Enbridge et EDF" voit son actionnariat évoluer, moyennant une transaction de 71 M$ pour 25% de son capital, alors que le capital social de l’entreprise est de ... 37 000 EUR.

L’article ne parle pas de considération industrielle ni écologique, mais heureusement, l’essentiel est mentionné : « "On s’attend à ce que la transaction améliore les rendements des capitaux propres de la société du projet, reflétant un accent continu sur une allocation disciplinée du capital", a déclaré Enbridge. »

Est-ce une une très bonne nouvelle pour les français que les taxes sur l’électricité éolienne en France financent les rendements du spécialiste canadien des oléoducs Enbridge et du fonds de pension canadien CPP Investments ?

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Le Figaro - 7 mai 2020 - La folie des éoliennes s’accélère encore, la situation de la France exige de l’arrêter

Le gouvernement vient de décider de doubler la puissance installée de l’éolien terrestre dans les huit ans qui viennent, s’alarment Stéphane Bern, Jean-Claude Casanova et Michel Pébereau, Françoise Chandernagor, Patrice Cahart ainsi que les dix-sept autres signataires dans une tribune collective au Figaro.

Quelques extraits :

  • Nos paysages terrestres ou maritimes, avec les monuments qu’ils incluent, forment le cadre de vie des Français, et la base de notre tourisme. Un des rares atouts qui nous restent. Préservons-le.
  • Une nouvelle implantation massive d’éoliennes ne serait d’aucune aide dans la lutte contre le réchauffement. Et même, elle lui nuirait. Dans notre pays, une éolienne ne fonctionne en moyenne qu’à 24 % de sa puissance : quand le vent est faible, elle reste immobile, et quand il est trop fort, on doit l’arrêter. Or les consommateurs ont besoin d’une alimentation en énergie régulière. Le gaz, polluant, prend donc le relais. Si une nouvelle extension est donnée à l’éolien, il faudra davantage de gaz. Du fait de son union forcée avec ce méthane fossile, l’éolien n’est pas une vraie énergie renouvelable. En outre, il s’agira de plus en plus d’un gaz russe, ce qui donnera à la Russie un moyen de pression sur notre pays.
  • La programmation pluriannuelle de l’énergie prévoit pour la décennie 2018-2028 un coût de l’ordre de 81 milliards d’euros, correspondant surtout à des achats de matériel à l’étranger, notamment… en Chine. Un comble !

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Le Monde - 18 février 2020 - Elisabeth Borne dénonce le développement anarchique des éoliennes

Quelques extraits :

  • La ministre de la transition écologique et solidaire, Elisabeth Borne, s’est livrée à une charge sévère contre « le développement anarchique » de l’éolien
  • « Il y a des emplacements de parcs éoliens en covisibilité avec des monuments historiques. Je ne comprends même pas comment on a pu arriver à ces situations. »
  • Mes opposants à l’éolien emploient précisément les arguments de Mme Borne en invoquant, entre autres, la défense du patrimoine et la saturation visuelle.
  • Avec ce changement progressif de ton, la ministre emboîte le pas du président de la République, qui estimait, mi-janvier à Pau, que « la capacité à développer massivement de l’éolien [était] réduite ». « On pourra le faire où il y a consensus, mais le consensus autour de l’éolien est en train de nettement s’affaiblir dans notre pays. »

    Lire l’article complet :

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Challenges - 13 février 2020 - Un collectif d’élite s’engage contre l’éolien

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Actu.fr - 27 janvier 2020 - Bessin, le non franc et massif des pêcheurs pour un 4ème parc éolien marin

« On se sent bernés. Nous avons accepté le 1er parc de Courseulles et nous sommes contre le nouveau. C’est la mort de la pêche et de la commune de Port-en-Bessin », a déclaré d’entrée de jeu Jérôme Vicquelin, patron de l’Alliance. « On va perdre le peu d’acceptabilité des parcs éoliens de Courseulles, Fécamp et Dunkerque », soulignait, quant à lui, Nicolas Leblanc, du comité des pêches.

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Le Figaro - 24 janvier 2020 - Les adversaires des éoliennes retrouvent l’espoir

"Même le chef de l’État reconnaît que leur prolifération, ravageuse pour nos paysages, a ses limites."

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Valeurs actuelles - 21 janvier 2020 - Rentable pour les industriels, ruineux pour l’Etat, le scandale à 20 milliards de l’éolien offshore

Quelques extraits :

  • D’un côté, le gouvernement affirme que l’on sait maintenant construire (à Dunkerque) des éoliennes en mer qui produisent de l’électricité à moins de 50 €/MWh. D’un autre côté, il patronne dans pas moins de six sites la construction d’éoliennes qui vont produire de l’électricité que nous allons acheter 150 €/MWh. Cela revient à payer 150 ce que l’on pourrait avoir pour 50 : une bien mauvaise affaire.
  • Il est facile d’estimer le montant de ce cadeau aux promoteurs éoliens, montant qui sera pris dans la poche des Français : 1 milliard d’euros par an, 20 milliards en vingt ans. Pourquoi va-t-on jeter tant d’argent par les fenêtres ?
  • 20 milliards de dépensés… pour 2 % de la production française
  • Six parcs vont être construits. Ou bien ils le seront avec la technologie d’hier, et on aura un lamentable gaspillage de 20 milliards ; ou bien ils le seront avec la technologie d’aujourd’hui, et on aura un injustifiable cadeau (aux promoteurs) de 20 milliards.

    Lire tout l’article :

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Le Figaro - 6 décembre 2019 - "Si la population rejette de tels programmes, il faut l’écouter" (Julien Aubert, député du Vaucluse)

Quelques extraits :

  • Pour le député LR du Vaucluse, l’éolien coûte aujourd’hui bien trop cher.
  • L’éolien provoque un fort rejet des riverains. Il a contre lui de ne pas créer d’emplois dans les territoires où il est installé et de ne pas participer à la lutte contre le réchauffement climatique.
  • Il faut, par ailleurs, installer beaucoup d’éoliennes pour produire de l’électricité. Alors pourquoi envisager de dépenser au total 70 à 90 milliards d’aides publiques en soutien à cette filière ?

    Lire tout l’article :

    NB : Autre article dans cette même page : Associations, pêcheurs et riverains contre un projet d’éolien dans la Manche

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Le Figaro - 6 décembre 2019 - Associations, pêcheurs et riverains contre un projet d’éolien dans la Manche

Quelques extraits :

  • Les opposants aux éoliennes [...] ne désarment pas.
  • Associations, marins pêcheurs, comités de pêche, riverains se mettent de nouveau en ordre de marche pour tenter d’anéantir ce programme qui démarre à peine.
  • Sophie Leroy-Lebarbanchon, vice-présidente du comité régional des pêches de Normandie mais aussi chef d’entreprise faisant fonctionner trois chalutiers, [...] veut se faire entendre pour dénoncer, tout d’abord, un marché de dupes. « On avait fini par donner notre accord pour l’un des programmes dans la Manche car le chef de l’État de l’époque, François Hollande, nous avait assuré qu’il n’y en aurait pas d’autres », dit-elle, dépitée en faisant une promesse : celle de se battre contre tous ces parcs en mer, dont aucun n’a encore vu le jour en France, contrairement à la Belgique ou au Royaume-Uni. Se battre aussi pour sauver la Manche.

    Lire tout l’article :

    NB : Deuxième article dans cette même page : "Si la population rejette de tels programmes, il faut l’écouter" (Julien Aubert, député du Vaucluse)

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Techniques de l’Ingénieur - 21 novembre 2019 - L’offshore éolien, un marché toujours très concentré

Quelques extraits :

"L’Europe compte pour l’instant comme le marché dominant, avec des acteurs historiques particulièrement présents, tel le Danois Ørsted (c’est le pays qui s’est lancé le premier sur ce marché) qui représente 12,86% du marché mondial" [NB : leader mondial à ce jour]

"EDF se classe 12e de ce classement, avec 1,85% du marché".

"Côté fabricants de machines, le leadership est encore plus marqué et centré aussi sur l’Europe, même si la Chine progresse fortement. L’Allemand Siemens Gamesa possède 63% des parts du marché sur la période 1995-2018"

"GE Renewables Energy (qui a absorbé Alstom et sa technologie offshore) pointe à la septième place, mais avec seulement 1% du marché"

[bleu]Notre analyse : Pourquoi EDF, initialement associé au leader mondial Ørsted, abandonne-t-il cette alliance au profit du canadien Enbridge, totalement étranger à l’éolien en mer ? Et pourquoi, en adoptant désormais les éoliennes & turbines du leader mondial Siemens Gamesa, nos prix ne baissent-ils pas ?"
[/bleu]

[bleu]En d’autres termes : 1) Nous payons trois fois le prix du marché - 2) Nous avons une implantation à 10 km des côtes alors que les pays européens font les leurs de 50 km à 100 km au large, invisibles des côtes. 3) Nous allons financer la formation d’un industriel canadien, plutôt que tirer profit d’une alliance avec le leader mondial. Quel rationnel ?...[/bleu]

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Actu.fr - 16 novembre 2019 - Eolien en mer : à Cherbourg, les pêcheurs disent non à un nouveau parc en Normandie

De nouvelles implantations de projets éoliens en mer sont actuellement discutées. Les pêcheurs s’y opposent, car ils réalisent les fausses promesses de 2012 qui les ont conduit à accepter le projet en pleine zone du Débarquement :

Extrait :
"On retient surtout l’intervention des pêcheurs. Ils étaient une quinzaine venus dire leur opposition au projet.

« Nous n’en voulons pas. Il n’y a plus de place et on ne le laissera pas s’implanter ! »

Les pêcheurs ont expliqué avoir accepté les parcs de Courseulles et Fécamp, attribués en 2012, avec l’assurance qu’il n’y aurait pas d’autres projets au large des côtes normandes."

Notre position : Quitte à avoir uniquement un ou deux parcs éoliens dans la Manche, faisons les très loin et avec les prix d’aujourd’hui, il y a une très grosse économie à la clé, et il y a de la place, comme le montre la carte de cet article !

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La Manche Libre - 2 novembre 2019 - Les éoliennes dangereuses pour la santé ?

Article paru dans la Manche Libre, édition datée du 2 novembre 2019.

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Les Echos - 14 octobre 2019 - Les vents mauvais de l’éolien

A lire absolument !

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Les Echos - 9 octobre 2019 - L’éolien en mer français espère rattraper le temps perdu

Extrait : "EDF Energies Nouvelles envisage de lancer les chantiers sur le site de Courseulles-sur-Mer, dont les recours juridiques ont été définitivement rejetés ces derniers mois : le closing financier de ce projet, remporté par EDF en 2012, est prévu pour fin 2020."

Notre commentaire : Ne nous laissons pas endormir, le combat n’est pas fini !

Lire l’article complet :

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Energies de la mer- 20 septembre 2019 - UK, l’éolien offshore britannique bat tous les records de prix

Le ministère britannique chargé de l’énergie a publié ce vendredi 20 septembre 2019 le résultat des enchères dans l’éolien offshore.

Les prix battent tous les records Le prix garanti descend à 39,65 £/MWh (soit 44,89 €/MWh), coût de raccordement au réseau compris.

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La Manche Libre - 24 août 2019 - Les éoliennes vraiment bénéfiques ?

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Les Echos - 17 juin 2019 - EDF décroche le projet éolien en mer de Dunkerque

Quelques extraits :

  • "Et le vainqueur est… EDF"
  • Le ministre de la Transition écologique et solidaire, François de Rugy, a annoncé que [...] le consortium bénéficiera d’un tarif garanti d’achat de l’électricité produite « inférieur à 50 euros le mégawattheure ».
  • Plusieurs autres groupements ont toutefois également « fait des offres de prix inférieures à 50 euros », a indiqué François de Rugy.
  • Le prix atteint crée un fossé avec les six premiers projets remportés en France en 2012 et 2014 [...] à un tarif garanti de 142 euros/MWh [...] soit peu ou prou 100 euros d’écart par mégawattheure avec l’appel d’offres de Dunkerque.

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Le Canard Enchaîné - 8 mai 2019 - Eoliennes en mer : 15 ans à brasser de l’air pour un projet à 15 milliards

En résumé,

  • Les projets sont mal pensés par le Ministère de l’Environnement, depuis l’origine
  • Certains fonctionnaires en charge des projets sont désormais chez les industriels attributaires
  • Ca coûte très cher, même au regard des emplois créés qui sont dérisoires vus les montants engloutis
  • Les champions français Alstom et Areva ont abandonné, c’est désormais une industrie 100% étrangère

    Bref, un fiasco.

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Le Monde - 17 avril 2019 - General Electric réduit la voilure dans l’éolien offshore en France

Extrait : "General Electric [...] a annoncé qu’elle se retirait de deux des trois parcs
éoliens offshore pour lesquels elle devait fournir des turbines. EDF, qui sera
l’opérateur de ces parcs, a déjà sélectionné le concurrent germano-espagnol
Siemens Gamesa pour remplacer GE."

Commentaire de Libre Horizon : La filière française (Areva et Alstom, devenue General Electric) a jeté l’éponge. En revanche, 100% des subventions publiques (payées par le contribuable français) restent... et profitent aux industriels étrangers qui ont repris les contrats, à nos frais...

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Libération - 17 avril 2019 - Les promesses de General Electric dans l’éolien en mer, c’était du vent

Quelques extraits représentatifs :

  • "Quatre ans après le rachat des activités énergie d’Alstom, il s’apprête par ailleurs à supprimer des centaines de postes en France"
  • "En 2015, le conglomérat industriel américain s’était engagé à créer 1 000 emplois dans les quatre ans. Bilan : zéro emplois créés fin 2018 et un plan de restructuration portant sur plusieurs centaines de suppressions de postes lancé dans la foulée, qui menace notamment l’usine de turbines à gaz de Belfort"
  • "Le nouveau PDG du groupe, Larry Culp, a décidé de tailler à la hache dans ses activités énergie. Et tout particulièrement de ce côté-ci de l’Atlantique. Délié des engagements pris au moment du rachat d’Alstom, GE France a déjà négocié 700 départs par rupture conventionnelle collective dans différentes entités en début d’année"
  • "Autant de dossiers sociaux minés qui attendent le nouveau PDG de GE France, Hugh Bailey, qui doit prendre ses fonctions le 22 avril. Comme Libération l’a révélé, ce dernier a été le conseiller industriel d’Emmanuel Macron lorsque ce dernier était ministre de l’Economie entre 2014 et 2016 et a donné son feu vert à la vente d’Alstom à GE… A ce titre, Hugh Bailey ne découvre pas que General Electric n’a pas tenu ses promesses en matière d’emplois et d’activités industrielles en France. Mais cela ne l’a pas empêché ce haut fonctionnaire d’offrir ses services au groupe américain « pour venir faire le sale boulot », s’insurge un syndicaliste de l’usine de Belfort."

    Lire tout l’article :

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Le Monde de l’énergie - 8 avril 2019 - Concurrence : l’UE inflige 52 millions d’euros d’amende à GE pour informations inexactes

Le seul titre est évocateur...

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Le Figaro - 8 février 2019 - La contestation contre les éoliennes s’invite dans le grand débat

Quatre pages d’articles, dont la une :

  • Un vent d’illusion, l’éditorial de Bertrand de Saint-Vincent (en Une)
  • Les éoliennes, ces autres "fâcheuses" du grand débat, de Stéphane Kovacs
  • Le tabou du recyclage et du coût du démantèlement, de Frédéric de Monicault
  • A Saint-Nazaire, le premier musée éolien de France ouvre ses portes au public, de Thibault Dumas
  • Le parc éolien poursuit sa croissance en France, Infographie le Figaro
  • Environ 8 000 machines dans le pays, 15 000 d’ici à 2030, de Frédéric de Monicault
  • Face au contentieux massif de l’éolien, la justice s’adapte, de Paule Gonzalès
  • Alexandre Gady : "Le gouvernement doit moins écouter les lobbys et davantage les citoyens !", propos recueillis par Eugénie Bastié

    Lire tout le dossier

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Les Echos - 7 février 2019 - Probable suppression de postes dans la division éolien de GE à Nantes

Extrait :

General Electric envisage de supprimer plusieurs dizaines de postes dans sa division éolien en mer en France, essentiellement basée à Nantes (Loire-Atlantique), ont indiqué des sources concordantes.

Au total, 80 postes sur les 246 du site nantais seraient concernés, a précisé à l’AFP un membre du Comité social et économique (CSE) de GE Wind France, des chiffres que la direction n’a pas souhaité confirmer.

Le groupe américain précise aussi que « GE Renewable Energy procède actuellement à une analyse de ses activités pour s’assurer que sa division Offshore Wind est la mieux placée pour répondre aux besoins du marché et permettre son succès à long terme ».

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Les Echos - 6 février 2019 - L’éolien à tout prix, une impasse écologique

Accès sur le site des Echos : https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/0600639917250-leolien-a-tout-prix-une-impasse-ecologique-2242477.php

Quelques extraits de la tribune de M. Edouard Tétreau :

Les pouvoirs publics encouragent l’installation de coûteuses éoliennes qui défigurent le paysage et ne produisent que par intermittence. Et Bruxelles décourage l’hydroélectricité en voulant détruire barrages et moulins au nom de la continuité des cours d’eau. Où est la logique écologique ?

Frankestein écologique : Avec ces cornes d’abondance de béton et de métal mêlés, viennent leurs corollaires : la prévarication, la pollution des terres, la mise en danger de la faune animale, des oiseaux et des chauve-souris. N’en jetez plus ? Ah, si, un dernier détail : malgré des dizaines de milliards de subventions détournées du pouvoir d’achat des Français (sous forme d’impôts), l’éolien, cerise sur le gâteau, est l’une des énergies les moins rentables du mix énergétique français : deux fois le coût du nucléaire ; 57 % plus cher que le solaire ; et l’intermittence de cette énergie oblige à doter les éoliennes de moyens de production pilotables... émetteurs de CO2 ! En langage de Millennials, cela s’appelle un vent.

Le moment est venu, pour ceux qui ont la véritable écologie au coeur - non pas ce militantisme de l’homme et de l’environnement nouveaux, mais bien, étymologiquement, cette « science de la maison », de la terre que nous habitons - de s’investir dans le grand débat. Et de faire valoir une vision plus humaine, plus humaniste et plus respectueuse de notre terre.

Lire tout l’article :

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Le Figaro - 6 février 2019 - General Electric paiera les 50 millions de pénalités pour ne pas avoir créé d’emplois

Après les promesses de création d’emplois pour gagner les contrats éoliens offshore, puis les promesses de création d’emploi pour racheter Alstom, maintenant la réalité ...

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Les Echos - 6 février 2019 - Faute d’emplois créés, GE finance un fonds de réindustrialisation

Que coûte une promesse non tenue de création d’emplois ? 50 Millions d’Euros.

Que rapportent les contrats éoliens offshore gagnés sur une fausse promesse de création d’emplois ? 1,25 milliards d’Euros de subvention publique par an.

No comment..

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Le Figaro - 29 janvier 2019 - Le (polluant) recyclage des vieilles éoliennes allemandes

Finalement, c’est très cher, et ça pollue...

  • Pales faites de multiples couches de fibre de verre collées avec des résines de polyester : très difficilement recyclables
  • L’enlèvement complet des bases en béton des éoliennes peut rapidement coûter plusieurs centaines de milliers d’euros supplémentaires, une somme que la plupart des opérateurs n’ont pas intégrée à leur plan d’affaires. Pour chaque mât planté, 250 à 400 mètres cube de béton armé sont coulés dans le sol, soit l’équivalent en volume d’une petite maison. En fin de vie, l’opération d’enlèvement constitue un investissement écologique primordial, dans la mesure où les fondations traversent différentes strates géologiques, et peuvent perturber les aquifères du sous-sol, et leurs nappes phréatiques.
  • Ne pas polluer en produisant de l’électricité est une chose, être une source réellement « écologique » d’énergie en semble une autre.

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Les Echos - 22 janvier 2019 - General Electric envisage jusqu’à 470 suppressions de postes en France

Après les promesses de création d’emplois pour gagner les contrats éoliens offshore, maintenant la réalité ...

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Challenges.fr - 16 novembre 2018 - 51 députés LR défendent une autre politique énergétique

Quelques extraits :

sur l’éolien terrestre et maritime, qui fait face à une véritable fronde du fait de l’atteinte portée aux paysages ou au fond des mers, il nous apparaît préférable de déclarer un moratoire pour les projets où aucun consensus local n’est constaté. Ce neuvième chantier supposera de réévaluer le coût réel de cette technologie, disproportionné par rapport à ses avantages.

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Les signature complets :

  • Thibault BAZIN, député de Meurthe-et-Moselle
  • Valérie BEAUVAIS, députée de la Marne
  • Emilie BONNIVARD, députée de la Savoie
  • Valérie BOYER, députée des Bouches-du-Rhône
  • Xavier BRETON, député de l’Ain
  • Bernard BROCHAND, député des Alpes-Maritimes
  • Fabrice BRUN, député de l’Ardèche
  • Gilles CARREZ, député du Val-de-Marne
  • Jacques CATTIN, député du Haut-Rhin
  • Gérard CHERPION, député des Vosges
  • Dino CINIERI, député de la Loire
  • Pierre CORDIER, député des Ardennes
  • Olivier DASSAULT, député de l’Oise
  • Bernard DEFLESSELLES, député des Bouches-du-Rhône
  • Vincent DESCOEUR, député du Cantal
  • Julien DIVE, député de l’Aisne
  • Charles de la VERPILLIERE, député de l’Ain
  • Jean-Pierre DOOR, député du Loiret
  • Annie GENEVARD, députée du Doubs et vice-présidente de l’Assemblée nationale
  • Philippe GOSSELIN, député de la Manche
  • Michel HERBILLON, député du Val-de-Marne
  • Patrick HETZEL, député du Bas-Rhin
  • Valérie LACROUTE, députée de Seine-et-Marne
  • Guillaume LARRIVE, député de l’Yonne
  • Marc LE FUR, député des Côtes-d’Armor et vice-président de l’Assemblée nationale
  • David LORION, député de la Réunion
  • Véronique LOUWAGIE, députée de l’Orne
  • Emmanuel MAQUET, député de la Somme
  • Olivier MARLEIX, député d’Eure-et-Loir
  • Jean-Louis MASSON, député du Var
  • Jérôme NURY, député de l’Orne
  • Jean-François PARIGI, député de Seine-et-Marne
  • Bérengère POLETTI, députée des Ardennes
  • Didier QUENTIN, député de Charente-Maritime
  • Nadia RAMASSAMY, députée de la Réunion
  • Robin REDA, député de l’Essonne
  • Frédéric REISS, député du Bas-Rhin
  • Jean-Luc REITZER, député du Haut-Rhin
  • Raphaël SCHELLENBERGER, député du Haut-Rhin
  • Jean-Marie SERMIER, député du Jura
  • Eric STRAUMANN, député du Haut-Rhin
  • Jean-Charles TAUGOURDEAU, député de Maine-et-Loire
  • Guy TEISSIER, député des Bouches-du-Rhône
  • Jean-Louis THIERIOT, député de Seine-et-Marne
  • Isabelle VALENTIN, députée de Haute-Loire
  • Patrice VERCHERE, député du Rhône
  • Arnaud VIALA, député de l’Aveyron
  • Michel VIALAY, député des Yvelines
  • Stéphane VIRY, député des Vosges
  • Eric WOERTH, député de l’Oise et président de la Commission des Finances
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Le Figaro - 26 octobre 2018 - Eoliennes : le grand vent de la colère

Quelques extraits :

Dans un livre accablant, Pierre Dumont et Denis de Kergorlay dénoncent la multiplication de ces moulins à vent qui défigurent nos paysages et plombent notre économie. Ils accusent les pouvoirs publics d’une faiblesse coupable, et le lobby éolien de cynisme.

Avec la rigueur de la logique et des enchaînements implacables, ils démontrent le coût insensé pour la collectivité de ces moulins à vent d’un nouveau genre.

L’électricité d’origine éolienne reviendrait-elle moins cher au consommateur ? Loin de là. EDF est contrainte d’acheter ce courant à un prix qui, en moyenne, atteint actuellement 82 euros le méga-wattheure (MWh). Elle le revend nettement moins cher sur les marchés européens. D’où un gaspillage financier que le développement de l’éolien ne peut qu’accroître et qui sera à la charge du con-sommateur.

La technologie de l’éolien serait-elle écologique, révolutionnaire ou d’une efficacité redoutable ? Certes pas, elle est l’une des façons les moins efficaces et les plus onéreuses de produire de l’électricité, du fait de l’intermittence du vent. Une éolienne ne fonctionne en réalité qu’aux alentours de 25 % de sa puissance annoncée.

Comme l’affirme l’Académie de médecine, se développe ici et là, chez les riverains des installations, ce que les médecins nomment un « syndrome des éoliennes », regroupant un ensemble de symptômes très divers. Ils peuvent être : « généraux », [...] neurologiques, [...] psychologiques, [...] endocriniens, [...] cardio-vasculaires, [...] socio-comportementaux.

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Le Figaro - 7 août 2018 - La fronde anti-éoliennes prend de l’ampleur

Dossier du Figaro du mardi 7 août 2018 : La fronde anti-éoliennes prend de l’ampleur

La France vent debout contre les éoliennes - Par Marie-Estelle Pech

Parcs, production... La filière se développe malgré certains freins - Par Delphine Denuit

Le long des côtes, l’éolien tourne au ralenti - Par Delphine Denuit

Alexandre Gady : "C’est la première mence qui pèse sur les paysages français" - Propos recueillis par Eugénie Bastié

Hulot : un an après, un bilan décevant - Par Antoine Pelé

Aucun impact identifié sur la santé humaine - Par Marielle Court

Accéder au dossier complet :

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Valeurs actuelles - 30 juillet 2018 - Julien Aubert : "On fait de l’éolien une religion"

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Le Figaro - 20 juin 2018 - Éolien en mer : l’Etat confirme les six projets de parc mais réduit son soutien financier

En quelques mots :

  • La France a attribué les six premiers contrats éoliens en mer en 2012 et 2014, avec une subvention publique massive de 40,7 Milliards d’Euros sur 20 ans, via un prix de rachat garanti de l’électricité de 226 EUR / MWh.
  • Ces centrales éoliennes sont prévues d’être situées entre 10 km et 20 km des côtes, fortement visibles du rivage et au milieu des zones de pêche.
  • Nos voisins, les allemands en particulier, attribuent désormais (avril 2017) des parcs éoliens offshore à plus de 50 km des côtes et 30 mètres de profondeur, sans subvention publique. Le prix de l’électricité y ressort inférieur à 50 EUR le MWh.
  • Le gouvernement a entrepris en mars 2018 de renégocier les prix des contrats éoliens en mer, le prix étant effectivement exorbitant.
  • Tout fier, le gouvernement annonce que le prix de rachat garanti va baisser à 160 EUR / MWh. La subvention publique passe à 1,25 milliards d’Euros par an pour les six parcs éoliens en mer.

    Notre avis à chaud :

  • On s’est rendu compte que ces contrats sont hors de prix
  • On a cherché à les renégocier
  • On crie Victoire ! avec un prix encore 3 fois plus élevé que nos voisins.
  • Pas de quoi être fier... Le combat continue !

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Les Echos - 20 juin 2018 - Eolien en mer : Macron annonce une économie de 15 milliards sur les aides

En quelques mots :

  • La France a attribué les six premiers contrats éoliens en mer en 2012 et 2014, avec une subvention publique massive de 40,7 Milliards d’Euros sur 20 ans, via un prix de rachat garanti de l’électricité de 226 EUR / MWh.
  • Ces centrales éoliennes sont prévues d’être situées entre 10 km et 20 km des côtes, fortement visibles du rivage et au milieu des zones de pêche.
  • Nos voisins, les allemands en particulier, attribuent désormais (avril 2017) des parcs éoliens offshore à plus de 50 km des côtes et 30 mètres de profondeur, sans subvention publique. Le prix de l’électricité y ressort inférieur à 50 EUR le MWh.
  • Le gouvernement a entrepris en mars 2018 de renégocier les prix des contrats éoliens en mer, le prix étant effectivement exorbitant.
  • Tout fier, le gouvernement annonce que le prix de rachat garanti va baisser à 160 EUR / MWh. La subvention publique passe à 1,25 milliards d’Euros par an pour les six parcs éoliens en mer.

    Notre avis à chaud :

  • On s’est rendu compte que ces contrats sont hors de prix
  • On a cherché à les renégocier
  • On crie Victoire ! avec un prix encore 3 fois plus élevé que nos voisins.
  • Pas de quoi être fier... Le combat continue !

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Le Figaro - 20 juin 2018 - "Stop aux nouvelles éoliennes !" Le cri d’alarme de dix députés

TRIBUNE - L’implantation de nouvelles éoliennes aux quatre coins de France se heurte à l’hostilité massive des habitants, s’inquiètent les parlementaires signataires, qui appartiennent tant à la majorité qu’à l’opposition*.

L’Assemblée étudie actuellement l’article 34 du projet de loi dit « confiance », qui vise à permettre à l’État de renégocier le tarif de rachat des six centrales éoliennes côtières dont le principe avait été arrêté en 2011 et 2013, voire à annuler ces projets si les tarifs proposés restent trop élevés. En pareil cas, le projet de loi prévoit que des appels d’offres sont relancés « sur la même zone géographique ou sur une zone géographique à proximité ».

Nous nous réjouissons de cette renégociation en cours qui aura un impact réel sur la facture d’électricité des consommateurs et la fiscalité des contribuables. C’est du bon sens. Mais nous exprimons notre forte inquiétude concernant la possibilité, en cas d’annulation, que des projets éoliens côtiers soient situés dans les mêmes zones que celles initialement prévues alors que le ministre Nicolas Hulot avait, dans une interview dans Le Figaro du 9 mars dernier, précisé que « ces projets n’ont pas été bien “zonés” » et que « les résistances ont été peu prises en compte ».

Effectivement, la France connaît une véritable crise de saturation de l’implantation des éoliennes. En tant que représentants du peuple, nous constatons que partout la colère gronde lorsqu’il s’agit d’installation de centrales éoliennes terrestres ou plantées au bord des côtes. L’acceptabilité sociale est tellement faible qu’on arrive à un niveau de taux de recours de l’ordre de 70 % sur toute la France. Lors de la récente enquête publique concernant la centrale éolienne entre Yeu et Noirmoutier, qui a suscité une forte mobilisation, 80 % de la population s’est déclarée opposée à ce projet, ainsi que la presque totalité des acteurs économiques de la mer et de la pêche.

Il n’est pas concevable de mettre en place une politique de transition énergétique sans un minimum d’acceptation et de consensus de la population concernée. Deux députés, deux sénateurs et le président du conseil départemental de la Somme ont écrit à Nicolas Hulot pour demander un moratoire concernant le développement de l’éolien dans leur département. Et la tension monte dans tous les territoires.

C’est pourquoi l’actuelle discussion concernant les projets de centrales éoliennes aux bords des côtes nous semble le moment opportun pour lancer une réflexion sur la réorientation des projets d’installation d’éoliennes, en mettant la priorité absolue sur l’éolien flottant à un minimum de 50 kilomètres des côtes.

Nous demandons au président de la République de décider un moratoire sur les éoliennes terrestres et au bord des côtes, et de réfléchir de manière urgente au développement des éoliennes flottantes non visibles des côtes.

Il y a quelques mois, le secrétaire d’État Sébastien Lecornu a inauguré la première éolienne flottante au large de Saint-Nazaire. Cette technologie française présente de très nombreux avantages. Elle supprime les problèmes d’acceptabilité, dans la mesure où ces éoliennes peuvent être installées loin des côtes, et préserve le potentiel touristique et les économies locales. Elle évite des travaux considérables dans les sous-sols marins et protège la biodiversité. En outre, cette technologie permet un raccordement simplifié aux fonds marins, avec un entretien facilité et un enlèvement aisé en cas d’avaries importantes. Les gisements de vents étant beaucoup plus importants en haute mer que sur la terre ou la côte, la production réelle attendue de telles centrales éoliennes se rapproche des 60 %, là où elle atteint difficilement en moyenne 25 % pour le terrestre. L’énergie électrique produite par ces éoliennes est beaucoup moins intermittente. Elle permet une utilisation bien moindre d’énergie fossile (charbon ou gaz) en compensation des moments non productifs d’électricité.

Des réflexions ont déjà été entamées sur le sujet, mais nous nous interrogeons fortement sur l’intérêt de maintenir des projets éoliens terrestres ou au bord des côtes, tel que l’article 34 de la loi en discussion le laisse entendre. Pourquoi ne pas profiter de cette renégociation pour envisager la mise en œuvre d’une technologie française d’avant-garde au travers des éoliennes flottantes à 50 kilomètres des côtes, plaçant la France en avance du fait de sa capacité à développer cette technologie innovante et à l’exporter dans le monde ?

C’est pourquoi, nous demandons au président de la République de décider un moratoire sur les éoliennes terrestres et au bord des côtes, et de réfléchir de manière urgente au développement des éoliennes flottantes non visibles des côtes.

* Signataires : Laure de La Raudière, députée Agir d’Eure-et-Loir ; Xavier Batut, député LaREM de Seine-Maritime ; Julien Aubert, député LR du Vaucluse ; Julien Dive, député LR de l’Aisne ; Nicolas Forissier, député LR de l’Indre ; Emmanuel Maquet, député LR de la Somme ; Pierre Morel-À-L’Huissier, député UDI-Agir de Lozère ; Sira Sylla, députée LaREM de Seine-Maritime, et Stéphane Trompille, député LaREM de l’Ain.

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Les Echos - 15 juin 2018 - Emplois : General Electric ne tiendra pas sa promesse à l’Etat français

En résumé :

  • Pour acquérir en 2015 la branche Energie d’Alstom, GE s’était engagé à créer 1 000 emplois en France
  • Seuls 323 emplois ont été créés en France à fin avril 2018, cette promesse est abandonnée
  • Bilan : Nous n’avons pas les emplois promis - Nous n’avons pas la filière industrielle promise - Pourquoi alors garder les éoliennes et la subvention publique disproportionnée aux industriels désormais nord américains ?

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Challenges.fr - 3 juin 2018 - La vérité sur ... le flop de l’éolien en mer français

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L’Usine Nouvelle - 18 avril 2018 - La Cour des comptes épingle les aides de l’Etat aux énergies renouvelables

Quelques extraits :

La Cour des comptes a publié le 18 avril un rapport critique sur le soutien public apporté aux énergies renouvelables. La Cour des comptes reproche un manque de cohérence dans les aides apportées. Elles se seraient élevées à 5,3 milliards d’euros en 2016.

Le rapport de la Cour des comptes a été préparé avant que l’Etat ne décide de renégocier les contrats des éoliennes en mer. Il souligne que la "pleine réalisation" des appels d’offres lancés en 2011 et 2013 aurait coûté aux finances publiques deux milliards d’euros chaque année pendant 20 ans pour un volume de seulement 2% de la production électrique.

Lire l’article complet :

Voir le rapport de la Cour des comptes "Le soutien aux énergies renouvelables"

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Les Echos.fr - 18 avril 2018 - Energie verte, la Cour des comptes dresse un bilan très critique

Quelques extraits :

Les magistrats pointent un « bilan industriel décevant ».

Une pratique [de subvention publique] que le gouvernement veut aujourd’hui éviter de reproduire dans l’éolien en mer, en renégociant les prix accordés aux lauréats des appels d’offres. A défaut, « la pleine réalisation des appels d’offres de 2011 et 2013 sur l’éolien offshore coûterait aux finances publiques 2 milliards d’euros par an pendant vingt ans pour un volume équivalent à 2 % de la production électrique », note la Cour.

Lire l’article complet :

Voir le rapport de la Cour des comptes "Le soutien aux énergies renouvelables"

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Le Point - 18 avril 2018 - Énergies renouvelables : la charge sévère de la Cour des comptes

Quelques extraits :

Les magistrats de la Rue Cambon publient un rapport sur la politique en faveur des énergies renouvelables. Un dispositif extrêmement coûteux et peu efficace.

Cette addition commence à faire peur. Plusieurs appels d’offres pour des éoliennes implantées en mer sont remis en cause par le gouvernement actuel, tant les conditions tarifaires étaient avantageuses. Deux projets lancés en 2011 et en 2013 pourraient, par exemple, coûter 40,7 milliards d’euros pour « un volume équivalant à 2 % de la production électrique ».

Lire l’article complet :

Voir le rapport de la Cour des comptes "Le soutien aux énergies renouvelables"

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Ouest France - 17 avril 2018 - Éolien en mer. En 2021 « dans le meilleur des cas »

Entretien avec Bernard Guitton, de EDF, Directeur du projet de parc éolien de Courseulles-sur- Mer (Calvados).

Question : [Quid de l’argument des opposants sur] l’incompatibilité du projet à une inscription des plages à l’Unesco ?

Bernard Guitton : Notre projet est soutenu par la Région, qui porte le dossier Unesco, par les collectivités, par des spécialistes de la mémoire. La mer des Wadden, sur les côtes allemandes et hollandaises, est classée à l’Unesco et accueille des parcs éoliens en mer.

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[bleu]Le commentaire de Libre-Horizon : [/bleu]

Certains sites de la mer des Wadden sont classés UNESCO depuis 2009 car considérés comme le plus grand système mondial ininterrompu de vasières et de bancs de sable à marée (En savoir plus : https://whc.unesco.org/fr/list/1314/)

Selon les endroits, la zone côtière est classée jusqu’à 10 km en mer, parfois 20 km.

[bleu]Mais les centrales éoliennes en mer évoquées sont très au-delà au large, invisibles depuis la côte !! C’est ce que nous demandons en France !![/bleu] Il s’agit de :

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Le Monde - 16 avril 2018 - Eoliennes offshore : le gouvernement maintient la pression sur la filière

Quelques extraits :

Pour forcer les opérateurs à diminuer le coût pour l’Etat des futurs parcs éoliens en
mer, l’exécutif menace d’annuler les appels d’offres à l’été si aucun accord n’est
trouvé.

A l’époque, les appels d’offres ont été attribués à des tarifs d’électricité avoisinant les 190 euros le mégawattheure. Autrement dit : l’Etat s’engage à racheter à ce prix extrêmement élevé – six fois plus que le tarif moyen du marché – sur une période de vingt ans, pour soutenir la création d’une filière naissante. Les tarifs ont depuis chuté en Europe : au Royaume-Uni ou en Allemagne, ils se situent aujourd’hui aux environs de 60 euros le MWh.

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BatiActu - 17 avril 2018 - L’éolien offshore français, encore naissant et déjà en danger

Quelques extraits et commentaires :

Ce qui est en cause ? Le tarif négocié à l’époque, aux alentours de 200 €/MWh, et que le gouvernement souhaite réduire, compte tenu des progrès réalisés depuis. En se basant sur les prix pratiqués dans les autres pays d’Europe, le ministère attend "des baisses de tarif très significatives", évoquant une rétribution de l’ordre de 80 €/MWh.

Les industriels notent toutefois que comparaison n’est pas raison dans le domaine : les caractéristiques de vent, les conditions de mer et la nature ou profondeur des fonds marins ne sont pas les mêmes en mer du Nord qu’en Manche ou sur la façade Atlantique. Le SER évalue : "Une différence de vitesse de vent de 1 m/sec génère une différence de productible de 15 % (soit un surcoût de l’ordre de 25 €/MWh pour les projets français)".

[bleu]L’avis de Libre Horizon : S’il y a moins de vent dans la Manche, n’y construisons pas nos projets éoliens en mer. C’est absurde de surpayer (4 fois le prix) son électricité parce qu’on choisit mal l’endroit de la centrale.[/bleu]

Selon les estimations de la filière, la réalisation des six parcs en mer permettra la création de plus de 15.000 emplois : 3.000 au Havre, 2.500 à Nantes, 1.200 à Cherbourg, plus tout un ensemble d’entreprises nécessaires à la production des fondations, des câbles ou des sous-stations électriques (soit 7.000 postes). L’exploitation-maintenance des six fermes, pendant leurs 25 années de fonctionnement, assureront également la pérennité de 650 emplois dans les bases portuaires (Dieppe, Le Tréport, Ouistreham, Fécamp, Noirmoutier, La Turballe…). Enfin, l’aspect développement et ingénierie mobilise déjà 400 personnes.

[bleu]L’avis de Libre Horizon : Déjà avec 15 000 emplois promis, c’est déraisonnable de payer 40 milliards de subvention sur 20 ans, qui reviennent à subventionner chaque année 130 000 EUR par emploi !! Mais en plus on comprends que 7 000 emplois ne vont durer que le temps de la construction des centrales en mer, soit 2 ou 3 ans ?! C’est du délire total...[/bleu]

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Ouest France - 16 avril 2018 - Éolien en mer. Du plomb dans les pales pour les projets normands

Quelques extraits :

« Nous ne baissons pas les bras », souligne José Robert, conseiller municipal d’opposition à Courseulles-sur-Mer, membre de l’association Libre Horizon. Contre vents et marées, et face à la voix de la majorité, il plaide l’incompatibilité du projet d’inscription des plages du Débarquement à l’Unesco avec les éoliennes.

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Les Echos - 27 mars 2018 - Vent de fronde contre l’éolien

Quelques extraits :

« Nous sommes dans un torrent qui est en train de dévaler. Pour une éolienne installée aujourd’hui, il y en a trois de plus autorisées, et 5 autres en projet ! » s’alarme Jean-Louis Doucy, de l’association Stop Eolien O2, intarissable sur les divers points faibles de l’économie du vent. Un repenti, puisque précédemment directeur d’une petite communauté de communes rurales (Thiérache d’Aumale), il a favorisé l’implantation de parcs dans sa région, avant de se dire choqué « par l’escroquerie du siècle ».
« J’ai cru à une époque qu’on pourrait, grâce à elles, se débarrasser du nucléaire. Seulement entre les promesses des promoteurs et la réalité, il y a un gouffre. Les emplois, on ne les voit pas, les incidences sur l’environnement sont désastreuses, avec cette technique qui dépend des caprices du vent, on est en train de dézinguer tout le système électrique français. »

Autre grief, selon lui, la variété des investisseurs derrière les projets. « Près de Guise, il y a un parc de 10 machines qui appartient à Ikea : que viennent-ils faire ici, de l’optimisation fiscale ? Tel autre parc est soutenu par des fonds de pension australiens, il faut vraiment que ça rapporte ! »

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Les Echos - 26 mars 2018 - Aux Pays-Bas, un appel d’offres « zéro subvention »

Quelques extraits :

"Il y a tout juste une semaine, le ministre néerlandais des Affaires économiques et de la Politique climatique a annoncé la victoire du suédois Vattenfall pour le permis de construire et d’exploiter deux nouveaux champs éoliens en mer, baptisé « Hollandse Kust » et totalisant 700 mégawatts de puissance.

L’innovation de cet appel d’offres : les candidats intéressés devaient présenter une offre sans demander de soutien financier public. « La combinaison d’une baisse des coûts sur le long terme, de facteurs cycliques durables (taux d’intérêt, prix de l’acier, surcapacités dans le secteur offshore) et d’anticipations de hausse des prix de marché de l’électricité s’est traduite par de moins en moins de candidatures demandant des subventions », justifiait le ministère néerlandais."

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Les Echos - 26 mars 2018 - Eolien en mer, la filière peine à comprendre ce que veut l’Etat

Quelques extraits :

"La Commission européenne, à qui est notifié tout projet d’aide d’Etat, avait imposé une clause de ce type [révision de prix] pour le projet nucléaire de Hinkley Point (Grande-Bretagne). Au tournant de l’année, le gouvernement a toutefois jugé le mouvement insuffisant, souhaitant une baisse effective du soutien public, désormais porté au budget de l’Etat et non plus directement financé par la seule facture d’électricité."

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M. Villani, enseignez la règle de 3 à vos homologues sénateurs !

Arromanches, le 20 mars 2018

Certains les trouvent belles, d’autres pensent qu’elles abîment le paysage. Certains les considèrent indispensables à la lutte contre le réchauffement climatique, d’autres privilégient l’énergie solaire ou même le nucléaire. Certains trouvent le sujet essentiel, d’autres s’en désintéressent totalement. Concernant les éoliennes, tous les goûts sont dans la nature.

Sur l’aspect économique du sujet en revanche, il est assez étonnant d’avoir uniquement une approche qualitative, voire affective : "c’est un investissement pour plus tard", ou encore "ça crée des emplois".

Le débat au Sénat du 14 mars 2018 était à cet égard édifiant. Argumentant sur la possibilité ou non de renégocier à la baisse les prix des contrats éoliens en mer conclus en 2012 et 2014, voire de les annuler, les parlementaires ont parlé de tout sauf de prix et de rendement.

De quoi parle-t-on au juste ? Du montant de la subvention publique sur 20 ans de 40,7 milliards d’euros, accordée par l’Etat aux six premiers projets éoliens en mer dont la construction n’a pas commencé.

Tour à tour, les représentants des différents groupes avancent leurs arguments : "mettre en cause des contrats passés est inquiétant", "signal désastreux", "750 emplois au Havre", "1 860 emplois en Bretagne", "100 emplois pendant 25 ans dans le Calvados", "insécurité sans précédent qui ruinera la confiance des investisseurs", "avancées technologiques", etc.

Tous ces arguments sont exacts, sérieux, le sujet n’est pas aisé. On est content d’avoir des parlementaires qui se penchent sur la question et se demandent ce qui est le plus sage pour notre pays. C’est leur rôle en fin de compte...

Qu’à-t-on vu au final ? Une pièce de théâtre (sans spectateurs), avec ses postures et ses exclamations : "C’est vrai !", "Oui, c’est grave !", "Très bien !".

On se serait crû dans un scène de Labiche, aux costumes près. La seule grande différence est que fin XIXème, les parlementaires maîtrisaient la règle de 3, à force de résoudre des problèmes de baignoires qui se vident et de trains qui se croisent, pour passer le certificat d’études.

Rapprocher les 40,7 milliards de subvention publique - montant qui ne parle à personne - aux emplois créés par cette filière n’est pas inutile ; les industriels nous rappellent à grand coup de page de publicité dans les journaux cette semaine la promesse des 15 000 "emplois créés", le mot magique ! Il ne doit pas nous éblouir pour autant, ni interdire toute réflexion sur les proportions.

La bonne règle de 3 nous indique que nos impôts subventionneraient chaque emploi créé à hauteur de 133 000 EUR par an pendant 20 ans !

Que chaque lecteur se demande combien il pourrait créer d’emploi dans son entourage ou dans son entreprise, avec une telle subvention, renouvelée vingt ans de suite !

Comment même M. Retailleau, président du groupe parlementaire LR au Sénat, peut-il ne pas faire ce raisonnement basique, tout en prônant une saine gestion des deniers publics ? Le renouvellement récent de l’Assemblée Nationale a fait la part belle à la société civile qui, venant de l’entreprise, a peut-être appris à compter. Nous y avons même Cédric Villani qui souhaite renforcer l’apprentissage des mathématiques en primaire.

De grâce M. Villani, ajoutez dans votre programme l’enseignement de la règle de 3 aux sénateurs !

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La Renaissance du Bessin - 16 mars 2018 - Le projet d’éoliennes en mer au large de Courseulles en péril

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Le Figaro - 14 mars 2018 - Eoliennes en mer, l’Etat veut alléger la facture

Quelques extraits :

Le tarif de rachat, proche de 200 euros le mégawattheure (MWh), est bien plus élevé que le prix de marché actuel de l’électricité (qui tourne autour de 40 euros le MWh) et que les appels d’offres qui se sont tenus à l’étranger depuis le temps. Fin 2016, Shell a ainsi remporté deux parcs éoliens offshore aux Pays-Bas à… 54,50 euros le MWh.

En juillet dernier, la Commission de régulation de l’énergie estimait à 40,7 milliards d’euros le coût sur vingt ans de la subvention publique pour les six projets français, une somme colossale pour une puissance de 3 gigawatts (3GW). À titre de comparaison, le futur réacteur nucléaire EPR de Flamanville, très critiqué pour son coût, aura représenté un investissement de 10,5 milliards d’euros pour une puissance de 1,65 GW

L’initiative de l’État français est loin d’être isolée. En 2014, l’Espagne avait modifié le système de rétribution des énergies renouvelables au détriment de son industrie éolienne. La Belgique, de son côté, a réduit de 3,9 milliards d’euros son soutien aux parcs offshore Northwester 2, Mermaid et Seastar en mer du Nord (qui seront construits d’ici à 2020), passant le tarif de rachat à 79 euros le MWh en moyenne contre 138 euros initialement.

Lire l’article complet :

Pour la première fois, cet article met côte à côte le coût de la subvention publique et le nombre d’emplois de la filière :

[bleu]Chaque emploi créé est donc subventionné à hauteur de 2,7 millions d’euros (sur 20 ans) soit 135 666 EUR par an. C’EST UN GIGANTESQUE SCANDALE FINANCIER ![/bleu]

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Le Figaro - 14 mars 2018 - Tribune des industriels de l’éolien offshore

Les industriels s’offrent une pleine page dans le Figaro :

Lire la Tribune des industriels :

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Le Figaro - 9 mars 2018 - Interview Nicolas HULOT : Faut il poursuivre les projets éoliens offshore de 2011 qui paraissent dépassés ?

Le Figaro publie cette longue interview de Nicolas Hulot qui aborde différents thèmes : nucléaire, énergies fossiles, énergies renouvelables.

Un extrait marquant :

Question (Figaro) : Faut-il poursuivre les projets d’éolien offshore attribués en 2011 et qui paraissent dépassés ?

Nicolas Hulot : J’hérite d’une équation complexe. Disons-le, ces projets n’ont pas été bien « zonés », les résistances ont été peu prises en compte. Nous retournons le problème dans tous les sens, mais nous avons peu de marge de manœuvre pour faire évoluer les projets initiaux, très éloignés des niveaux de compétitivité actuels sans les remettre en cause. Ces projets sont clés pour permettre le développement d’une filière industrielle en France, et donc des emplois. Et cette ambition industrielle est aussi une de mes priorités. Je ne veux pas que la France rate le train des énergies renouvelables. Nous avons tous les atouts, y compris des entreprises championnes, des start-up aux grands groupes.

Lire l’article complet :

Cet interview est publiée dans le Figaro le lendemain du dépôt par le Gouvernement d’un amendement au Sénat destiné à permettre à l’Etat de renégocier à la baisse les conditions de rémunération des centrales éoliennes en mer ou d’annuler ces projets si la renégociation des contrats n’était pas possible (cf. article Le Gouvernement ouvre une voie au Sénat permettant l’annulation du projet éolien en mer des Plages du Débarquement).

Texte complet de l’amendement :

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Les Echos - 12 mars 2018 - Eolien en mer : le gouvernement veut renégocier les appels d’offres

Quelques extraits :

  • L’exécutif a déposé un amendement au Sénat qui fixe le cadre d’une renégociation...
  • … voire d’une annulation pure et simple des six projets de parcs attribués en 2012 et en 2014.

    "L’été dernier, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) avait pointé du doigt le montant de la subvention publique accordée à ces premiers parcs : 40,7 milliards d’euros sur la durée de vie totale des contrats (vingt ans), pour une puissance de près de 3.000 mégawatts."

    "Le gouvernement prévoit même l’hypothèse d’un abandon pur et simple des projets.
    « Si la renégociation n’était pas possible, une des options pourrait être de mettre fin à ces projets [...] », indique l’exposé des motifs de l’amendement."

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Le Figaro - 7 mars 2018 - En France, l’éolien en mer affronte des vents contraires

Quelques extraits :

« Les appels d’offres ont été mal préparés juridiquement et mal calibrés en termes de prix », selon Benjamin Frémaux, expert des questions énergétiques à l’Institut Montaigne

"Facture douloureuse pour le contribuable : le tarif de rachat a été négocié autour de 200 euros le mégawattheure (MWh) alors que les prix de marché tournent actuellement autour de… 40 euros."

"L’État va ainsi dépenser sur vingt ans la somme faramineuse de 40,7 milliards d’euros en subventions publiques [selon] la Commission de régulation de l’énergie (CRE)"

Lire l’article complet :

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Les Echos - 5 février 2018 - Le coût exorbitant de l’éolien offshore français

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La Manche Libre - 29 janvier 2018 - Normandie : le dossier des Plages du Débarquement déposé à l’Unesco

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Economie Matin - 25 janvier 2018 - Eoliennes entre Yeu et Noirmoutier : y-a-t-il eu corruption ?

Economie Matin - 25 janvier 2018 - Louis Marin

En résumé :

  • "Depuis de nombreuses années, la corruption et les prises illégales d’intérêt dans l’éolien terrestre sont dénoncées par les écologistes protecteurs de l’environnement et des paysages."
  • L’Agence Française Anticorruption (AFA, Ministère de la Justice) fait régulièrement état de l’essor très important des prises illégales d’intérêt dans l’éolien.
  • En mai 2015, selon Médiapart, GDF Suez (désormais baptisé Engie) aurait versé de copieux honoraires à un mandataire judiciaire pour obtenir son vote, lors d’un conseil d’administration décisif, dans le but de répondre au second appel d’offres de l’État sur l’éolien offshore.
  • En 2017, au moment de l’enquête publique du parc offshore Yeu-Noirmoutier, la commune de Noirmoutier recoit une subvention de 2 000 euros pour un festival de musique, trois mois avant le vote par le conseil municipal d’un avis favorable au projet éolien.
  • Le collectif "Touche pas Nos iles" a décidé de déposer plainte auprès du procureur de la République contre X pour des faits potentiels de corruption active ou passive, ou trafic d’influence.
  • Le préfet de Vendée a également été saisi de l’affaire ainsi que l’Agence Française Anticorruption.

    Lire l’article complet :

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Les Echos - 21 novembre 2017 - Eolien en mer : l’Etat veut encadrer la rentabilité des projets

[bleu]NOS ARGUMENTS COMMENCENT A PORTER ![/bleu]

"Le gouvernement veut s’assurer que les appels d’offres lancés en 2011 et 2013 n’offrent pas une rentabilité excessive pour les lauréats."

"La Commission de régulation de l’énergie (CRE) a ainsi pointé le poids de la subvention publique pour l’éolien en mer : 40,7 milliards d’euros sur la durée de vie totale des six contrats (vingt ans)"

Lancés en 2011 et 2013, ces deux appels d’offres bénéficient d’un prix d’achat garanti de l’électricité évalué entre 170 et 200 euros par mégawattheure hors raccordement, pendant vingt ans. Alors que l’électricité se négocie autour de 40 euros/MWh en ce moment sur le marché de gros".

Lire tout l’article :

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Les Echos - 10 novembre 2017 - Fortes turbulences dans l’éolien

Les Echos - 10 novembre 2017, par Véronique Le Billon

Fortes turbulences dans l’éolien

Le numéro un mondial Vestas voit ses marges s’éroder. Siemens Gamesa et Nordex ont déjà annoncé des plans sociaux.

Un vent froid souffle sur les industriels de l’éolien. Jeudi, le cours de l’action Vestas a subi un trou d’air en Bourse après la publication de ses résultats trimestriels. Le danois, numéro un mondial de la fabrication d’éoliennes, a publié un chiffre d’affaires en baisse de 6 % au troisième trimestre par rapport à la même période l’année précédente, à 2,7 milliards d’euros. Surtout, la marge opérationnelle (marge d’Ebit) a reculé de deux points en un an, à 12,9 %.

Le PDG du groupe, Anders Runevad, a jugé ses résultats « solides » mais a pointé un contexte de « compétition accélérée et de profitabilité décroissante », nécessitant d’« améliorer l’efficacité » du groupe. Pour l’ensemble de l’année, Vestas a ramené sa prévision de marge de 12-14 % à 12-13 %.

Améliorer son efficacité

Après avoir marié leurs activités dans l’éolien l’an dernier, l’allemand Siemens et l’espagnol Gamesa viennent de passer à la vitesse supérieure en annonçant 6.000 suppressions de postes dans le monde , soit environ un quart de leurs effectifs. En septembre, c’est l’allemand Nordex qui avait annoncé plusieurs centaines de suppressions de postes et un plan d’économies.

Le durcissement du marché est notamment lié au passage d’une politique de soutien public fondée sur un guichet ouvert et un prix d’achat fixe (« feed-in-tariff ») de l’électricité produite par les éoliennes à un système d’appels d’offres et d’enchères, où les plus compétitifs remportent les marchés . C’est le cas en Europe depuis quelques années, et c’est désormais aussi le cas en Inde, l’un des grands marchés mondiaux pour les énergies renouvelables.
Numéro un sur le marché indien, Siemens Gamesa Renewable Energy a ainsi indiqué que le gel temporaire de son activité en Inde avait entraîné un recul de son chiffre d’affaires mondial de 12 % au troisième trimestre. Hors marché indien, le recul aurait été limité à 2 %.

Réforme fiscale

Un projet de réforme fiscale aux Etats-Unis pourrait aussi, s’il est adopté en l’état, réduire le crédit d’impôt dont bénéficie l’industrie éolienne sur le sol américain. Le nouveau patron de l’américain GE, qui fait aussi partie des leaders mondiaux, publiera le 13 novembre sa nouvelle feuille de route.

Les industriels devront aussi probablement faire face à une concurrence chinoise accrue ces prochaines années. Le chinois Goldwind , grâce à son marché intérieur, fait partie des leaders mondiaux en capacités installées. Mais le marché a déjà enregistré une baisse de rythme l’an dernier.

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L’Echo (Belgique) - 27 octobre 2017 - 3 milliards de moins pour les derniers parcs éoliens en mer

En résumé :

Au terme de plusieurs mois de négociations avec les propriétaires des trois concessions récemment attribuées en Belgique (Northwester 2, Seaster, Mermaid, situés tous les 3 à 40 km des côtes), le prix garanti consenti par le gouvernement a été drastiquement revu à la baisse,
à 79 euros par MWh
produit, prix garanti pour une durée limitée de 16 ans.

Ce nouveau prix de 79 EUR / MWh remplace le prix moyen de 138 EUR / MWh fixé à l’époque du gouvernement précédent.

"Ces parcs seront construits pour 2020 avec 3,9 milliards d’euros de soutien en moins", se félicite la ministre de l’énergie belge.

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Le Point - 25 octobre 2017 - Eoliennes : Hulot appelle à faire preuve d’"ouverture d’esprit"

Le Point & AFP

Article en ligne sur le site internet du Point

Le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot souhaite "associer les citoyens" au débat sur les implantations d’éoliennes, notamment en mer, mais il a appelé chacun à faire preuve d’"ouverture d’esprit", mercredi devant les députés.

Pour "réussir la transition énergétique, il va falloir qu’on associe, d’une manière ou d’une autre, les citoyens", a dit le ministre, ajoutant que "ça ne se fera pas d’une manière autoritaire, ça se fera évidemment en étant à l’écoute de leurs réserves".

"Mais il faut aussi que chacun se mette dans une ouverture d’esprit", a déclaré Nicolas Hulot, répondant au député LR de la Somme, Emmanuel Maquet.

Ce dernier avait affirmé que "depuis plus de dix ans, les projets se sont multipliés sans cohérence territoriale, sans concertation avec les acteurs locaux et sans la considération que méritent les habitants".

"D’emblée, je ne peux pas vous donner tort. Jusqu’ici, on n’est pas vraiment très bons et il va falloir qu’on engage une concertation", lui a répondu Nicolas Hulot, en rappelant la mise en place d’un groupe de travail conduit par son secrétaire d’État Sébastien Lecornu.

"L’éolien offshore, ça se passe bien de l’autre côté de la Manche, ça se passe mal chez nous. Il y aura peut-être des enseignements à tirer, mais j’ai bien conscience de cette difficulté", a-t-il dit.

Pour le ministre, "la meilleure manière c’est effectivement la pédagogie", mais aussi "porter une vision sur ce que devra être le modèle énergétique dans 20 ans, dans 30 ans ou dans 40 ans".

Répondant sur le dossier précis du projet de parc éolien maritime du Tréport, le ministre a dit qu’il allait "examiner les raisons" du récent rejet par le parc naturel marin et en "tirer des conclusions". Il a ajouté que l’Agence française de la biodiversité était indépendante et qu’elle prendrait sa décision.

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Le Figaro - 29 septembre 2017 - Éoliennes dans l’Atlantique et dans la Manche : une facture salée pour le contribuable français

Quelques extraits :

"Entre lubies écologiques et lobbys énergétiques, c’est le contribuable qui paiera la facture, pour une efficacité environnementale très discutée."

"C’est bien le contribuable qui alimentera [ce marché de l’énergie], via une taxe qui a connu une augmentation de 650% en quinze ans".

"Ces éoliennes sont des 2CV au prix de Rolls-Royce !"

"L’État se fait-il rouler ?"

"Une stratégie publique périmée ?"

"Certains pays parlent déjà d’en finir avec l’éolien posé en mer. L’éolien flottant au large semble plus prometteur"

Lire l’article complet :

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Energies de la mer - 11 septembre 2017 - Le parc éolien offshore de Moray East (Ecosse) attribué à 57,50 £ / MWh

En résumé :

Le ministère de l’Energie britannique annonce que le consortium Moray Offshore Windfarm (EDPR 77%, Engie 33%) emporte pour une durée de 15 ans le contrat éolien offshore "Moray East" (950 MW) à partir de 2022-23, au prix garanti de 57,5 £ / MWh (soit 63 EUR).

Les attributions par enchères ont conduit à une réduction spectaculaire des coûts de 150 £/MWh en 2014 à 57,50 £/MWh aujourd’hui.

Caractéristiques principales : 186 turbines, 204 m de hauteur maximale autorisée, distance minimale de la côte autorisée : 22 km.

Lire tout l’article :

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Le Figaro - 28 août 2017 - Très chères éoliennes !

Tribune de Denis de KERGORLAY, Président exécutif d’Europa Nostra, la fédération européenne des associations de protection et de mise en valeur du patrimoine culturel.

Quelques extraits :

Et si, pour une fois, on parlait faits et chiffres, sans fantasmes ni parti pris idéologiques ?

Avant vingt ans, les campagnes françaises auront cessé d’être des campagnes. Le cadre de vie des Français aura été bouleversé, sans débat démocratique préalable sur ce sujet

Compte tenu en effet de l’intermittence du vent, ces machines ne fonctionnent en moyenne, sur l’année, qu’à 24 % de leur puissance

Au lieu d’affecter des dizaines de milliards d’euros à ces milliers d’éoliennes, la France aurait tout intérêt à consacrer cet argent au financement de vrais projets de réduction des rejets de CO2.

Lire tout l’article

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Actu-Environnement - 25 août 2017 - L’Etat encadre les usages maritimes à l’intérieur et aux abords des parcs éoliens en mer

Article du 25 août 2017, paru dans Actu-Environnement (
https://www.actu-environnement.com/ae/news/parcs-eoliens-mer-offshore-usages-maritimes-note-technique-29534.php4)

En résumé :

  1. L’exercice de la pêche aux arts traînants (chalut et dragues) et aux arts dormants (filets, casiers, palangres) doit être évité dans les mêmes zones au même moment au sein du champ ;
  2. L’activité de plongée sous-marine de loisir est interdite en plongée libre au sein du champ
  3. Les activités de pêche sous marines sont interdites

    Article complet :

    Le ministère de la Transition écologique a publié, ce vendredi 25 août, une note technique permettant au préfet maritime de définir des dispositions réglementaires "visant à garantir la sécurité de la circulation et des usages maritimes dans et aux abords immédiats d’un champ éolien en mer, flottant ou posé."

    La France métropolitaine compte, pour l’heure, six parcs éoliens en mer en développement, deux zones ouvertes à un projet éolien offshore et quatre futures fermes pilotes d’éoliens flottants. La note détermine des lignes directrices applicables de jour comme de nuit, aux phases de construction, d’exploitation et de démantèlement du champ éolien.

    Le préfet maritime peut notamment prévoir la mise en place de zones d’exclusion partielle ou totale de certains usages à l’intérieur des champs éoliens. Les navires de pêche en route sont par ailleurs autorisés à transiter dans un champ éolien posé pour rejoindre les zones de pêche situées aux alentours, "sous réserve de respecter la longueur maximale fixée dans le champ". L’activité de plongée sous-marine de loisir est également interdite en plongée libre au sein du champ éolien.

    En août 2016, le ministère avait déjà publié une note technique qui définissait les distances de sécurité entre les routes maritimes et les champs éoliens, appliquées par les autorités maritimes. Ce cadre de référence est "nécessaire pour limiter les risques inhérents à la présence de structures en mer, tant pour les navires opérant à l’intérieur de l’emprise ou transitant à proximité que pour l’intégrité des structures du champ éolien", souligne le ministère. Il évoque des risques de collision (entrave potentielle de la vue des autres navires et des éventuels amers et marques de balisage) ou de croche des câbles à l’intérieur du champ éolien. Des risques de restriction de l’espace et des distances pour manœuvrer à l’intérieur du champ mais aussi de modification potentielle des fonds marins, des courants de marée et des conditions de vent (par exemple, effet du rotor de turbine) sont également indiqués.

    Télécharger la note technique établissant les principes permettant d’assurer l’organisation des usages maritimes et leur sécurité dans et aux abords immédiats d’un champ éolien en mer

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La Manche Libre - 19 août 2017 - Le classement à l’Unesco des plages du Débarquement menacé par les éoliennes ?

Le dossier contient les articles :

  1. Où en est la candidature des plages à l’Unesco ?
  2. Éolienne et patrimoine : le début du bras de fer

    Lire tout le dossier

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Tendance Ouest - 10 août 2017 - Une mine allemande explosée au large de Courseulles-sur-Mer

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Les Echos - 10 août 2017 - Dossier éolien

3 articles des Echos aujourd’hui sur le thème éolien :

  • Energie verte : les innovations d’Engie et d’EDF pour produire plus
  • Eolien en mer : Engie cherche des partenaires
  • En Ecosse, une première ferme d’éoliennes flottantes

    Lire le dossier

    Le troisième article est intéressant puisqu’il annonce que la technique des d’éoliennes flottantes est désormais maîtrisée, permet des installations entre 95 et 120 mètres de profondeur, donc à des distances de la côte réduisant les nuisances visuelles.

    Mais surtout, le deuxième article dévoile une partie du pot aux roses : une fois l’appel d’offres gagné, le lauréat cherche à vendre une partie son contrat !.

    "Ce sont des projets financièrement assez juteux, avec des tarifs d’achat de l’électricité vendue autour de 200 euros/MWh accordés alors que le coût des turbines et de la dette était bien plus élevé qu’aujourd’hui, il y a donc aussi une bonne opportunité de se diluer un peu dans de très bonnes conditions », commente un bon connaisseur du dossier."

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Le Figaro - 1er août 2017 - Offensive estivale contre l’installation d’éoliennes en mer

Quelques extraits :

Fabien Bouglé [...]souhaite faire connaître son argument prioritaire : « La technologie a récemment évolué et on maîtrise désormais l’implantation d’éoliennes flottantes, bien plus au large, et donc moins visibles de nos rivages. Nous espérons que M. Hulot comprendra qu’un moratoire est nécessaire pour réétudier la pertinence écologique et économique de ces parcs devant nos côtes. »

Les activistes soulignent également la très mauvaise affaire de l’éolien maritime pour le contribuable : avec un tarif de rachat par l’État fixé autour de 225 euros par mégawattheure (MWh) lors des appels d’offres, les opérateurs vont faire des bénéfices substantiels, assurés par la « contribution au service public de l’électricité » que payent les particuliers [...]. À titre de comparaison, trois parcs de nouvelle génération ont récemment été attribués en mer du Nord, avec un rachat de l’électricité au prix de marché (30 à 40 euros/MWh), sans la moindre subvention.

« Les parcs français, ce sont des 2 CV au prix de Rolls-Royce ! », tempête Fabien Bouglé.

Lire tout l’article :

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Les Echos - 6 juillet 2017 - Eolien en mer : les recours continuent de retarder les parcs français

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Les Echos - 27 juin 2017 - Affirmer n’est pas compter

[...] En France, les panneaux photovoltaïques et éoliennes en place prélèveront au total 90 milliards d’euros sur les consommateurs, sans effet notable sur le CO2 (puisque cela mord essentiellement sur du nucléaire), avec destruction d’emploi en net (car cela augmente les importations par MWh à consommation électrique constante) et sans baisse du risque nucléaire (il faut garder la même puissance pour garantir l’approvisionnement, tout en lui donnant moins d’argent) [...]

Lire l’article complet :

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La Libre Belgique - 21 avril 2017 - Philippe De Backer ambitionne d’annuler trois parcs éoliens offshore

Belgique - Le secrétaire d’Etat à la Mer du Nord Philippe De Backer va proposer au gouvernement d’annuler les concessions accordées aux trois derniers projets de parcs éoliens belges en Mer du Nord.

[...] L’éolien en mer a longtemps été une des formes les plus chères d’énergie, "un win-for-life pour les propriétaires, et un pay-for-life pour l’Etat et le citoyen", estime Philippe De Backer [alors que] à l’étranger, les coûts ont baissé en flèche.

Lire l’article complet :

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Les Echos - 18 avril 2017 - Eolien en mer : des parcs sans subventions, une première mondiale

En Allemagne, les nouveaux parcs éoliens en mer "se passeront totalement de subventions !"

Selon cet article des Echos, "Le prix de l’électricité de ces parcs ressortirait à 33,4 euros €/MWh" plus 10 à 15 €/MWh pour le coût de raccordement, soit moins de 50 €/MWh en coût total en Allemagne

En France, nos complexes éoliens ressortent à 226,5 €/MWh (cf. Source (1)).

Est-ce plus compliqué chez nous ?

Ces prix non subventionnés concernent les trois nouveaux complexes éoliens en mer nouvellement attribués en Allemagne, tous situés à plus de 50 km des côtes et plus de 30 mètres de profondeur :

  • OWP West (58 km des côtes et 29 à 33 mètres de profondeur)
  • Borkum Riffgrund West II (67 km des côtes et 29 à 31 mètres de profondeur)
  • He Dreiht (85 km des côtes et 37 à 40 mètres de profondeur)

    Pourquoi alors en France, les industriels nous expliquent-ils que c’est impératif d’être entre 10 et 20 km des côtes et à moins de 25 mètres de profondeur ?

    Le plus écœurant est que ces prix allemands imbattables sont réalisés par l’industriel danois Dong, qui a manifestement le savoir-faire pour réaliser des complexes éoliens en mer loin, en profondeur, et pas cher.

    C’est sans doute la raison pour laquelle EDF et Dong s’étaient associés pour répondre et gagner les trois premiers appels d’offres français.... Et puis Dong a vendu ses contrats français à Enbridge, industriel canadien spécialisé dans le transport de pétrole par oléoduc, qui va se former à nos frais.

    Lire l’article complet

Sources :
(1) : Avis de la Commission de régulation de l’énergie, 5 avril 2012, sur l’appel d’offres des parcs éoliens en mer de Saint-Nazaire, Fécamp et Courseulles-Arromanches.

"La puissance des projets concernés s’élève à 1 928 MW, pour une production annoncée de 6,8 TWh. Les charges de service public en résultant atteindraient environ 1,1 Md€2 par an à partir de 2020, ce qui correspond à un surcoût annuel de 160 € par MWh produit."

"Les hypothèses de prix de marché sont de 66,5 €/MWh en 2020, correspondant à une évolution des prix de marché de 3 % par an"
Le coût d’achat de l’électricité de l’éolien en mer français sera donc de l’ordre de 226,5 €/MWh en 2020.

(2) Emplacement des parcs allemands :

-* OWP West : http://www.4coffshore.com/windfarms/owp-west-germany-de31.html

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Ouest-France - 8 avril 2017 - Arromanches. Près de 150 manifestants contre les éoliennes [vidéo]

Article de Eric MARIE, Ouest-France.

Ce samedi 8 avril 2017, les associations se sont mobilisées contre l’installation d’éoliennes au large des plages du Débarquement. Près de 150 personnes ont défilé dans la commune.

« Implanter 75 éoliennes en mer ici, c’est la profanation d’un cimetière marin, celui des plages du Débarquement. » Président de la fédération environnement durable, Jean-Louis Butré ne désespère pas de voir le projet de parc éolien en mer abandonné.

Comme lui, près de 150 personnes se sont retrouvées ce samedi, pour manifester dans les rues d’Arromanches. « Un lieu symbolique, assure Jean-Louis Butré. Ce projet, c’est le déshonneur de la France, auprès des habitants des pays alliés qui ne cessent de nous envoyer des milliers de courriers de soutien. »

Venus de toute la région, les manifestants ont arpenté les rues de la commune pendant près d’une heure. « Un moyen de montrer que notre action n’est pas terminée, estime Elsa Joly-Malhomme, présidente de Libre Horizon. La preuve : la pétition que nous avons mise en ligne a déjà récolté 2 500 signatures en deux semaines. »

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L’italien Prysmian réalisera les câbles sous-marins des trois premiers parcs français

Eolien offshore : RTE retient l’italien Prysmian pour l’interconnexion des trois premiers parcs français

Article de Philippe COLLET - 22 février 2017 - Actu Environnement

Le 21 février, l’entreprise italienne Prysmian a annoncé qu’elle allait fournir des câbles sous-marins pour réaliser l’interconnexion des parcs éoliens français. Ce contrat, d’un montant de plus de 300 millions d’euros, est conclu avec RTE. Il porte sur le raccordement des trois parcs attribués en avril 2012 à l’issue du premier appel d’offres : Fécamp (498 MW) en Seine-Maritime, Courseulles-sur-Mer (450 MW) dans le Calvados, et Saint-Nazaire (480 MW) en Loire-Atlantique. Chaque projet fera l’objet de commande individuelle, explique Prysmian.

L’entreprise sera chargée de concevoir, fournir, installer, tester et mettre en service deux câbles d’interconnexion haute tension pour chacun des trois parcs. Ces câbles équiperont le réseau sous-marin et le réseau terrestre. "Ces câbles sous-marins d’interconnexion sont composés de câbles tripolaires 220.000 volts haute tension à courant alternatif (HVAC) avec une isolation XLPE et une armure simple fil", détaille Prysmian. La livraison des câbles est annoncée entre 2018 et 2020, "en fonction du calendrier de chaque parc éolien dont la mise en service est prévue entre 2019 et 2022".

Les câbles sous-marins seront fabriqués à Arco Felice (Italie) et à Pikkala (Finlande). Ceux destinés à la partie terrestre seront fabriqués en France, à Gron (Yonne).

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La Renaissance du Bessin - 17 février 2017 - Le déminage en mer provoque un séisme au large de Ouistreham

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Les Echos - 26 janvier 2017 - Eolien en mer : un coût en baisse de 30% en quatre ans

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Le Figaro - 21 janvier 2017 : Grand froid : la filière éolienne accusée de ne pas produire assez d’électricité

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Le Figaro - 13 janvier 2017 - Les éoliennes offshore cherchent des vents porteurs

Extraits principaux sur les différents thèmes "pollution de la mer, aberration économique, mensonge industriel" :

  • "Les oppositions à l’éolien offshore - portées par plusieurs associations - sont toujours très vives : pêle-mêle, l’électricité produite reviendrait beaucoup trop chère, l’environnement marin serait durement touché, et il n’y aurait aucune chance de voir émerger une filière industrielle française compte tenu du poids des fabricants étrangers."
  • "Chaque éolienne possède à sa base une anode sacrificielle de 20 tonnes d’aluminium. Ce sont 160 kg d’aluminium qui seront relargués chaque jour dans la baie."
  • "Je me souviens du débat public où un industriel nous a assuré qu’une éolienne ne contenait que quelques kilos de terres rares, pas plus en tout cas qu’un simple téléviseur. En réalité, une éolienne en mer contient 430 kg de terres rares !"
  • « Alors que les pouvoirs publics nous avaient vendu un chantier d’envergure sur fond de “made in France”, ce soi-disant moteur se retrouve totalement grippé, relève Jean-Louis Butré. Plus rien ne dit que les usines qui devaient sortir de terre à Cherbourg, au Havre ou à Saint-Nazaire se concrétiseront vraiment ou auront toute l’ampleur évoquée au départ. »

Lire l’article en entier :

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Les Echos - 22 novembre 2016 - Eolien en mer : les parcs d’EDF pas opérationnels avant cinq ans

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Le Figaro - 8 novembre 2016 - Voici à quoi ressemble le toit solaire de demain

Enfin une combinaison Renouvelable + Esthétique !

Pas la peine de chercher des panneaux photovoltaïques plus ou moins bien intégrés dans la toiture sur ces nouveaux toits solaires développés par Tesla. Les tuiles produisent directement de l’électricité. Explications.

C’est presque trop beau pour être vrai. Pour éliminer les problèmes d’installation et d’intégration au bâtiment que connaissent souvent les panneaux solaires photovoltaïques, le spécialiste de la voiture électrique Tesla a voulu faire »beau, abordable et intégré de façon transparente ».

Il a ainsi développé cette gamme de toits solaires pour son nouveau partenaire, le producteur d’énergie solaire SolarCity.

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La Manche Libre - 29 octobre 2016 - Eoliennes de Courseulles : et si General Electric abandonnait ?

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La Manche Libre - 29 octobre 2016 - Les éoliennes offshore contestées

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La Renaissance du Bessin - 21 octobre 2016 - Des associations déposent un recours contre le parc éolien en mer

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Les Echos - 20 octobre 2016 - Eolien en mer : coup de frein sur les parcs d’EDF

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La Manche Libre - 17 octobre 2016 - Eolien en mer : un recours déposé contre le parc de Courseulles

Extrait :

"Le dossier de classement Unesco insiste sur le caractère exceptionnellement dense du champ d’épaves, jusqu’à 20 km des côtes, faisant de tout ce champ subaquatique une des neuf zones de protection Unesco. L’implantation du complexe éolien à 10 km des côtes d’Arromanches rendrait ce classement totalement impossible", insiste Bernard Loing, président de D-Day Heritage, qui fut directeur de cabinet de Louis Mexandeau au Ministère des PTT, et président de 2007 à 2012 de la conférence internationale des ONG de l’Unesco

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AFP - Le Figaro - France 3 - La Manche Libre - 17 octobre 2016 - 8 associations déposent un recours contre l’arrêté autorisant le parc éolien en mer dit de Courseulles-sur-mer, prévu par EDF

AFP, publié le lundi 17 octobre 2016 à 17h49

Dépêche reprise dans Le Figaro

Dépêche reprise dans La Manche libre

Dépêche reprise par France 3

Calvados : 8 associations déposent un recours contre l’arrêté autorisant le parc éolien en mer dit de Courseulles-sur-mer, prévu par EDF

Huit associations ont annoncé lundi avoir déposé un recours contre l’arrêté préfectoral autorisant le parc éolien en mer dit de Courseulles-sur-mer (Calvados), prévu par EDF au large des plages du Débarquement en Normandie.

La cour administrative d’appel de Nantes a confirmé à l’AFP le dépôt le 11 octobre d’un recours contre ce projet.

Pour les associations, le projet de 75 éoliennes de 450 MW en tout à 10 km au large, équivaut à "une destruction de ce site emblématique des plages du Débarquement", qui fait l’objet d’un projet de classement au patrimoine mondial de l’Unesco, selon leur communiqué commun.

Le recours émane de l’association Libre Horizon, membre du réseau "Pour un littoral sans éoliennes" (Pulse). S’y sont joints des associations de lutte contre l’éolien mais aussi D-Day heritage, créée pour soutenir le classement à l’Unesco, et présidée par Bernard Loing, ancien directeur de cabinet de l’ancien ministre PS des PTT Louis Mexandeau, et président de 2007 à 2012 de la conférence internationale des ONG de l’Unesco.

Participent également à ce recours, le Grape (Groupement régional des associations de l’environnement de Basse-Normandie), pourtant membre du réseau France nature environnement (FNE) qui, lui, soutient les projets éoliens offshore autorisés par les préfets. L’association de défense du milieu marin Robin des bois co-signe également ce recours ainsi que la Société pour la Protection des Paysages et de l’Esthétique de la France (SPPEF) créée en 1901.

Les éoliennes seront "très visibles", affirment les associations dans leur communiqué commun.

Lors du débat public organisé en 2013 sur ce projet, un ingénieur au CNRS, Jean-Marc Veizien, avait lui comparé l’impact visuel de chaque éolienne à "une moitié d’ongle au bout d’un bras tendu".

Les associations dénoncent en outre ce qu’elles considèrent comme "une profanation du cimetière marin (...) où les innombrables épaves des navires de guerre" coulées en juin 1944 sont pour elles "autant de sépultures" pour les soldats morts "pour sauver la France et l’Europe de la tyrannie".

Elles justifient en outre leur recours par "l’incidence sur l’environnement" du parc.

Le 12 octobre la Chambre de commerce de Cherbourg (Manche) a, quant à elle, diffusé un manifeste pour soutenir le projet de Courseulles, signé par le député PS Philippe Duron, 10 maires de communes littorales du Calvados et six responsables économiques.

Le recours s’ajoute à ceux déposés ces derniers mois contre les deux autres parcs autorisés au large des côtes françaises, Fécamp (Seine-maritime) et Saint-Nazaire (Loire-atlantique).

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Les Echos - 12 octobre 2016 - General Electric se renforce dans l’éolien

Cette acquisition au Danemark remet en cause les usines de pales à Cherbourg...

Les Echos - 12 octobre 2016 - General Electric se renforce dans l’éolien

Le groupe rachète le danois LM Wind Power pour 1,5 milliard d’euros.

General Electric franchit un pas supplémentaire dans les énergies renouvelables. Un an après avoir intégré les activités énergie d’Alstom et créé une filiale dédiée aux énergies vertes, le géant américain a annoncé mardi l’acquisition du danois LM Wind Power, qui fabrique des pales d’éoliennes.

« C’est une nouvelle étape importante pour l’activité renouvelables », souligne Jérôme Pécresse, PDG de GE Renewable Energy - dont les revenus seront portés de 6,2 à 9 milliards de dollars cette année, grâce à l’acquisition d’Alstom.

GE déboursera 1,65 milliard de dollars (1,5 milliard d’euros) pour le danois, qui appartenait au fonds de « private equity » Doughty Hanson. Cette somme représente 8,3 fois le résultat brut d’exploitation (2016 ) de LM Wind Power, qui réalise 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires et emploie 7.000 personnes dans le monde.

« C’est l’un des grands acteurs indépendants des pales, bien implanté dans le monde avec 13 usines dans 8 pays différents », explique Jérôme Pécresse. LM Wind Power est notamment l’un des grands fournisseurs de pales de GE, qui représente « moins de la moitié de ses revenus », précise le dirigeant.

« De 30 à 35 % du coût d’une éolienne »

L’opération permettra à GE Renewable Energy de se développer dans un nouveau métier, alors qu’il était jusque-là, dans l’éolien, exclusivement présent dans les turbines. « Les pales, qui représentent de 30 à 35 % du coût d’une éolienne, constituent un composant critique de la performance de la turbine », explique Jérôme Pécresse. « Intégrer des capacités de design et de production de pales nous semblait le seul moyen pour continuer de réduire le coût de production de l’électricité éolienne. »

De fait, les grands concurrents occidentaux du groupe, comme Siemens-Gamesa ou Vestas, sont déjà intégrés. LM Wind Power restera une entité séparée, même si GE compte bien lui apporter sa puissance en terme d’achats ou encore de R&D.

Anne Feitz, Les Echos

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Les Echos - 19 septembre 2016 - Les énergies renouvelables, l’autre gouffre d’Areva

principaux mots clés de l’article :

  • Enterrée, l’ambition de créer une filière tricolore.
  • Areva a remporté de beaux contrats éoliens en mer du Nord, mais des difficultés d’installation ont généré de lourdes pertes
  • Comment peut-on prétendre contrôler une société rachetée sans avoir le minimum de compétence technologique ou industrielle dans son secteur ?
  • Amateurisme

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Ouest-France - 7 septembre 2016 - Arromanches : Le conseil contresigne un courrier pour le parc éolien

Ouest-France, 7 septembre 2016

Cette dépêche de Ouest-France nous laisse sans voix...

L’article relate les discussions du conseil municipal du 5 septembre 2016 à Arromanches. On a l’impression que la MA-NI-PU-LA-TION a marché ...

En effet, les principaux arguments du conseil municipal sont :

  • "Ce courrier a déjà été contresigné par bon nombre d’élus d’autres communes"
  • "le conseil municipal s’est toujours prononcé, à l’unanimité, pour le projet"

    Selon Ouest-France :

    « Dans cette affaire, il y a un mensonge, dénonce Philippe Édet, quatrième adjoint et président de l’office de tourisme. Au final, les éoliennes, on les verra très bien. »

    « On ne rouvre pas la discussion parce qu’on pourrait en parler pendant dix heures, s’impatiente Patrick Jardin. C’est un projet gouvernemental. Peu importe qu’on soit pour ou qu’on soit contre. »

    Pour rappel, le conseil municipal du 5 septembre 2016 présentait à l’ordre du jour le point suivant : "Demande de WPD Offshore pour une lettre de soutien au projet d’implantation d’éoliennes en mer du Calvados".

    Point pour lequel Libre-Horizon avait envoyé le 31 août 2016 le courrier suivant à tous les membres du conseil municipal :

    Notre but était d’alerter nos élus sur le risque de manipulation par les industriels : obtenir la confirmation d’un soutien ancien, alors que l’on a découvert beaucoup de mensonges depuis (emploi, filière industrielle française, visibilité des éoliennes depuis Arromanches, incompatibilité Unesco - voir courrier pour les arguments détaillés).

    Au final, ce que nous en pensons :

  • Quand on nous demande notre avis, c’est pour le donner, par pour répéter l’avis du voisin
  • A ce stade, le seul avis connu de la population est le résultat de l’enquête publique de 2015 : 67% d’opposants au projet
  • On peut bien parler de manipulation quand des personnes s’enferment dans un mauvais choix, au prétexte qu’elles ont fait ce choix il y a longtemps et qu’elles n’osent pas se rétracter. Alors que ce choix reposait sur des informations inexactes...
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Mediapart - 28 août 2016 - Le bétonnage éolien va-t-il dépasser le bétonnage du mur de l’atlantique ?

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La Manche libre - 20 août 2016 - Eolien en mer : et si Cherbourg perdait tout ?

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Les Echos - 15 juillet 2016 - Energies renouvelables : un gaspillage à 50 milliards d’euros

"POINT DE VUE" passionnant de Rémy Prud’homme [Ancien élève de HEC et de Harvard Law School, Rémy Prud’homme est Professeur émérite d’économie de l’Université Paris XII, du MIT (Massachussetts Institute of Technology (M.I.T.), Cambridge (Massachusetts, USA), et de l’Ecole nationale des Ponts et Chaussées.]

Le plan du gouvernement pour développer le photovoltaïque et les éoliennes est inutile sur le plan environnemental et coûteux.

Il revient à substituer à une production d’électricité déjà assurée par le nucléaire le même volume émanant d’installations non existantes. Soit 53 milliards d’engagements pour 6 milliards d’économies.

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Le Figaro - 10 juillet 2016 - L’inscription au patrimoine mondial de l’humanité, moteur pour l’économie locale

[...]
Même impact au Havre, dont l’inscription au patrimoine mondial date de 2005.
« Avant, on nous appelait Stalingrad-sur-Mer, se rappelle Eric Beaudet, de l’office de
tourisme. Maintenant, des magazines de déco nous comparent à Manhattan ! ».

Et la fréquentation touristique est en hausse, pour preuve, le nombre de
bateaux de croisière qui s’y arrêtent. En 2005, ils étaient 55. Cette année, 126 sont
attendus, pour plus de 280.000 passagers.

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Les Echos - 7 juillet 2016 - Eolien en mer : l’objectif de baisse des coûts enfoncé aux Pays-Bas

Désormais c’est clair : l’éolien offshore peut coûter en Europe 70 à 90 EUR le MWh, c’est le prix proposé par le danois Dong pour un complexe éolien en mer au large des Pays-Bas.

L’article indique bien que si la France a prévu de payer plus de 200 EUR pour la même chose, c’est en l’échange de la construction d’une filière industrielle locale.

Depuis le rachat de Alstom par l’américain General Electric, et le remplacement de Dong par le canadien Enbrige, il n’y a plus un gramme de conception de ce projet en France, ni même en Europe. Uniquement de l’assemblage et de la maintenance... On fait comme si on ne voyait rien...

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Le Monde - 10 mai 2016 - EDF s’associe au canadien Enbridge dans l’éolien en mer

En résumé :

  • Le Canadien Enbridge prend 50% de la société Eolien maritime France (EMF), qui contrôle les trois futurs parcs (et est donc à parts égales avec EDF)
  • Enbridge prend la place du danois DONG qui devait avoir 40% de Eolien maritime France.
  • DONG "cherchait une porte de sortie depuis un ou deux ans" selon EDF, car il voulait être "maître à bord". Qui y croit, puisqu’on propose maintenant 50% à son remplaçant ?
  • Enbridge "reconnaît que les tarifs de rachat de l’électricité en Europe (environ 180 euros par MWh en France) rendent ces investissements très attractifs"

    Où est le problème ?

    Ce tarif élevé était la contrepartie d’une filière industrielle à développer en France. On n’a plus la filière, mais on garde les prix élevés au profit... des nord-américains (General Electric qui a remplacé Alstom et désormais Enbridge).

    Lire tout l’article :

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Les Echos - 10 mai 2016 - Le Canadien Enbridge prend la moitié des parcs éoliens en mer d’EDF

Ca y est, la boucle est bouclée !

Avec les difficultés financières d’EDF, Alstom et de leur partenaire danois Dong Energy, c’en est bien fini du projet de filière industrielle franco-européenne...

Alstom a déjà été remplacé par l’américain General Electric. C’est maintenant le groupe canadien Enbridge qui prend 50% des complexes éoliens en mer obtenus par EDF Energies Nouvelles, à la place du partenaire historique danois...

Finalement, toutes les belles histoires au moment de l’appel d’offres tombent à l’eau. Il ne reste plus que le prix exorbitant de l’électricité produite, qui fait le bonheur des américains et des canadiens

On continue à manger son chapeau sans rien dire ?

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Les Echos - 9 mai 2016 - Eolien : la filière doit 100 millions à l’Etat

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Ouest France - 25 avril 2016 - Anti-éoliens en mer, cap sur la justice

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Le Canard enchaîné - 13 avril 2016 - Des éoliennes qui vendent du vent

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LCI - 1er mars 2016 - L’énergie éolienne est en train de couler le pays

Sur LCI, Jean-Louis Butré, président de France Environnement Durable s’insurge contre "cette énergie qui n’est pas renouvelable mais intermittente".

Le débat sur l’éolien est relancé suite à un amendement proposé par Gilbert Barbier, sénateur du Jura (RDSE).

Il s’oppose à l’installation d’éoliennes à moins de dix kilomètres d’un bâtiment historique sans l’avis conforme des Bâtiments de France.

Voir cette intervention sur le site de LCI

L’électricité éolienne est une énergie subventionnée, depuis 2001, date de la première éolienne en France.

Au bout de 15 ans, cette subvention n’est plus du développement, mais bien une subvention permanente, qui ne cesse de croître (X5 en 8 ans).

Le tarif éolien étant garanti par l’Etat, et payé par une taxe de 16% sur les factures d’électricité, rien n’incite les industriels à baisser leur coût ou innover, puisque leur rente est assurée : le prix de l’électricité aujourd’hui est de 30 centimes d’euro le kWh.

Mais les producteurs éoliens en mer touchent 7 fois plus, environ 2 EUR le kWh.

En réalité, nous offrons une rente à EDF, au lieu de consacrer les 7 milliards de la taxe CSPE (Contribution au service public de l’électricité, prélevée sur les factures d’électricité) à inventer et développer de nouvelles technologies inovantes, écologiques et économiques.

Le scandale n’est pas l’éolien en soi. Le scandale est de subventionner des rentiers propriétaires de parcs éoliens car cette énergie ne manifeste pas, au bout de 15 ans, de performance satisfaisante.

Et que cette subvention colossale nous prive de financement de technologie alternative.

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Liberté Le Bonhomme libre - 4 février 2016 - Libre Horizon veut reculer les éoliennes pour sauver la vue et les épaves

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JT de TF1 - 26 janvier 2016 : Sur les plages du Débarquement, un projet de parc éolien fait polémique

26 janvier 2016 - TF1, JT de 13 heures, présenté par Jean-Pierre Pernaut

Sur les plages du Débarquement, un projet de parc éolien fait polémique

C’est un projet qui inquiète beaucoup les Normands. Un parc éolien de 75 turbines pourrait être créé en 2016 au large des plages du Débarquement. Un "sacrilège" pour ses détracteurs qui en appellent au sens de l’histoire et de la transmission.

LIEN EXTERNE Accéder à ce reportage sur le site de TF1

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La Renaissance du Bessin - 21 janvier 2016 - Libre Horizon veut reculer les éoliennes pour sauver la vue et les épaves

Courseulles-sur-Mer, le 21 janvier 2016.

La commission d’enquête publique a rendu un rapport favorable quant à la construction d’un parc éolien en mer au large de Courseulles. L’association locale Libre Horizon milite toujours pour que ce parc puisse être situé non pas à 10 mais à 20 km au large. [...]

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Ouest France - 14 janvier 2016 - Le projet du parc éolien de Courseulles fait jaser

Ouest France - Caen, 14 janvier 2016

Le projet du parc de 75 machines au large de Courseulles-sur-Mer a reçu un avis favorable de la commission d’enquête publique. Une décision qui ne satisfait pas tout le monde.

Le classement des plages du Débarquement auprès de l’Unesco avait été l’un des arguments avancés par les opposants au projet. Un argument défendu par José Robert, conseiller municipal d’opposition et membre de Libre horizon. Pour lui, le « paysage industriel » qui serait créé est « incompatible » avec le « lieu de mémoire ». Il estime que « cette zone devrait être un sanctuaire. »

Mécontentement partagé par la Fédération environnement durable qui voit l’avis positif de la commission d’enquête publique comme le « feu vert à la profanation du cimetière marin d’Arromanches et au saccage des plages du Débarquement où, le 6 juin 1944, des milliers de soldats ont donné leur vie pour sauver la France et l’Europe de la tyrannie. [...] La commission avait à choisir entre la collaboration avec les promoteurs éoliens et l’honneur de la France. Elle a choisi la collaboration et la France aura le déshonneur. »

La commission d’enquête, elle, estime que « l’existence du parc éolien ne paraît pas de nature à mettre en cause le principe du classement à l’Unesco » car « une interprétation du devoir de mémoire qui conduirait à figer le développement d’un territoire, ne serait pas compatible avec les exigences du progrès ».

« Très déçue », l’association Libre horizon devrait se réunir prochainement « pour décider des actions à mener par la suite. Nous allons regarder comment on peut faire un recours », promet José Robert.

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Les Echos - 14 janvier 2016 - Alstom : General Electric réduit les effectifs de près de 20% en Europe

Un article intéressant sur les promesses d’usine et d’emploi local...

Finalement, c’est bien un plan méthodique qui se déroule :

  1. Promesse d’emploi dans les entreprises françaises
  2. Rachat par des entreprises étrangères des activités concernées, contre des promesses de développement en France
  3. Suppression d’emploi en raison des doublons de poste, y compris dans les métiers d’ingénieur...

    "La majorité des emplois supprimés en France concerne des emplois industriels, ce qui devrait faire grincer des dents l’exécutif."

    Rappelons que la promesse de 500 emplois à 100 km des villages concernés par le parc éolien, représente environ 15 millions d’Euros. C’est beaucoup, mais sur un projet de 1,8 milliards d’Euros, en très grande partie subventionné par les impôts, c’est assez amer...

    Alors si en plus les promesses ne sont pas tenus, pourquoi fait-on ce projet ? Juste pour abîmer les plages du Débarquement ? Et permettre à EDF et General Electric de faire un peu plus de profit...

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Hannoversche Allgemeine - "Les éoliennes font fuir les vacanciers"

Journal Hannoversche Allgemeine - "Les éoliennes font fuir les vacanciers"

Article du 26 août 2015

"Sur la côte de la Mer du Nord du Land de Basse-Saxe, le vent fort est particulièrement utilisé pour produire de l’énergie. Les parcs éoliens ont en revanche des effets négatifs sur le tourisme. C’est ce qu’a révélé une étude "Gone with the wind ?" publiée par l’Université Leibnitz de Hanovre le 4 août 2015"

(...)

"L’analyse faite par l’Institute of Economic and Cultural Geography montre que les parcs éoliens ont généralement un impact négatif sur le tourisme et ce, jusqu’à une distance de 20 km. Concernant les côtes, les vacanciers se replient souvent vers les communes voisines."

"Dans les régions côtières (...) : Là, très concrètement, les visiteurs avec nuitée se détournent des communes à proximité de parcs éoliens"

(...)

Beaucoup de visiteurs s’intéressent aux énergies nouvelles. Toutefois les grandes stations touristiques de bord de mer éviteraient désormais l’implantation de futurs parcs sur leur zone de littoral.

(...)

Les auteurs de l’étude recommandent de mieux associer les fédérations de tourisme dans la phase de planification. Ils devraient désormais avoir un droit de parole plus fort."

http://www.haz.de/Nachrichten/Der-Norden/Uebersicht/Niedersachsens-Nordseekueste-Windraeder-vertreiben-Urlauber


L’étude "Gone with the wind ? The impact of wind turbines on tourism demand“ est en PJ en anglais.

Elle a également été publiée publiée dans le journal spécialisé "Energy Policy" (revue scientifique américaine).

Méthodologie : dans leur étude et les auteurs analysent pour la première fois de manière scientifiquement fiable et généralisable la corrélation entre les parcs éoliens et la demande touristique régionale (recoupement de données sur 5 ans - analyse statistique)

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Ouest-France - 6 octobre 2015 - Parc éolien : Robin des Bois dit NON

Edition en ligne :

A quelques jours de la fin de l’enquête publique, l’association écologiste estime le projet disproportionné et ne présentant pas de garanties de sécurité et d’impact.

L’enquête publique sur le projet de parc éolien en mer, au large de Courseulles, a débuté le 10 août et se terminera samedi 10 octobre. Le parc éolien de Courseulles-sur-Mer comptera 75 éoliennes pour une capacité de 450 mégawatts. Le parc sera basé à plus de 10 km des côtes, sur une surface de 50 km2.

Ce lundi, Jacky Bonnemains a tenu un point presse pour détailler la position de l’association de défense de l’environnement qu’il préside, Robin des Bois.

En l’état, l’association s’oppose au projet. "Nous demandons au commissaire-enquêteur d’émettre un avis défavorable, explique Jacky Bonnemains. C’est un projet démesuré dont l’impact sur l’environnement et les activités humaines n’est pas pris en compte. Pourquoi ne pas avoir commencé avec quelques éoliennes pour les tester dans les conditions réelles, en mer ?"

Article de l’édition papier :

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Les Echos - 29 septembre 2015 - Eoliennes en mer, Alstom souffle le chaud et le froid en Normandie

Un article intéressant sur les promesses d’usine et d’emploi local...

"Le calendrier, initia­lement annoncé pour 2013, reste incertain dans un contexte d’incertitude juridique. Il dépendra du dépôt éventuel d’un recours sur les deux projets, dont les enquêtes publiques se terminent les 8 (pour Fécamp) et 10 octobre (pour Courseulles) prochain."

Rappelons que la promesse de 500 emplois à 100 km des villages concernés par le parc éolien, représente environ 15 millions d’Euros. C’est beaucoup, mais sur un projet de 1,8 milliards d’Euros, en très grande partie subventionné par les impôts, c’est assez amer...

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Charlie Hebdo - 23 septembre 2015 - Eoliennes, du vent et surtout plein de fric

On est très loin des rêves de Reiser Il y a quarante ans. Au lieu de l’autonomie
énergétique pour tous, Areva, EDF, Total, Alstom ont fait main basse sur le pactole
du vent. Ça rapporte et ça ment. Beaucoup.

[...]
On trouve au conseil d’administration du SER (Syndicat des énergies renouvelables) une magnifique bande de philanthropes : EDF et Areva, mais aussi Alstom - les turbines du délirant barrage des Trois-Gorges (en Chine), c’est elle -, la Compagnie nationale du Rhône - les gros barrages dégueus de chez nous -, Total et Sofiprotéol-Avril pour les nécrocarburants. Ce très puissant lobby a, comme on se doute, de nombreux amis dans les ministères de gauche comme de droite. Et il a réussi un tour de force qui n’est pas à la portée d’un débutant. Via une obscure "contribution au service public de l’électricité" (CSPE) ponctionnée sur les factures d’électricité...

[...]
Je t’entends mal. L’écologie, dans tout ça ? Avec Alstom, Areva et Total ? Je vois que tu es blagueur.

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Les Echos - 14 septembre 2015 - Eolien en mer : coup dur pour EDF sur le marché britannique

Les Echos - 14 septembre 2015

"Vendredi, le gouvernement britannique a officiellement refusé d’agréer le projet de ferme éolienne en mer de Navitus Bay porté par EDF.
Les considérations environnementales l’ont emporté : le ministère de l’Energie estime que les installations auraient nui à la protection du paysage ; il est vrai que le projet concernait l’une des zones les plus touristiques d’Angleterre, la Côte jurassique, non loin de l’île de Wight."

Les arguments clés de la décision du gouvernement britannique :

  • Le parc éolien offshore proposé par EDF est trop près des côtes (à 19 km du rivage. NB : Le parc de Courseulles est à 10 km ...)
  • Une telle proximité nuit gravement à la protection des paysages
  • Un tel parc était de nature à annuler le classement Unesco de l’Ile de Wight comme Patrimoine mondial de l’humanité.

    Ces arguments renforcent la position de Libre-Horizon : les parcs offshore, d’accord, mais beaucoup plus loin !

Lire tout l’article :

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Le Figaro Magazine - 4 septembre 2015 - Eoliennes : le scandale

La Une du Figaro Magazine du 4 septembre 2015 :

Lire le dossier complet :

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La Manche Libre - 29 août 2015 - parc éolien offshore : une enquête sans souffle

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France 3 - 25 août 2015 - Projet éolien en mer : la grogne des pêcheurs

France 3 - 25 août 2015 - Projet éolien en mer : la grogne des pêcheurs, par Julien Elie

L’enquête publique pour le projet de 75 éoliennes en mer inquiète certains pêcheurs. Ils s’estiment mal pris en compte par un projet qui va bouleverser leur profession. Ce parc éolien pourrait produire dès 2018 l’équivalent de la consommation de 40% de la Basse-Normandie.

Ils se sentent oubliés. Un mouvement de désaccords des pêcheurs du comité départemental du Calvados se fait ressentir à propos du lancement de l’enquête publique concernant le projet éolien offshore au large de Courseulles-sur-Mer (14).

Les pêcheurs avait été consultés avant l’ouverture de l’enquête publique mais ils considèrent qu’ils n’ont pas été entendus. Pour rappel, le projet prévoit l’implantation d’un parc éolien offshore de 75 éoliennes à plus de 10 kilomètres des côtes sur une surface de 50km².

Le film de présentation du projet prévoit de "limiter les interférences avec les activités maritimes. Le projet serai à l’écart des zones de pêche et de 2 zones natura 2000. Les éoliennes seraient alignées selon l’axe des courants marins pour limiter l’impact sur les activités de pêche."

Des arguments que n’entendent pas les professionnels de la mer, pas opposés mais méfiants. Selon eux "les règles du jeu n’ont pas été fixées. Ils attendaient des décisions plus claires du préfet maritime avant de commencer cette enquête..."

Les interrogations demeurent et nourrissent l’anxiété des matelots donc sur des points précis :

  • Le droit ou non de pêche sur la zone
  • Si autorisée, de quelle nature sera la pêche ? Quid de la pêche à la coquille Saint-Jacques ?
  • Quelles seront les conditions qui entoureront la période des travaux (4 ans)

    Les pêcheurs ont l’impression d’être les seuls lésés par ce projet "Il va certainement impacter l’écosystème en profondeur". Les constatations préalables entre pêcheurs et autorités n’auraient pas amené de décisions en leur sens.

    Les pêcheurs de la Baie de Seine ne donneront pas d’avis favorable sans connaître toutes les conditions de ce projet...

    Reportage de Rémi Mauger et Patrick Mertz

    Intervenants : Dimitri Rogoff et Paul Françoise, comité départemental des pêches Calvados

    Retrouver le reportage sur le site de France 3

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RTL - 25 août 2015 - Inquiétude en Normandie, sur les plages du Débarquement, où des éoliennes offshore pourraient être installées

RTL, Le journal de 8 heures, d’Yves Calvi - 25 août 2015

Reportage de Frédéric Veille : Inquiétude en Normandie, sur les plages du Débarquement, où des éoliennes offshore pourraient être installées - Total : 2 minutes 40, incluant le sommaire du journal (extrait du journal)

Que dit le reportage ?

  • On n’est pas contre les éoliennes, mais à 20 km, ça ne coûte que 1% de plus et ça change tout !
  • Conserver le projet actuel à 10 km des plages du Débarquement compromet totalement le classement Unesco demandé par François Hollande en 2014
  • La zone de 50 km2 sera interdite de pêche, alors que c’est une zone très riche en coquille saint-jacques...

    Retrouver le journal complet directement sur le site de RTL

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La Manche Libre - 22 août 2015 - Un vent de révolte souffle sur Libre Horizon

La Manche Libre, édition de Bayeux, datée du 22 août 2015

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Les Echos - 19 août 2015 - En France, les anti-champs offshore tentent de mobiliser pendant l’été

Les enquêtes publiques sur les projets de Saint-Nazaire et de Courseulles-sur-Mer ont commencé la semaine dernière .

Dimanche 16 août, rendez-vous était donné à 17 heures par l’association Libre Horizon, sur la plage de Courseulles-sur-Mer (Calvados), « devant le kiosque à friandises ». Dans les stations balnéaires de la baie de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor), c’est l’association Gardez les caps qui distribue chez les commerçants des prospectus dénonçant « l’industrialisation » de la mer. Regroupant locaux et propriétaires de résidences secondaires, ces associations tentent de profiter de l’été pour sensibiliser aux projets d’éoliennes en mer qui doivent s’afficher dans leur paysage maritime d’ici à la fin de la décennie.

A Courseulles-sur-Mer comme à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), le calendrier administratif leur offre une actualité supplémentaire : les enquêtes publiques sur les projets de construction et sur le raccordement électrique du parc viennent d’être lancées pour deux mois, inaugurant une série de consultations dans toutes les communes concernées. La procédure n’est pas anodine. « L’enquête publique fait vraiment partie du processus d’instruction du dossier, alors que le débat public est plus accessoire et n’a pas d’implication », rappelle Frédéric Lanoë, président de France Energie Eolienne, qui regroupe les industriels du secteur en France.

Mais l’avis du commissaire-enquêteur, qui pourra être favorable, défavorable ou assorti de réserves, n’est toutefois que consultatif. Or, résume l’adjoint au maire de Courseulles-sur-Mer, « c’est un projet d’Etat ». La population locale reste d’ailleurs difficile à mobiliser.

« Près de 200 personnes sont venues dimanche écouter nos arguments mais les gens sont globalement fatalistes », regrette Jean-Michel Berly, secrétaire général de Libre Horizon. L’avis défavorable du comité départemental des pêches du Calvados, dévoilé lundi, leur a toutefois mis du baume au coeur.

Impact visuel

De Vent de travers à Non aux éoliennes entre Noirmoutier et Yeu, les associations du littoral concernées par les projets éoliens se sont constituées en réseau - baptisé « Pulse » -, pour mettre en commun leurs expertises juridiques ou environnementales. Chacun met toutefois en avant ses spécificités locales. En baie de Saint-Brieuc, où l’enquête publique aura lieu en 2016, Gardez les caps a produit une documentation étayée critiquant l’argumentation des industriels sur l’impact visuel des futures éoliennes.

A Courseulles-sur-Mer, où 75 éoliennes sont prévues à une dizaine de kilomètres des côtes, Libre Horizon tente de son côté de mobiliser sur la proximité des plages du Débarquement, qui font l’objet d’une demande parallèle de classement au Patrimoine mondial de l’Unesco.

Télécharger la page complète des Echos :

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Le Figaro - 17 août 2015 - Calvados : les pêcheurs contre l’éolien offshore

Ca y est, les pêcheurs ouvrent les yeux ! Après s’être fait menés en bateaux par les industriels de l’éolien, ils réalisent que les promesses ne seront pas tenues :

  • La pêche sera possible dans la zone du parc éolien ?! Pas si certain finalement ... Rien que pour les sondages géophysiques et les tests d’ensouillage, la zone était interdite à la navigation...
  • Les belles compensations promises n’ont pas l’air d’être confirmées. Il faut dire que tout l’argent disponible va plutôt servir à racheter l’électricité produite à 4 fois le prix du marché. Et pendant ce temps, on regarde sombrer notre pêche locale...
  • Les engagements de rencontre des différents promoteurs du projet avec les pêcheurs sont restés lettre morte.

    "J’ai déposé cet avis défavorable lorsque le commissaire enquêteur est venu le 11 à Port-en-Bessin (Calvados)", a précisé Paul Françoise, le président du comité.

    L’enquête publique sur ce projet de 75 éoliennes à plus de 10 km des côtes normandes se tient du 10 août au 10 octobre.

    Agissons ! Mobilisons-nous !

    Retrouver l’article complet sur le Figaro.fr ou télécharger ci-dessous :

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Ouest-France - 17 août 2015 - Eoliennes en mer : un vent de révolte

Ouest France, dans son édition du 17 août 2015, revient sur
notre mobilisation de la veille à Courseulles

L’article rappelle très justement que

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Ouest-France - 11 août 2015 - Éolien en mer : L’enquête publique est lancée en Normandie

Ouest France - 11 août 2015, article de Mélanie LELION.

L’enquête publique pour la construction d’un parc éolien offshore au large de Courseulles-sur-Mer (Calvados) a commencé lundi. Des permanences se tiendront jusqu’en octobre dans les communes concernées.

La commission de l’enquête publique est composée de cinq personnes, et est chargée de rendre « un avis favorable, défavorable ou favorable avec des réserves », indique Christian Tessier, président de la commission.

Mobilisons-nous, demandons l’implantation plus au large de parc éolien !
Lire tout l’article

Pour participer à l’enquête publique, cliquer ici, on compte sur vous !

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L’Expansion - 1er août 2015 - L’éolien offshore prend le large

Quelques extraits :

"Les façades maritimes françaises ne se prêtent que moyennement à l’éolien en mer", explique Mario Pain, directeur général adjoint de la direction de l’énergie au ministère de l’Ecologie.

En mer du Nord, les fonds plats, peu profonds, et la très grande régularité du vent assurent un bien meilleur rendement et expliquent en partie les prix très inférieurs de production. Le dernier appel d’offres au Danemark fixait ainsi le tarif d’achat du mégawattheure à 100 euros. "Nous sommes presque sûrs qu’on ne trouvera pas des zones propices pour mettre en chantier 3 000 mégawatts à court terme", ajoute Mario Pain.

Reste donc l’export pour assurer la croissance de la filière française. "Notre objectif est de produire de l’électricité à un prix intéressant qui permette de développer une filière capable d’exporter des éoliennes vers des pays qui bénéficient de conditions plus favorables, comme le Royaume Uni", poursuit Mario Pain.

[bleu]Commentaire Libre Horizon : Finalement, le contribuable français paie très cher pour développer une filière industrielle qui servira à l’export...[/bleu]

Lire l’article complet :

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Ouest-France - 1er et 2 août 2015 - Parc éolien : Libre-Horizon invite les citoyens à s’exprimer

Ouest-France, 1er et 2 août 2015

L’enquête publique commence ; faisons valoir notre projet alternatif, plus au large ! En Allemagne, aucun parc ne voit le jour à moins de 30 km des côtes...

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Ouest-France - 22 juillet 2015 - Le schéma régional éolien retoqué

Caen, 22 juillet 2015.

Par un jugement du 9 juillet 2015, le Tribunal administratif de Caen a annulé pour illégalité sur le fondement des articles L122-1 et L122-4 du code de l’environnement l’arrêté du 28 septembre 2012 par lequel le préfet régional avait approuvé le Schéma Régional Eolien (SRE) de Basse-Normandie.

Lire le jugement :

En effet celui-ci l’avait approuvé sans procéder à une évaluation environnementale. Cette absence d’évaluation ayant privé le public d’une garantie et exercé une influence sur le sens de la décision, ce vice entache d’illégalité l’arrêté attaqué notamment par de nombreuses associations.

Parmi les motifs invoqués par le Tribunal administratif, figurent notamment :

  • la nécessité de respecter les engagements de la France vis-à-vis de l’UNESCO, devant conduire le Schéma régional éolien de Basse Normandie à proscrire l’implantation de tout éolien dans la zone d’influence visuelle du Mont Saint Michel.
  • la méconnaissance de du code de l’environnement sur les impacts sur le cadre de vie des habitants, et l’atteinte portée au patrimoine naturel et culturel, mais également l’effet néfaste pour le tourisme

    En savoir plus : lire l’article complet de Ouest France

    Lire le Schéma régional éolien de 2012, annulé par le Tribunal de Caen (Fichier de 13 Mo) :

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Le Canard enchaîné - 22 juillet 2015 - Eoliennes en mer, même pales peur !

Le Canard enchaîné - 22 juillet 2015

[...]
L’Autorité environnementale regrette que la décision de développer l’énergie éolienne offshore n’ait pas été aussitôt accompagnée de l’effort de recherche approprié.
Mais pourquoi s’inquiéter ? Les éoliennes, c’est écolo. Alors tant pis pour l’environnement...

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France 3 - 12 juillet 2015 - Arromanches : les opposants au projet éolien offshore donnent de la voix

12 juillet 2015 - France 3

Arromanches : les opposants au projet éolien offshore donnent de la voix

L’association Libre horizon appelait ce dimanche à un rassemblement sur la plage d’Arromanches, site chargé d’histoire, pour protester contre le projet d’éolien offshore à Courseulles-sur-Mer à 10 km des côtes.

"Une solution, le libre horizon", scandait ce dimanche après-midi une cinquantaine de personnes réunies sur la plage d’Arromanches. Libre Horizon, c’est le nom de l’association créée pour s’opposer au projet du parc éolien offshore de Courseulles-sur-Mer. Ce dernier prévoit l’implantation de 75 éoliennes de 175m de haut à seulement 10 km des côtes.

L’association réclame une installation plus lointaine : au moins 20 km, afin qu’elle soit invisible depuis les côtes Bas-Normandes. Selon elle, le projet actuel "va venir profaner ce lieu de mémoire". Elle estime qu’il pourrait avoir un impact direct sur le tourisme dans la région.

Cet impact sur l’environnement a déjà soulevé de nombreuses interrogations parmi les gens ayant participé au débat public organisé l’an dernier. Si les photomontages réalisés par le maître d’ouvrage ont pu convaincre le public de l’intégration des éoliennes dans le paysage maritime, la proximité du parc avec les sites du Débarquement avait suscité de vives émotions notamment chez les étrangers.

Images d’Emilien David

Retrouver l’article sur le site de France 3

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Ouest-France - 11 juillet 2015 - Éolien : Libre Horizon mobilise à Arromanches

Ouest-France - 11 juillet 2015

Éolien : Libre Horizon mobilise à Arromanches

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Ouest-France - 29 mai 2015 - Parc éolien : dialogue difficile entre concepteurs et opposants

Ouest-France, 29 mai 2015

En Allemagne, aucun parc ne voit le jour à moins de 30 km des côtes. Ce parc est prévu à 10 km : si le projet reste à ce niveau là, on peut s’asseoir sur le classement de nos plages par l’Unesco.

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La Renaissance du Bessin - 29 mai 2015 - Courseulles, Parc éolien, le débat continue

La Renaissance du Bessin - 29 mai 2015

Les représentants du maître d’ouvrage, EDF, ont répondu aux nombreuses questions de l’auditoire.

Les critiques se sont concentrées essentiellement sur l’impact visuel des éoliennes dans le paysage, cheval de bataille de l’association de défense « Libre Horizon » créée au printemps 2014.

José Robert, membre de l’association : « elle n’est pas opposée aux éoliennes, mais milite pour leur éloignement à plus de 20 km comme les autres pays européens ».

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Ouest-France - 18 mai 2015 - Ils militent contre le projet d’éoliennes offshore de Courseulles

Ouest-France - 18 mai 2015

"Nous ne sommes paas contre les éoliennes, nous voulons les éloigner"

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France 3 - 6 mai 2015 - Le rachat polémique d’une entreprise d’éoliennes par EDF

Dans l’émission "Pièces à conviction" diffusée mercredi 6 mai, une enquête révèle que le rachat par EDF de SIIF, une entreprise spécialisée dans l’éolien, est émaillé d’irrégularités. Derrière ce rachat, Pâris Mouratoglou.

Extrait.


VIDEO. Pièces à conviction : le rachat polémique de la SIIF par EDF

Dans le secteur de l’éolien, cet homme est incontournable. Pâris Mouratoglou était, jusqu’en 2000, propriétaire de la SIIF. C’est à cette époque que le polytechnicien décide de vendre à EDF une partie de son entreprise spécialisée dans l’éolien. Et pour parvenir à se faire racheter par le groupe, l’homme a usé de certaines tactiques qui le font aujourd’hui soupçonner de fraude fiscale et d’escroquerie financière par le parquet financier.

Des investisseurs nécessaires

Pour que l’éolien se développe en France à partir des années 2000, "il faut que ce soit un business, et si c’est pas un business, il n’y aura aucun investisseur industriel dans le secteur éolien", explique à l’équipe de Pièces à conviction Jean-Louis Bal, président du Syndicat des énergies renouvelables. Et en en faisant un business, certains entrepreneurs ont tiré leur épingle du jeu. L’éolien va faire la richesse d’un homme, Pâris Mouratoglou.

Très discret, ce polytechnicien est un pionnier des énergies renouvelables et a fait fortune aux États-Unis dans les années 1980. En 1990, il fonde la SIIF, entreprise qui exploite des éoliennes d’abord en Guadeloupe, et ensuite en Corse. Avec son associé André Antolini, le président du Syndicat des énergies renouvelables (SER), il parvient à négocier deux opérations conséquentes : imposer le tarif d’achat financé par la CSPE et un beau mariage avec EDF.

Convaincu de l’intérêt pour le grand groupe d’entrer au capital de sa société, il entame des négociations efficaces avec EDF au début des années 2000. Et en 2004, la SIIF devient EDF Énergies nouvelles. Christian Stoffaes, directeur d’EDF entre 1991 et 2010, se souvient : "Il y a des entrepreneurs écologiques, Mouratoglou et d’autres, qui arrivent et qui disent à EDF : ’On va vous aider à développer une filiale de production indépendante. On apporte la compétence technique et surtout juridique, et vous apportez l’argent. On se partage les bénéfices.’ Et ça fait des sommes colossales." Les montants en question drainés par le marché avoisinent, pour le cas de la SIIF, le milliard d’euros.

Quand EDF rachète 700 millions d’euros d’actions à Mouratoglou

Quand en 2008, Pâris Mouratoglou revend ses actions à EDF, leur plus-value est d’au moins 40 %. Quelques-uns soulignent les dépenses inhérentes au rachat : le groupe va débourser 1,5 milliard d’euros pour devenir propriétaire à 100 % de sa filiale, le tout validé par l’Autorité des marchés financiers. Du côté de l’Assemblée nationale, un rapport épingle le montant : "Il semble qu’EDF n’ait pas suffisamment anticipé le potentiel de développement des énergies renouvelables et qu’en conséquence le groupe ait racheté EDF-EN à un prix élevé."

Difficulté supplémentaire, l’État n’a que peu récupéré son investissement à travers d’éventuels impôts : l’ensemble des actions rachetées étaient déténues par une holding au Luxembourg. "La raison de ce regroupement [d’actions, NDLR] au Luxembourg n’est pas fiscale", se défend Pâris Mouratoglou dans un mail.

Pourtant, en octobre dernier, le parquet financier a ouvert une enquête pour soupçon de fraude fiscale et d’escroquerie financière. De quoi ternir l’image des énergies renouvelables.

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La Manche Libre, 27 mars 2015 - Parc éolien de Courseulles : les recommandations de l’Autorité environnementale

La Manche Libre, 27 mars 2015

Avant même le début de l’enquête publique, l’Autorité environnementale, organisme du Ministère de l’environnement, se montre très critique sur les études d’impact réalisées par EDF pour le Parc éolien de Courseulles

Lire tout le rapport

C’est désastreux...

En substance :

  • les études d’impact ont été totalement bâclées, et les "appréciations rapides concluant à des impacts négligeables ou faibles" doivent être revues ...
  • Il est incongru de faire porter par le seul maître d’ouvrage (EDF) la charge des études d’impact sur un domaine manquant tellement de connaissance et de
    méthodologie... Il n’est effectivement pas étonnant que EDF nous dise que tout va bien, quand on ne regarde pas.

    C’est sympa quand une Autorité indépendante dit à EDF de ne pas nous prendre pour des imbéciles...

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La Manche libre - 14 février 2015 - Un projet éolien contesté

La Manche libre - Le Bessin Libre 14 février 2015

Un projet éolien contesté

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Liberté - 12 février 2015 - Conseil municipal de Courseulles : entre parc éolien et débat d’orientation budgétaire

Liberté - Le Bonhomme libre - 12 février 2015

Conseil municipal de Courseulles : entre parc éolien et débat d’orientation budgétaire

On peut lire :

Le conseiller d’opposition, José Robert, membre de l’association Libre Horizon qui souhaite voir déplacer le parc éolien, s’est dit inquiet, car il estime que « ce projet porte une grave atteinte visuelle à notre paysage et notamment une gêne due à la luminosité renvoyée par les éoliennes sur l’horizon de part leur positionnement plein sud >> et qu’il est dommageable à la fois pour « les pêcheurs, car leur zone de pêche sera réduite de 50 km2, mais aussi pour le classement des plages du Débarquement au patrimoine mondial de l’UNESCO >>.

Lire l’article complet

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COE - 11 février 2015 - Où en est le développement de l’éolien offshore en Europe ?

Connaissance des Energies - 11 février 2015

On lit avec intérêt dans cet article "Où en est le développement de l’éolien offshore en Europe ?" que :

  • Les implantations d’éoliennes offshore se font de plus en loin des côtes : elles sont situées en moyenne à 32,9 km des côtes
  • Ces implantations se font avec des profondeurs d’eau croissantes : profondeur d’eau de 22,4 m en moyenne

    Et nous alors, on n’est pas foutu d’aller plus loin que 10 km des côtes ? Ou c’est juste pour que EDF et ALSTOM fassent plus de profit ?

    Au passage, on lit aussi que malgré la puissance installée très prometteuse, le facteur de charge constaté est toutefois beaucoup plus limité : il est généralement compris entre 30% et 35% (contre plus de 75% pour le nucléaire).

    Donc non seulement c’est moche, mais en plus c’est cher, ça marche mal, et il va falloir compenser par des centrales thermiques plus polluantes. Comment ça s’appelle quand on est nul sur toute la ligne ?

Retrouver l’article complet :

Où en est le développement de l’éolien offshore en Europe ?
Article paru le 11 févr. 2015 à 11h30

Le parc Gwynt y Mor au Royaume-Uni est l’une des 17 fermes éoliennes offshore connectées au réseau électrique en Europe en 2014. (©RWE)

A fin 2014, 2 488 éoliennes offshore sont reliées au réseau électrique en Europe (1)

Elles sont réparties entre 74 fermes éoliennes dans 11 pays. Leur puissance installée cumulée atteint près de 8 045 MW, soit l’équivalent de la capacité de 5 réacteurs nucléaires de type EPR. Leur facteur de charge est toutefois plus limité : il est généralement compris entre 30% et 35% (contre plus de 75% pour le nucléaire).

Plus de 99% de la puissance éolienne offshore installée en Europe est répartie entre 6 pays :
• le Royaume-Uni : 4 494 MW avec 1 301 éoliennes offshore connectées ;
• le Danemark : 1 271 MW avec 513 éoliennes ;
• l’Allemagne : 1 049 MW avec 258 éoliennes ;
• la Belgique : 712 MW avec 182 éoliennes ;
• les Pays-Bas : 247 MW avec 124 éoliennes ;
• la Suède : 212 MW avec 91 éoliennes.
En 2014, 408 nouvelles éoliennes offshore ont été connectées au réseau électrique en Europe. Leur puissance cumulée atteint 1 483 MW, soit près de 5,3% de moins qu’en 2013 qui était l’année de plus forte croissance depuis l’émergence de cette filière.
Actuellement, 12 parcs éoliens offshore sont en cours de construction en Europe. Ils devraient être mis en service d’ici 2016 et disposeront d’une puissance cumulée de 2 900 MW.

En France, deux appels d’offres ont été réalisés dans le domaine de l’éolien offshore. Ils ont abouti à l’attribution de 6 projets de fermes éoliennes d’une puissance cumulée avoisinant 2 920 MW. Elles seront progressivement mises en service à partir de 2018. Un nouvel appel d’offres devrait être lancé courant 2015.

Précisons que les implantations d’éoliennes offshore se font de plus en loin des côtes avec des profondeurs d’eau croissantes : les fermes éoliennes sont, à fin 2014, situées en moyenne à 32,9 km des côtes avec une profondeur d’eau de 22,4 m.

Près de 63% de la puissance éolienne offshore en Europe est installée en Mer du Nord. (©Connaissance des Énergies)

(1) Source : "The European offshore wind industry – key trends and statistics 2014", EWEA, janvier 2015.

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La Renaissance Le Bessin - 6 février 2015 - Courseulles, ils veulent faire éloigner les éoliennes

La Renaissance Le Bessin - 6 février 2015

Courseulles, ils veulent faire éloigner les éoliennes

José Robert et Dominique André sont de fervents défenseurs de leur patrimoine. Membres de l’association Libre Horizon, ils comptent bien faire modifier le projet éolien implanté au large de Courseulles-sur-Mer

Lire tout l’article

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Ouest-France - 4 février 2015 - Courseulles - Parc éolien, les conseillers municipaux disent non à l’Etat

OUEST-FRANCE - 4 février 2015 - Courseulles-sur-Mer

Parc éolien : les conseillers municipaux disent non à l’État

À l’ordre du jour du conseil municipal, lundi soir, deux sujets concernant le futur parc éolien en mer au large de Courseulles : la concession d’utilisation du domaine public maritime et son raccordement, et l’avis sur la déclaration d’utilité publique avec mise en comptabilité du Plan local d’urbanisme (PLU) communal pour ce raccordement.

Francis Nicaise, conseiller municipal de la majorité, a expliqué cette concession, signée pour trente ans maximum, pour construire et exploiter le parc éolien sur 67 km2, se situant de 10 à 18 km des côtes.

« Une étude d’impact prend en compte les effets potentiels sur les milieux physique, vivant, humain, le patrimoine et paysage », rappelle-t-il.

RTE (Réseau transport d’électricité) sollicite une concession pour le tracé de la liaison électrique sous-marine reliant le poste électrique du parc éolien en mer au point d’atterrage sur le littoral, avec un corridor maritime sur 15 km de long. Le conseiller municipal de la minorité, José Robert dit son inquiétude. « Ce projet porte une grave atteinte visuelle à notre paysage sur 18 km. L’État réfléchira à son positionnement si les 25 communes concertées se manifestent : un parc plein sud, complètement éclairé, très lumineux sur l’horizon. Une comparaison : le ferry de Ouistreham est à 15 km, d’une longueur de 175 m, exactement la taille en hauteur des éoliennes, et on le voit très bien, continu José Robert. L’aspect dommageable pour la zone de pêche réduite de 50 km2 [...], l’aspect mémoire, car nous sommes très attachés à nos plages, leur classement à l’Unesco aurait des retombées touristiques très fortes, que l’on perdrait si on a un parc éolien ».

Michèle Tanné, élue de l’opposition, déplore l’absence d’études de modification de l’emplacement après les débats publics. « Notre vote est délicat, mais il faut faire remonter toutes ces remarques ». Quant à M. Dubois, élu de l’opposition, il est « favorable à la diversité des énergies mais s’abstient pour montrer l’importance pour nous, Courseullais, et porter à connaissance nos inquiétudes ».

Ainsi, le vote à scrutin public (avec indication du sens de vote de chaque votant, dans les délibérations) a obtenu trois voix contre et deux abstentions du côté de l’opposition. Pour le sujet de la mise en comptabilité du Plan local d’urbanisme (PLU) communal pour le raccordement, non convaincus et trouvant le tracé difficile, tous les membres de l’opposition ont voté à scrutin public contre, avec la seule abstention de Michèle Tanné.

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Ouest-France - 3 février 2015 - A Courseulles, l’association veut déplacer les éoliennes

A Courseulles, l’association veut déplacer les éoliennes, lit-on en Une du numéro du 3 février 2015.

Ouest-France, 3 février 2015

Retrouver l’article complet :

Libre Horizon, une association d’habitants du littoral, propose d’éloigner le parc éolien de Courseulles-sur-Mer d’une dizaine de kilomètres au large. Elle estime pouvoir minimiser le fort impact visuel des 75 éoliennes prévues en face des plages du Débarquement.

Les membres de l’association Libre horizon proposent de déplacer le parc éolien à une dizaine de kilomètres plus au large.

"Libre horizon" craint les conséquences économiques ce projet. Elle propose de déplacer les éoliennes, dix kilomètres plus au large, pour minimiser l’impact visuel.
« En déplaçant le parc éolien d’une dizaine de kilomètres plus au large, au-delà des 12 milles, on diviserait l’impact visuel par deux. » Créée il y a un an par plusieurs élus et habitants des communes du littoral, l’association Libre horizon tente de convaincre sur l’intérêt d’un compromis.

« L’implantation de 75 éoliennes sur une surface de 50 km2 aurait des incidences sur le tourisme, l’économie et irait à l’encontre de la procédure de classement des plages du Débarquement au patrimoine mondial de l’humanité, assure José Robert, conseiller municipal de Courseulles-sur-Mer et membre de l’association. Nous allons passer d’un paysage naturel à un paysage industriel, en s’attaquant à la mémoire de ceux qui ont débarqué ici en 1944. »

L’association qui a déjà rencontré le promoteur du projet et noue des contacts avec les services de l’État espère pouvoir déplacer ce parc éolien vers le large. « Les éoliennes devraient être hautes de 175 mètres, soit les deux tiers de la tour Eiffel. Elles seront quatre fois plus visibles que les cheminées du port du Havre. En les déplaçant de 10 km, elles ne représenteraient plus que deux fois la hauteur de ces cheminées, visibles de nos plages par beau temps. »

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France Inter - 26 septembre 2014 - Eolien et corruption, le SCPC tire la sonnette d’alarme

Éoliennes : le vent de la corruption

26 septembre 2014 - France Inter

En savoir plus :

Lire l’article sur le site de France Inter

Ecouter l’émission de France Inter

Le Service central de prévention de la corruption tire la sonnette d’alarme. Le SCPC dénonce des dizaines d’affaires de prise illégale d’intérêts autour de l’éolien. Le nord, le sud, le centre, l’est : toute la France est concernée alors que le gouvernement prévoit de doubler le parc éolien existant d’ici 2020.

Le reportage de Claire Chaudière se situe au coeur d’une petite commune rurale de Basse-Normandie. Direction Saint George d’Annebecq, 140 habitants, dans l’Orne, aux portes du Pays d’Auge, où plusieurs élus d’un même conseil municipal ont été poursuivis pour prise illégale d’intérêts. Entre amertume et confidence, les habitants de cette commune déchirée par un projet éolien racontent.

Selon le SCPC, le Service central de prévention de la corruption (qui dépend du ministère de la Justice), le cas de Saint George d’Annebecq ne serait pas un cas isolé. En effet, de nombreux maires et conseillers municipaux français agiraient illégalement : ils votent, donnent leur feu vert à l’implantation d’éoliennes sur leur commune tout en ayant un intérêt personnel dans le dossier. Ils toucheront parfois des loyers pour avoir accepté l’installation d’une éolienne sur leur propriété privée. Un véritable revenu supplémentaire pouvant aller de 1.000 à 10.000 euros par an.

Pour les associations opposées à la filière éolienne, c’est toute une industrie qui est en train de se construire sur des bases illégales et des conflits d’intérêts. Les élus attaqués dénoncent de leur côté des poursuites abusives et clament leur bonne foi. Quant aux promoteurs éoliens, ils ne veulent pas faire les frais de ce qu’ils jugent être avant tout une croisade politique contre l’éolien.

Reportage signé Claire Chaudière, émission Secret d’Info, vendredi 26 septembre 2014 à 19h20 sur France Inter.

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La Manche Libre - 20 septembre 2014 - Le cours tranquille des éoliennes

La Manche Libre - 20 septembre 2014

Où en sont les promesses de construction des usines de Cherbourg avec les embauches à la clé ?

Depuis le rachat d’Alstom au printemps dernier par l’américain General Electric, le dossier des usines de Cherbourg semble patiner : « Le dossier suit son cours », nous dit-on (Merci vraiment pour cette transparence !).

Aucun permis de construire en vue, aucune explication sur les contretemps, aucune date annoncée !
On découvre que le permis de construire n’a toujours pas été déposé pour l’usine de pâles (350 emplois promis...) !

Les masquent tombent... Les emplois s’envolent mais les éoliennes nous pendent quand même au nez. On réagit ?

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Le Canard Enchaîné - 17 septembre 2014 - EDF cache le vent mauvais qui souffle sur ses éoliennes

Le Canard Enchaîné - 17 septembre 2014

Cachotteries aux actionnaires, dépréciation d’actifs, résultats en berne ...


la filiale Energies nouvelles aux Etats-Unis ne tourne pas rond.

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La Renaissance Le Bessin - 5 septembre 2014 - Une bombe d’une tonne neutralisée au large de Courseulles-sur-Mer

5 septembre 2014 - La Renaissance Le Bessin

Une bombe d’une tonne neutralisée au large de Courseulles-sur-Mer

Ce vendredi 5 septembre, peu après 9h, les plongeurs démineurs de la Marine nationale ont neutralisé une bombe allemande de 1 000 kg au large de Courseulles-sur-Mer.

Peu après 9h, ce vendredi 5 septembre, les plongeurs démineurs de la Marine nationale (Groupe de plongeurs démineurs de la Manche) ont neutralisé une bombe allemande de 1000 kg au large du Calvados, à environ 6 milles nautiques de Courseulles-sur-mer (environ 11 km).

La bombe avait été découverte en début de semaine par l’André Malraux, navire d’exploration archéologique affecté au service du Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (Ministère de la Culture et de la Communication). L’André Malraux, qui opère dans la zone du futur champ éolien de Courseulles-sur-mer, a également apporté son concours ce matin en servant de bâtiment base aux plongeurs démineurs.

Deux plongeurs démineurs sont intervenus sur l’engin, posé par environ 30 mètres de fond, afin de le neutraliser. Datant de la Seconde Guerre mondiale, la bombe contenait l’équivalent de 900 kg de TNT, ce qui représente une charge particulièrement importante.

Retrouver l’article en ligne sur le site du journal

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Le Figaro - 1er août 2014 - Première plainte contre la « taxe éolienne »

Le Figaro - 1er août 2014, par Delphine de Mallevoüe

Première plainte contre la « taxe éolienne »

Une Montpelliéraine assigne EDF en justice pour avoir prélevé un impôt déguisé, la Contribution au service public de l’électricité (CSPE) facturée aux consommateurs.


D’autres plaintes vont suivre. Rappelons que la CSPE représente 12% de la facture en moyenne et peut atteindre 15%.

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Le Figaro - 31 juillet 2014 - Eolien offshore un surcoût de 654 millions d’euros

Le Figaro - 31 juillet 2014


Eolien offshore : un surcoût de 654 millions d’euros


Les deux parcs éolien offshore attribués en mai 2014 au consortium mené par GDF Suez en Vendée et en Seine-Maritime entraîneront un surcoût pour les consommateurs de 654 millions d’euros par an, selon le régulateur de l’énergie.


Ce surcoût s’exercera via la CSPE (Contribution au service public de l’électricité), une taxe payée par le consommateur sur sa facture d’électricité


A ce prix là, on peut avoir notre mot à dire sur les emplacements, non ?


Pour en savoir plus :

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Le Figaro - 4 juillet 2014 - Parcs éoliens : alerte à la corruption des élus

Le Figaro - 4 juillet 2014 - Delphine de Mallevoüe

Le Service central de prévention de la corruption met en garde les pouvoirs publics sur un « phénomène d’ampleur » en France.

ÉOLIENNES Le stade des suspicions est dépassé. C’est désormais institutionnel : la prise illégale d’intérêts d’élus dans le développement de la filière éolienne est pour la première fois reconnue, non seulement comme un fait mais aussi une pratique répandue sur tout le territoire français contre laquelle les pouvoirs publics se doivent d’agir, et vite. C’est un constat et une alerte formulés par le Service central de prévention de la corruption (SCPC), une instance interministérielle dépendant du ministère de la Justice, qui fait entrer ces dérives pour la première fois dans son rapport d’activité 2013 concernant la prévention de la corruption en France et dans les collectivités territoriales.

Cet ouvrage à la distribution encore confidentielle a été adressé la semaine dernière à tous les parquets de France pour informer les procureurs de ce nouvel état des lieux du conflit d’intérêts. À la page 119 du document, que s’est procuré Le Figaro, le SCPC décrit un « phénomène d’ampleur » . « Le développement de l’activité éolienne semble s’accompagner de nombreux cas de prise illégale d’intérêts impliquant des élus locaux » , révèle le rapport, sur « une grande partie du territoire national »

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La Presse de la Manche - 21 juin 2014 - Ces 200 emplois qui se sont envolés

La Presse de la Manche - Samedi 21 juin 2014

Éolien : ces deux cents emplois qui se sont envolés

Le dossier d’enquête publique sur la future usine de fabrication de pales géantes d’éoliennes sur le port de Cherbourg révèle une mauvaise surprise. LM Wind Power ne parle plus des 350 emplois promis jusqu’à présent mais de 150...

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Reporterre - 5 juin 2014 - L’éolien offshore bénéficie aux industriels, pas à l’écologie

Reporterre, le quotidien de l’écologie
Par Marc THÉRY - Jeudi 5 juin 2014

Sous les vivats de la presse et des politiques, deux nouveaux parcs éoliens en mer ont été attribués. Problème : ce secteur n’est pas rentable, il représente un surcoût important qui se répercutera sur la facture des consommateurs. Mais l’opération se fait au bénéfice des grands industriels.

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Daily Mail - 24 mai 2014 - Menace de déclassement par l’Unesco suite au projet de parc éolien de l’île de Wight

Daily Mail - 24 mai 2014

Un parc éolien monstrueux à côté de l’île de Wight : l’Unesco menace de retirer le statut de patrimoine mondial de côte jurassique suite aux plans de construction de 200 éoliennes offshore

Les éoliennes, couvrant une zone plus grande que Manchester, sont prévues seulement à 14 kilomètres au large de la côte jurassique.

En savoir plus : Lire l’article complet du Daily Mail

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Ouest-France - 22 avril 2014 - Jour J, la chasse aux épaves du Débarquement

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Les Echos - 29 janvier 2014 - L’éolien en mer entre dans une zone de turbulences en Europe

  • Des projets de plusieurs milliards d’euros ont été retardés ou annulés en Grande-Bretagne et en Allemagne.
  • Les gouvernements européens lèvent le pied sur le secteur, très coûteux en subvention

    En savoir plus :

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Le Figaro - 25 novembre 2013 - Éoliennes, des maires attaqués pour conflit d’intérêts

Le Figaro - 25 novembre 2013 - Delphine de Mallevoüe

Des opposants à l’énergie éolienne font la chasse aux maires qui ont voté l’installation de parcs sur leur commune tout en étant propriétaires des parcelles, ce qui rapporte aux élus concernés plusieurs dizaines de milliers d’euros par an.

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Le Monde - 12 novembre 2013 - Berlin pourrait réduire le soutien de l’Etat aux renouvelables

LE MONDE - 12 novembre 2013
Par Frédéric Lemaître (Berlin, correspondant)

Les marchés n’ont pas attendu la fin des négociations entre la CDU d’Angela Merkel, la CSU bavaroise et le Parti social-démocrate (SPD) pour réagir. Lundi 11 novembre, le fabricant d’éoliennes Nordex a perdu 16 % à la Bourse de Francfort. De fait, les vents en provenance de Berlin sont mauvais pour cette industrie.

Durant le week-end, le groupe de travail chargé de trouver un compromis sur la sortie du nucléaire d’ici à 2022 a défini les grands principes d’un accord qui, s’il est validé par les présidents des trois partis, va considérablement modifier la donne en matière d’énergies renouvelables.

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Les Echos - 4 novembre 2013 - Eolien en mer : incertitudes sur le premier appel d’offres

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La Gazette des communes - 24 octobre 2013 - L’investissement dans le tourisme de patrimoine rapporte plus de vingt fois la mise

On peut lire :

L’agence régionale du patrimoine de la région PACA estimait en 2013 : "la formule économique est simple : 1 € (investi dans le patrimoine) = 28 à 31 € (de retombées économiques en métropole) !"

Tout comptes faits, "L’impact économique national du patrimoine est plus de vingt fois supérieur à ce qu’il mobilise comme dépense d’investissement"

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La Gazette des communes - 11 octobre 2013 - Classement Unesco et retombées économiques

On peut lire :

"La fréquentation touristique de Bordeaux a augmenté de 50% depuis 2007, année du classement Unesco", constate ainsi Nicolas Martin, directeur de l’office de Tourisme de Bordeaux.

La cathédrale d’Albi a eu 30% de visiteurs en plus depuis son inscription à l’Unesco en 2010", répond en écho la mairie de la préfecture du Tarn.

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Le Point - 13 août 2013 - Allemagne : une ferme éolienne qui tourne à vide

Le Point - 13 août 2013

La transition énergétique imposée au pas de course par la chancelière Angela Merkel se heurte brutalement à un manque de préparation. Explications.

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Le Figaro - 13 août 2013 - Quand l’Allemagne fait tourner un champ d’éoliennes au diesel

Quand l’Allemagne fait tourner un champ d’éoliennes au diesel
Le Figaro - 13 août 2013 - David Philippot

Une erreur dans la planification repousse l’inauguration du parc offshore Riffgat à l’an prochain.
C’est une version moderne de l’usine à gaz, « made in Germany ». Le parc offshore Riffgat devait être inauguré samedi dernier au large de Borkum, une île de la mer du Nord située à la frontière des Pays-Bas. Trente majestueuses éoliennes de 150 mètres au-dessus des vagues ne demandent qu’à produire de l’électricité. Las. Une erreur dans la planification repousse leur inauguration à l’an prochain.

Pour l’instant, le parc ne peut fonctionner. Mais comme l’on craint que les turbines ne soient attaquées par le sel des embruns, il faut faire tournoyer les pales coûte que coûte. Le casse-tête vire au burlesque : des groupes électrogènes doivent en effet apporter l’alimentation nécessaire au refroidissement des turbines et à l’éclairage aérien du parc… Gourmandes, les éoliennes consomment 22.000 litres de diesel par mois. Ces éoliennes ne peuvent pas utiliser le courant qu’elles produisent pour leur propre consommation.

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Le Monde - 5 juillet 2013 - La mafia investit dans les parcs éoliens pour blanchir son argent

Le Monde, 5 juillet 2013

Les mafias italiennes ont considérablement diversifié leurs activités criminelles et investissent dans le secteur des énergies renouvelables pour blanchir leurs revenus illégaux et bénéficier des aides européennes, révèle le dernier rapport publié jeudi 4 juillet par Europol.

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Le Monde - 2 juillet 2013 - Un parc éolien en face des plages du Débarquement...

Le Monde, 2 juillet 2013
Calvados, par Martine Valo, envoyée spéciale.

La boutade régionale promet qu’avec le climat normand, les éoliennes, on ne les verra même pas. En ce début de saison estivale, les couleurs du Calvados – vert tendre, bleu délavé – viennent la contredire. Touristes belges et britanniques se croisent sur le site panoramique au-dessus d’Arromanches-les-bains, où la vue embrasse les plages du Débarquement. A l’horizon dégagé file un petit voilier : c’est là que devrait se dresser, à partir de 2015, l’un des premiers parcs éoliens offshore français.
Composé de 75 mâts de 100 mètres de haut – 175 mètres avec leurs pales –, de 1 500 tonnes et d’une puissance de 6 mégawatts, le projet industriel fait souffler un vent de polémique. Le devoir de mémoire du "jour le plus long" est-il compatible avec la transition énergétique conduite au nom de l’avenir de la planète ? On a eu beau rassurer les représentants des vétérans du 6 juin 1944 – non, les éoliennes ne seront pas érigées sur les plages, mais à une distance comprise entre 10 km et 18 km de la côte –, l’émotion demeure.

Eloignées d’un kilomètre les unes des autres, les machines occuperont 50 km2. Amaury de Lencquesaing pose ses clés de voiture sur la table d’orientation pour matérialiser leur emprise à cheval sur les zones Gold et Juno, où les Alliés se sont jetés dans la bataille le 6 juin 1944. "Elles seront visibles jusqu’au Havre, ce n’est pourtant pas la question esthétique qui me gêne, mais celle du souvenir, assure ce conseiller municipal du bourg voisin de Crépon. Pour une production d’énergie infinitésimale, on va mettre à mal notre devoir de mémoire."

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Les Echos - 4 avril 2013 - L’Italie saisit le bras armé de la Mafia dans l’éolien

LES ECHOS - 4 avril 2013
CORRESPONDANT À ROME PIERRE DE GASQUET

La justice a ordonné la saisie de 1,3 milliard d’actifs d’un poids lourd italien de l’éolien.

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Le Monde - 6 avril 2012 - Parc éolien en mer de Courseulles-Arromanches : EDF, Alstom et Dong Energy l’emportent

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4 juillet 2011 - Eolien en mer : EDF Energies Nouvelles et l’opérateur danois DONG Energy s’associent pour répondre au prochain appel d’offres français

Communiqué du 4 juillet 2011

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Les Echos - 2 août 2010 - Le label Unesco encourage le développement touristique

On peut lire :

Le classement d’un site sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco constitue un atout majeur pour le développement touristique et donc économique

La Cité de Carcassonne, classée au patrimoine mondial depuis 1997, reçoit 3 à 4 millions de visiteurs par an. Le « label" Unesco ayant fortement stimulé le tourisme. L’aéroport et la présence de la « low cost" Ryanair ont accru les offres pour les touristes venant d’Angleterre, d’Irlande et de Belgique.

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Le Monde - 13 novembre 2009 - Eoliennes : "le nouveau business plan de la Cosa Nostra"

Le Monde, 13 novembre 2009

Quatre mandats d’arrêt ont été lancés et sept parcs éoliens d’une valeur de plus de 153 millions d’euros placés sous séquestre lors d’une opération baptisée "Autant en emporte le vent" contre les escroqueries dans le secteur de l’environnement en Italie, a annoncé jeudi 12 novembre la police d’Avellino, dans le sud du pays.

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La Manche libre - 18 juin 2008 - Eoliennes en mer : des géantes au large du Bessin

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